En effet, dans l'optique de bâtir, à l’horizon 2050, « un Sénégal Souverain, Juste et Prospère », le Ministère de la Famille et des Solidarités doit arrimer ses programmes et projets sur le nouveau référentiel. C’est ainsi que le département ministériel s’est engagé sur la voie d’élaborer des politiques de développement social et d’amélioration des conditions de vie des familles tout en veillant au respect des droits fondamentaux des femmes et des enfants. Ces derniers seront protégés contre toutes les formes de maltraitance et d’exploitation. Le renforcement des capacités des femmes entrepreneures occupent une place de choix.
" Au titre des solidarités, le Ministère est chargé de mettre en place un cadre cohérent de planification stratégique, de pilotage et de suivi-évaluation des politiques de développement communautaire", a expliqué le Ministre Maïmouna Dièye.
Ainsi, dans la dynamique d’une meilleure prise en charge des orientations stratégiques et des cadres opérationnels d’intervention de ces programmes, le Comité de pilotage unique (COPIL) veille à l’efficacité et à l’efficience dans la mise en œuvre des différents programmes.
Le ministre a cité le Programme d’Urgence de Développement communautaire (PUDC), dont la vocation est de transformer les conditions de vie des populations et de lutter contre les inégalités sociales en améliorant l’accès aux infrastructures et équipements socio-économiques de base en milieu rural.
Il est en de même pour le Programme de Modernisation des Villes du Sénégal (PROMOVILLES) qui vise la modernisation des agglomérations urbaines en les dotant d’infrastructures modernes et de qualité en vue d’améliorer le cadre de vie des populations.
Selon Maïmouna Dièye a remis sur la table des contraintes qui ont limité les impacts socio-économiques des programmes précités. Tout cela est lié au contexte sociopolitique du pays, mais également par certaines contraintes récurrentes à savoir la défaillance de certaines entreprises prestataires, les problèmes de mobilisation des ressources du budget consolidé d’investissement (BCI) et la lenteur de la réaction de quelques bailleurs, en rapport avec la lourdeur des procédures de passation des marchés.
Le Ministre reconnaît que plusieurs défis se posent à son département à savoir la consolidation des acquis des programmes, mais aussi la mobilisation des ressources financières additionnelles pour tous les programmes du Ministère de la Famille et des Solidarités.
3 Commentaires
Gorgui
En Octobre, 2024 (15:56 PM)Elle a intérêt à se terrer…
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En Octobre, 2024 (16:29 PM)Gorgui
En Octobre, 2024 (15:56 PM)Elle a intérêt à se terrer…
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En Octobre, 2024 (16:29 PM)Disait-on au Sénégal que "Ma tèye" mak bou rouss mo koy wakh !!!
Dites à cette dame que son arrogance a dépassé les limites du tolérable.
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En Octobre, 2024 (16:29 PM)Participer à la Discussion