P. M. Guèye et O. Ndiaye seront fixés sur leur sort le 15 octobre. Ils ont été jugés pour vol mardi dernier devant leur tribunal de grande instance de Mbour. Ils sont accusés d’avoir cambriolé le domicile d’un couple français, A. Sagna et son époux Éric, et emporté le coffre-fort contenant de l’argent, des objets de valeur et d’autres effets personnels des victimes.
Les faits allégués remontent au 23 septembre, selon L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi. Ce jour-là, rembobine le journal, A. Sagna et Éric sont absents de leur domicile, situé à Saly, près de la plage Tama Lodge. P. M. Guèye et O. Ndiaye s’introduisent chez eux en défonçant les fenêtres donnant accès aux toilettes. Ils atteignent la chambre à coucher du couple et s’emparent de leur coffre-fort avant de repartir sans attirer l’attention de personne, d’après le journal.
Leur forfait accompli, les deux cambrioleurs se rendent à la plage pour se répartir le butin. Ils se partagent 5 millions de francs Cfa en liquide. O. Ndiaye récupère deux pochettes contenant en tout 125 000 francs Cfa, les passeports des victimes et des bijoux en or. P. M. Guèye de son côté hérite de deux chéquiers déjà signés et des cartes bancaires du couple.
Ce dernier fera foirer le plan. Dès le lendemain, il émet un chèque pour un retrait de 800 000 francs Cfa. Il demande à un quinquagénaire d’aller lui retirer l’argent contre 50 000 francs Cfa. Mais ce que Guèye et son envoyé ignoraient c’est que le couple avait déjà remarqué le vol, porté plainte et alerté leurs banques pour des oppositions. Les mis en cause ont été arrêtés et livrés à la police dès qu’ils se sont présentés dans l’une des banques.
O. Ndiaye sera à son tour arrêté. Les deux pochettes qu’il avait récupérées ont été retrouvées sous le matelas de sa chambre.
Lors de leur procès, les cambrioleurs ont reconnu le vol. Mais chacun a cherché à enfoncer l’autre. P. M. Guèye a déclaré que seul O. Ndiaye est rentré dans la maison. Ce dernier a balayé l’accusation, affirmant que son acolyte a récupéré les 5 millions et les effets personnels du couple.
La partie civile a réclamé 9 millions de francs Cfa pour les dommages et intérêts. Le procureur a requis l’application de la loi. Le délibéré est fixé au 15 octobre, conclut L’Observateur
Les faits allégués remontent au 23 septembre, selon L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce jeudi. Ce jour-là, rembobine le journal, A. Sagna et Éric sont absents de leur domicile, situé à Saly, près de la plage Tama Lodge. P. M. Guèye et O. Ndiaye s’introduisent chez eux en défonçant les fenêtres donnant accès aux toilettes. Ils atteignent la chambre à coucher du couple et s’emparent de leur coffre-fort avant de repartir sans attirer l’attention de personne, d’après le journal.
Leur forfait accompli, les deux cambrioleurs se rendent à la plage pour se répartir le butin. Ils se partagent 5 millions de francs Cfa en liquide. O. Ndiaye récupère deux pochettes contenant en tout 125 000 francs Cfa, les passeports des victimes et des bijoux en or. P. M. Guèye de son côté hérite de deux chéquiers déjà signés et des cartes bancaires du couple.
Ce dernier fera foirer le plan. Dès le lendemain, il émet un chèque pour un retrait de 800 000 francs Cfa. Il demande à un quinquagénaire d’aller lui retirer l’argent contre 50 000 francs Cfa. Mais ce que Guèye et son envoyé ignoraient c’est que le couple avait déjà remarqué le vol, porté plainte et alerté leurs banques pour des oppositions. Les mis en cause ont été arrêtés et livrés à la police dès qu’ils se sont présentés dans l’une des banques.
O. Ndiaye sera à son tour arrêté. Les deux pochettes qu’il avait récupérées ont été retrouvées sous le matelas de sa chambre.
Lors de leur procès, les cambrioleurs ont reconnu le vol. Mais chacun a cherché à enfoncer l’autre. P. M. Guèye a déclaré que seul O. Ndiaye est rentré dans la maison. Ce dernier a balayé l’accusation, affirmant que son acolyte a récupéré les 5 millions et les effets personnels du couple.
La partie civile a réclamé 9 millions de francs Cfa pour les dommages et intérêts. Le procureur a requis l’application de la loi. Le délibéré est fixé au 15 octobre, conclut L’Observateur
2 Commentaires
Vieux Routard
En Octobre, 2024 (10:27 AM)COMBAT mortel, c'est la nouvelle philosophie.
Reply_author
En Octobre, 2024 (10:50 AM)Wakhdeug
En Octobre, 2024 (12:12 PM)Euskeuy !
Reply_author
En Octobre, 2024 (12:33 PM)Participer à la Discussion