M. Dia alias « Wara-Gang », un caïd malien, et son acolyte sénégalais, D. Diongue ont été arrêtés puis déférés pour association de malfaiteurs, détention et trafic international de substances psychotropes (désignant à la fois les drogues et les médicaments).
Selon L’Observateur, il s’agit des principaux cerveaux d’un réseau huilé de trafic international de Tramadol (une drogue classée dans la catégorie des substances psychotropes). La mafia senegalo-malienne a été démantelée par le bureau de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) de Kédougou.
« La drogue, qui s’écoulait clandestinement comme de petits pains à 70 000 F CFA, l’unité, a vu une multitude d’inconditionnels, notamment des chercheurs d’or installés sur les sites aurifères, être victimes de crises convulsives et d’arrêts cardiaques », poursuit la source.
Laquelle précise que l’assaut final a été donné le 9 janvier dernier, mettant fin à 6 mois d’une intense activité de commerce illicite de Tramadol, grâce à un dispositif de filature autour du QG (quartier général) du principal cerveau malien localisé au quartier Gada-Denguessou de Kédougou.
Ainsi, « pour infiltrer le réseau, les enquêteurs ont mis en avant des collègues et collaborateurs en civil avec comme mission de réussir des achats de mise en confiance », indique L’Obs. Qui souligne : Alerté, le caïd malien tente de se débarrasser de la marchandise. Il sera appréhendé, traînant un sachet noir, par les limiers, qui procèdent à la perquisition de sa chambre. Laquelle aboutira à la saisie de 420 unités de tramaking.
Sous le feu roulant des questions des enquêteurs, « Wara-Gang » balance son acolyte sénégalais et son principal fournisseur établi dans la ville de Kayes, au Mali.
Selon L’Observateur, il s’agit des principaux cerveaux d’un réseau huilé de trafic international de Tramadol (une drogue classée dans la catégorie des substances psychotropes). La mafia senegalo-malienne a été démantelée par le bureau de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) de Kédougou.
« La drogue, qui s’écoulait clandestinement comme de petits pains à 70 000 F CFA, l’unité, a vu une multitude d’inconditionnels, notamment des chercheurs d’or installés sur les sites aurifères, être victimes de crises convulsives et d’arrêts cardiaques », poursuit la source.
Laquelle précise que l’assaut final a été donné le 9 janvier dernier, mettant fin à 6 mois d’une intense activité de commerce illicite de Tramadol, grâce à un dispositif de filature autour du QG (quartier général) du principal cerveau malien localisé au quartier Gada-Denguessou de Kédougou.
Ainsi, « pour infiltrer le réseau, les enquêteurs ont mis en avant des collègues et collaborateurs en civil avec comme mission de réussir des achats de mise en confiance », indique L’Obs. Qui souligne : Alerté, le caïd malien tente de se débarrasser de la marchandise. Il sera appréhendé, traînant un sachet noir, par les limiers, qui procèdent à la perquisition de sa chambre. Laquelle aboutira à la saisie de 420 unités de tramaking.
Sous le feu roulant des questions des enquêteurs, « Wara-Gang » balance son acolyte sénégalais et son principal fournisseur établi dans la ville de Kayes, au Mali.
2 Commentaires
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En Février, 2024 (23:48 PM)Reply_author
En Février, 2024 (23:48 PM)Anthropologue
En Février, 2024 (23:48 PM)merci d'avance
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