La police frappe au coeur d'une redoutable bande de malfaiteurs. I. Camara, mécanicien, et ses éléments, A. Diakité, M. Ndiaye et G. Ndiaye, étaient impliqués dans une série de vols de motos entre Keur Ayib (région de Kaolack), Mbour, Nioro, Fatick et Sandiara, depuis plus de 2 ans.
D'après L'Observateur, «ils avaient fini de mettre la main sur la quasi-totalité des motos Jakarta de toutes les villes qu'ils ont sillonnées». Malgré plusieurs plaintes, les propriétaires n'avaient aucune chance de retrouver leurs biens.
Les mis en cause avaient bien mûri leur plan, avance le journal : « G. Ndiaye et M. Ndiaye volent les motos et les conduisent directement au garage mécanique [du chef de gang où] I. Camara et [son collègue mécanicien], A. Diakité, se chargent de transformer les pièces et modifier les numéros de série des motos volées, [ni vu ni connu].» Il ne restait plus qu'à se procurer de faux documents pour revendre les engins.
Le plan marche comme sur des roulettes «jusqu'au jour où M. Ndiaye va voler la moto de S. Mbaye à Sandiara. Ce dernier va aussitôt déposer une plainte contre X à la brigade de gendarmerie [de la localité]. [Saisis d'une énième] plainte, les pandores ouvrent une nouvelle enquête, qui ne tarde pas, cette fois-ci, à porter ses fruits».
Le journal ne précise pas comment, mais I. Camara et son acolyte seront surpris par les gendarmes, «en pleins travaux de transformation». Sur place, «S. Mbaye reconnait sa moto dont le châssis n'était pas encore modifié», poursuit la source.
Les deux mécaniciens seront ainsi embarqués avant l'arrestation de leurs complices. G. Ndiaye sera «appréhendé dans un village voisin où il s'apprêtait à dérober nuitamment une autre moto». M. Ndiaye, le quatrième voleur, tombe à Keur Ayib, en possession d'une moto volée. Remis aux éléments de la brigade de gendarmerie de Sandiara, ce dernier a confessé être l'auteur du vol de l'engin de S. Mbaye.
Les quatre ont été déférés et placés sous mandat de dépôt. Quid du cinquième mis en cause ? Dans ses aveux, I. Camara a précisé aux enquêteurs que la bande «travaillait en collaboration avec une autre personne établie à Mbour, pour la confection des faux documents». Les «faux papiers» livrés par ce dernier leur ont permis d'écouler facilement les motos volées, souligne L'Obs.
D'après L'Observateur, «ils avaient fini de mettre la main sur la quasi-totalité des motos Jakarta de toutes les villes qu'ils ont sillonnées». Malgré plusieurs plaintes, les propriétaires n'avaient aucune chance de retrouver leurs biens.
Les mis en cause avaient bien mûri leur plan, avance le journal : « G. Ndiaye et M. Ndiaye volent les motos et les conduisent directement au garage mécanique [du chef de gang où] I. Camara et [son collègue mécanicien], A. Diakité, se chargent de transformer les pièces et modifier les numéros de série des motos volées, [ni vu ni connu].» Il ne restait plus qu'à se procurer de faux documents pour revendre les engins.
Le plan marche comme sur des roulettes «jusqu'au jour où M. Ndiaye va voler la moto de S. Mbaye à Sandiara. Ce dernier va aussitôt déposer une plainte contre X à la brigade de gendarmerie [de la localité]. [Saisis d'une énième] plainte, les pandores ouvrent une nouvelle enquête, qui ne tarde pas, cette fois-ci, à porter ses fruits».
Le journal ne précise pas comment, mais I. Camara et son acolyte seront surpris par les gendarmes, «en pleins travaux de transformation». Sur place, «S. Mbaye reconnait sa moto dont le châssis n'était pas encore modifié», poursuit la source.
Les deux mécaniciens seront ainsi embarqués avant l'arrestation de leurs complices. G. Ndiaye sera «appréhendé dans un village voisin où il s'apprêtait à dérober nuitamment une autre moto». M. Ndiaye, le quatrième voleur, tombe à Keur Ayib, en possession d'une moto volée. Remis aux éléments de la brigade de gendarmerie de Sandiara, ce dernier a confessé être l'auteur du vol de l'engin de S. Mbaye.
Les quatre ont été déférés et placés sous mandat de dépôt. Quid du cinquième mis en cause ? Dans ses aveux, I. Camara a précisé aux enquêteurs que la bande «travaillait en collaboration avec une autre personne établie à Mbour, pour la confection des faux documents». Les «faux papiers» livrés par ce dernier leur ont permis d'écouler facilement les motos volées, souligne L'Obs.
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