Un talibé est mort noyé dans le bassin de rétention de Darou Rahmane, a appris Seneweb d'une source proche de l'enquête. La victime et ses deux camarades s'y étaient rendus pour se baigner. À la vue du gardien, ses deux amis ont fui, mais le jeune B. Thiam, âgé de 14 ans, a plongé dans les eaux pluviales où il s'est noyé ce jeudi vers 12 h 30.
Le corps sans vie a été repêché par les sapeurs-pompiers qui l'ont déposé à la morgue de l'hôpital, après le constat effectué par les gendarmes de la brigade spéciale de Touba.
B. Thiam était originaire de l'arrondissement de Médina Sabakh.
L'enquête suit son cours.
2 Commentaires
Hé!
En Août, 2024 (18:50 PM)-
Je ne comprends pas même les chèvres ne se jettent pas sur ces eaux polluées, comment cet enfant s'en est il retrouvé là-bas, je crains qu'il a été jeté là-bas ou il ne jouissait pas de tous ses facultés. Autres choses l'entreprise qui a réalisé le mur du bassin de rétention cette mur sur la photo avec un mur sans fondation sur un dune de sable formé auparavant, il doit être poursuivis travaux très mal fait.
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En Août, 2024 (04:39 AM)« L’enquête suit son cours » !
C’est donc cela la conclusion sur un mal qui est plus vieux que moi qui ne suis plus jeune du tout et qui suis témoin depuis plus de soixante berges?
Il y en a qui sont tellement friands de nakkas qu’ils implorent la mort de frapper au quotidien dans leur entourage pour assouvir leur gourmandise. Le nakka pour journaliste se nommerait-il « article funèbre » pour toucher la corde sensible de son concitoyen ? En tout cas, j’ai l’impression que vous ne boudez pas votre plaisir, chaque hivernage, de nous gaver de cas de noyade chez les pauvres talibés. Vous y allez à volonté mais, jamais dans vos articles, je n’ai lu une seule fois un cas où un responsable a été nommément désigné. Et pourtant, il y en a à foison.
Un bassin de rétention est, juridiquement, un ouvrage. Qui dit ouvrage dit maître d’ouvrage à qui il incombe de sécuriser ledit ouvrage. Jamais il n’en a été question dans ce pays de malheur pour talibé et enfant en général.
Le journalisme est-il fondamentalement dévoué à produire du buzz pour faire pleurer ou son rôle premier est-il de faire évoluer une société qui en a besoin ? Dans mon pays, la réponse est d’une évidence biblique, mêmes si j’aurais pu dire « coranique » !
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