Le coach du Sénégal peut être considéré comme l'homme du match du huitième de finale ayant opposé le Sénégal à la Côte d'Ivoire. Aliou Cissé s'est fait particulièrement remarquer pour être resté près de 90 mn sans procéder à un remplacement. Une véritable prouesse de la part d'un entraîneur dont l'équipe a été acculée par l'adversaire.
En effet, le sélectionneur des éléphants a très vite réagi en deuxième mi-temps pour revenir au score. Il a fait entrer Franck Kessié et Nicolas Pépé pour apporter de la fraîcheur à son milieu de terrain et donner plus d'énergie à l'attaque. Vient ensuite Sébastien Haller pour renforcer la dynamique. Dès lors, l'équipe ivoirienne prend l'ascendant sur celle du Sénégal. Il a fallu un excellent Édouard Mendy pour préserver l'avantage.
Avec deux milieux terrains (Pape Matar Sarr et Lamine Camara) talentueux certes mais assez frêles, le Sénégal s'est fait dominer dans le jeu. Les Éléphants étaient toujours premiers sur les ballons renvoyés. D'ailleurs, les attaquants ont réussi à passer dans le dos des défenseurs à deux ou trois reprises avant le penalty.
En ce moment, le public sénégalais attendait en vain la réaction du coach Aliou Cissé. C'était pourtant évident que le Sénégal devait renforcer son milieu de terrain pour ne pas céder. Mais Cissé était visiblement dépassé.
Finalement, ce qui se dessinait une bonne quinzaine de minutes plus tôt se réalisa. Le Sénégal concède le penalty et la Côte d'Ivoire égalise. Le reste sera une affaire de tirs au but en faveur des éléphants. Mais les Lions de la Teranga avaient déjà "perdu" le match du fait de l'apathie inexplicable du sélectionneur.
En effet, le sélectionneur des éléphants a très vite réagi en deuxième mi-temps pour revenir au score. Il a fait entrer Franck Kessié et Nicolas Pépé pour apporter de la fraîcheur à son milieu de terrain et donner plus d'énergie à l'attaque. Vient ensuite Sébastien Haller pour renforcer la dynamique. Dès lors, l'équipe ivoirienne prend l'ascendant sur celle du Sénégal. Il a fallu un excellent Édouard Mendy pour préserver l'avantage.
Avec deux milieux terrains (Pape Matar Sarr et Lamine Camara) talentueux certes mais assez frêles, le Sénégal s'est fait dominer dans le jeu. Les Éléphants étaient toujours premiers sur les ballons renvoyés. D'ailleurs, les attaquants ont réussi à passer dans le dos des défenseurs à deux ou trois reprises avant le penalty.
En ce moment, le public sénégalais attendait en vain la réaction du coach Aliou Cissé. C'était pourtant évident que le Sénégal devait renforcer son milieu de terrain pour ne pas céder. Mais Cissé était visiblement dépassé.
Finalement, ce qui se dessinait une bonne quinzaine de minutes plus tôt se réalisa. Le Sénégal concède le penalty et la Côte d'Ivoire égalise. Le reste sera une affaire de tirs au but en faveur des éléphants. Mais les Lions de la Teranga avaient déjà "perdu" le match du fait de l'apathie inexplicable du sélectionneur.
10 Commentaires
Ndeysane
En Janvier, 2024 (01:27 AM)Mais bon, on ne peut jamais se rejouir avec autant d'innoncents dans la tombe ou en prison. Defaite bien meritée
Dépassé Par Aliou Cissé
En Janvier, 2024 (02:47 AM)Volai414
En Janvier, 2024 (06:03 AM)SOURNOIS SÉNÉGALAIS
De petites phrases que l'on essaie de tourner avec ironie, en commençant par le titre de l'article, pour mieux assassiner celui que l'on ne porte pas dans son coeur. Minable comme posture.
Si Aliou Cissé est coupable, il faudra alors faire aussi le procès de tout un peuple. Cissé, je ne le connais pas, je ne le fréquente pas et nous n'avons que le sénégalais en commun, que je sache. Pas besoin d'être honnête pour avoir une idée de sa différence avec énormément de compatriotes, surtout ceux qui ne pratiquent le foot que par le verbe, la parlotte. Si beaucoup de sénégalais ne l'aiment pas, lui il aime son pays et lui a indéniablement apporté quelque chose. Sur le registre des sélectionneurs qui nous ont hissé sur le toit du continent, vous ne collerez pas d'autres noms à côté du sien, avant longtemps. Lui savait que la Côte-d'Ivoire était devenue la sélection la plus dangereuse, même si sur le papier nous étions supposés meilleurs. Nous autres, sénégalais, savons être prétentieux voire méprisants avec nos adversaires comme avec nos alliés. Faire d'Aliou Cissé une cible à abattre, c'est cracher sur ce que nous avons de bien, c'est dans nos habitudes de sénégalais !
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En Janvier, 2024 (07:24 AM)Lebou
En Janvier, 2024 (07:23 AM), lrs haineux sint a l'affut et subitement il est nul
Ce patriote est reconnu en afrique
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