5300. C’est le nombre d’enfants retirés de la rue pendant cette période marquée par la pandémie de la COVID-19. L’information est livrée par Mame Ngor Diouf, secrétaire général du ministère de la famille, de la protection de l’enfance et du genre lors de l’ouverture de l’atelier d’orientation des enseignants spécialisés en langage de signe, sur la lutte contre, les violences basée sur le genre ( VBG) et la prévention de la Covid19.
Selon Mame Ngor Diouf, cet atelier présente un intérêt particulier en raison de sa pertinence qui sont à trois niveaux. « C’est d’abord au regard de son thème qui adresse la question de la vulnérabilité surtout du handicap. C’est également un atelier pertinent au regard de sa cible. Le troisième élément de pertinence de cet atelier est le contexte mondial marqué par la pandémie de la COVID-19 », a listé le SG de là ministre de la famille de la protection de l’enfance et du genre.
M. Diouf a également rappelé que dans le cadre du programme de résilience économique de la COVID-19, le ministère a développé un plan sectoriel articulé autour de 3 axes. « D’abord l’appui au groupe particulièrement vulnérable à travers le panier de la ménagère avec des kits d’hygiène et de protection. Dans ce cadre les groupe particulièrement vulnérable comme les femmes victimes de violences, handicapés... ont bénéficié de cet appui. »
L’autre axe, poursuit Mame Ngor, c’est le plan sectoriel, et le plan de protection des enfants contre la COVID-19. Et dans ce cadre informé-t-il, plus de 5300 enfants ont été retiré de la rue.
« On a également appuyé plus de plus de 200 000 enfants y compris des enfants vivants avec un handicap au niveau national.
Les actions énormes déployées sur le plan social n’ont pas touché pleinement les personnes vivants avec un handicap notamment les enfants malades », révèle Mame Ngor.
Par conséquent dit-il, c'est l’occasion à travers cet atelier de renforcer les capacités des acteurs , leur expérience et leur compétence et surtout ensemble porter le plaidoyer pour l’inclusion de ces enfants. COVID-19 a révélé d’après lui que les violences persistent, et les femmes et les enfants en sont les victimes.
élé, d’après lui, que les violences persistent, et les femmes et les enfants en sont les victimes.
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