Sacrée pour la 8e fois, l'équipe nationale du Sénégal de Beach Soccer trône sur le toit de l'Afrique. Les Lions du football de plage, battus d'entrées (2-5) par les Mourabitounes, étaient pourtant partis du mauvais pied. Interrogé par L'Observateur, le coach Ngalla Sylla concède que son équipe était «méconnaissable». «C'était une défaite logique. On avait manqué beaucoup d'occasions et la Mauritanie méritait largement sa victoire», explique-t-il.
Pour se relancer, poursuit l'interlocuteur du journal du Groupe futurs médias, «il fallait travailler le mental», en commençant par «laver le linge sale en famille » : «On s'est dit des vérités et on s'est concentré. Cette défaite nous a permis d'entrer dans le tournoi. On s'est raconté beaucoup d'anecdotes en donnant l'exemple de l'Argentine qui a perdu son premier match en Coupe du monde [Qatar] 2022 [avant d'être sacrée en finale contre la France. On l'a rappelé aux joueurs. Dans le football, il ne faut pas se décourager [...]. Le plus important était de continuer à progresser au fil du tournoi. [...].»
Le Sénégal a par la suite atomisé le Malawi, 6-1, pour se relancer dans la compétition, puis dominé l'Égypte, 2-1, en demi-finale pour retrouver la Mauritanie en finale. Les Mourabitounes s'inclineront cette foi, 1-6.
L'ancien sélectionneur du Maroc pense déjà à la prochaine Coupe du monde de la discipline prévue du 1er au 11 mai 2025. «L'objectif est clair. D'abord, il faudra essayer de se qualifier pour le deuxième tour parce qu'on a été éliminé en phase de poule lors du dernier Mondial. Pour la prochaine édition, il faudra aller au minimum en quart de finale», se projette-t-il. Pour l'ancien capitaine des Lions du football de plage devenu entraîneur, une qualification en demi-finale «n'est pas impossible», mais «il faut que l'État du Sénégal et la Fédération sénégalaise de football [FSF] mettent les moyens pour permettre [à l'équipe] de faire une bonne préparation avec beaucoup de matchs amicaux».
Pour se relancer, poursuit l'interlocuteur du journal du Groupe futurs médias, «il fallait travailler le mental», en commençant par «laver le linge sale en famille » : «On s'est dit des vérités et on s'est concentré. Cette défaite nous a permis d'entrer dans le tournoi. On s'est raconté beaucoup d'anecdotes en donnant l'exemple de l'Argentine qui a perdu son premier match en Coupe du monde [Qatar] 2022 [avant d'être sacrée en finale contre la France. On l'a rappelé aux joueurs. Dans le football, il ne faut pas se décourager [...]. Le plus important était de continuer à progresser au fil du tournoi. [...].»
Le Sénégal a par la suite atomisé le Malawi, 6-1, pour se relancer dans la compétition, puis dominé l'Égypte, 2-1, en demi-finale pour retrouver la Mauritanie en finale. Les Mourabitounes s'inclineront cette foi, 1-6.
L'ancien sélectionneur du Maroc pense déjà à la prochaine Coupe du monde de la discipline prévue du 1er au 11 mai 2025. «L'objectif est clair. D'abord, il faudra essayer de se qualifier pour le deuxième tour parce qu'on a été éliminé en phase de poule lors du dernier Mondial. Pour la prochaine édition, il faudra aller au minimum en quart de finale», se projette-t-il. Pour l'ancien capitaine des Lions du football de plage devenu entraîneur, une qualification en demi-finale «n'est pas impossible», mais «il faut que l'État du Sénégal et la Fédération sénégalaise de football [FSF] mettent les moyens pour permettre [à l'équipe] de faire une bonne préparation avec beaucoup de matchs amicaux».
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En Octobre, 2024 (14:40 PM)Participer à la Discussion