Après Barthélémy Dias, ce jeudi, le patron du groupe Avenir Communication, Madiambal Diagne, est également convoqué par les éléments de la Sûreté urbaine du Commissariat central de Dakar.
Le journaliste fait l'objet d'une plainte déposée par le Premier ministre Ousmane Sonko, durant la campagne électorale.
Son face-à-face avec les policiers est prévu à 10h.
21 Commentaires
Toc Toc, Jubanti
il y a 1 semaine (16:41 PM)Sénégal En Danger
il y a 1 semaine (16:43 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (20:34 PM)Spaghetti
il y a 1 semaine (16:48 PM)Teck J
il y a 1 semaine (17:44 PM)Ndandane
il y a 1 semaine (17:15 PM)Cela ne peut plus prospérer, l occident en perte de vitesse instrumentalise des traîtres noirs locaux puisque leurs instruments de propagande sont caduques et non suivis par les Senegalais et Africains et interdits même dans certains pays : France 24, Rfi, Jeune Afrique etc....
Nous avons un pays à reconstruire après les passages de malfrats qui se sont succédés aux pouvoirs pendant 64 bonnes années.
Enough is enough, send all these roaches in jails they do represent anything for our nations and nobody is going to complain.
La nation est à 98% avec ce régime et veut que ces déchets humains soient balayés de l espace public.
Joe
il y a 1 semaine (17:21 PM)Pape
il y a 1 semaine (17:23 PM)D’autre part , Madiambal n’est pas une marionnette et son vécu dépasse de loin ces loosers qui veulent le nuire
L'extrémiste
il y a 1 semaine (17:29 PM)Tous les colporteurs de mensonges et de fausses nouvelles doivent être mis devant leur responsabilité pénale.
Tous les médias irrespectueux du code de la presse doivent être fermés.
Le changement doit être imposé à tout le monde, par un État fort ...
Reply_author
il y a 1 semaine (17:53 PM)Shinock
il y a 1 semaine (17:35 PM)La campagne arachidière a été CATASTROPHIQUE
La Famine guette le monde rural Sénégalais.
Le Port Autonome de Dakar est en LÉTARGIE.
Les investisseurs ont fui le Sénégal
Le secteur Privé Sénégalais vit d'énormes difficultés
Un Plan d'Ajustement Structurel est en préparation.
Le Sénégal se dirige vers des lendemains difficiles.
Un Conseil: Épargner et Préparez-vous à la CRISE.
Sonko a le droit de porter plainte s'il se sent diffamé, alors c'est à ce pourri et corrompus d'aller répondre à la Police et d'apporter ses preuves, autrement foutez-le en taule avec une forte amende. On verra bien ce qu'il va dire aux policiers.
C'est la rupture et les menaces et autres intimidations ne fonctionnent pas avec le nouveau régime.
Il est temps que les diffamations cessent et que les gens soient respectueux.
Primitifs
il y a 1 semaine (17:54 PM)L’homme est comme suspendu entre le monde des morts et celui des vivants, allongé sur une civière en cuir noir à l’hôpital Al-Nafis, dans le quartier de Barzeh, dans le nord de Damas, mardi 10 décembre. La tête posée sur la paume de sa main, son regard est perdu dans le vide et sa bouche reste bée. Son œil gauche est tuméfié, son nez épaté par une vieille fracture. D’autres fractures à la colonne vertébrale et au crâne ont brisé son corps fragile, dénutri. Une maladie de peau lui ronge les jambes.
Une quinzaine de personnes l’entourent, certaines, un téléphone à la main avec la photo d’un proche qui, comme lui, a disparu, un jour, dans l’enfer carcéral du clan Al-Assad. Ils n’en sont pas encore revenus. « Tu as vu mes fils ? Bassem et Ahmed Alala », lui crie un Syrien d’une cinquantaine d’années, brandissant un portrait de ses deux enfants âgés d’une vingtaine d’années, avant leur disparition, il y a dix ans.
« Il ne se souvient même pas de son propre nom… », souffle un médecin qui n’arrive pas à retenir la foule autour de l’homme. Quand il reprend parfois ses esprits, le trentenaire tient des propos décousus. « Il s’appelle Khaled Badawi. Il était soldat et a déserté. Il a été arrêté, il y a deux ans, à Alep et transféré à [la prison de] Saydnaya. Nous n’avions plus de nouvelles de lui depuis », dit son frère Tarek, posté au pied du lit.
Lorsqu’il l’a reconnu, la veille, sur une vidéo circulant sur Facebook, Tarek s’est mis immédiatement en route, avec toute la famille, depuis Alep, à 350 kilomètres plus au nord. Seuls les deux enfants de Khaled Badawi, âgés de 3 et 5 ans, et leur mère, de qui il est séparé, sont restés à Alep. « On est contents de le retrouver. Il va un peu mieux qu’hier », poursuit Tarek. Deux de leurs cousins, 24 et 34 ans, sont encore portés disparus
Wakhinan
il y a 1 semaine (18:04 PM)La Vérité
il y a 1 semaine (18:21 PM)Ak
C’est un cas emblématique de la pédocriminalité commise en milieu religieux au Sénégal. Awa, 9 ans, attend un enfant à la suite d’un viol commis par son maître coranique. L’histoire de la fillette, dévoilée lors d’une émission télévisée il y a un mois, a sidéré les habitants de sa ville, Joal-Fadiouth, à 100 km au sud de Dakar. Malgré sa gravité, cette affaire, comme les nombreuses autres rapportées régulièrement par la presse, révèle l’embarras politique face à une question sensible aux conséquences désastreuses pour les victimes.
Aînée d’une fratrie de trois enfants, Awa Barry (un pseudonyme) a dénoncé les agissements de son professeur, Aliou S., après quatre mois de calvaire. Inscrite en classe de CM2, elle suivait des cours coraniques particuliers auprès de cet enseignant, quadragénaire, veuf et père de « grands enfants ». Par ses connaissances religieuses, celui-ci s’était fait un nom dans le voisinage. « Tout le monde avait confiance en lui. Des adultes allaient apprendre la religion à son domicile, relate Souleymane Barry, le père d’Awa. Quand ma petite dernière est née, c’est lui qui l’a baptisée. Awa était déjà enceinte mais on ne le savait pas.
Début novembre, après un malaise, une échographie révèle que l’enfant est enceinte. Face à ses parents, elle s’effondre et révèle les sévices imposés par son maître depuis des mois. « A la fin des cours particuliers, il lui demandait de rester pour l’aider à faire certaines tâches ménagères, rapporte le commandant-major Diabang, de la gendarmerie de Joal-Fadiouth, où la famille a porté plainte. Puis il lui faisait boire une eau qu’il disait bénite pour améliorer la mémoire de l’enfant. Une fois droguée, il la violait. »
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il y a 1 semaine (22:08 PM)C'est d'abord à vérifier.
Il y'a des mouvements de protection de l'enfance au Sénégal, précisément les jeunes filles. Ils n'en n'ont pas parlé.
Le doute est permis.
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