M. Sow est dans de beaux draps. Ce jeune berger (23 ans) a été déféré au parquet de Louga pour meurtre. Il est accusé d’avoir tué un cultivateur du nom de Bélal Kâ (50 ans) et d’avoir pris la fuite. Livré à la gendarmerie par son père, il a reconnu les faits mais a invoqué la légitime défense pour justifier son acte.
Les faits se déroulés mercredi dernier vers 18h à Touba Médina, un village de l’arrondissement de Darou Mousty (région de Louga). Selon L’Observateur, qui donne l’information, une vive dispute a opposé le berger et le cultivateur lorsque les bœufs du premier ont envahi le champ du second.
Bélal Kâ proteste auprès de M. Sow et lui demande d’évacuer son troupeau. Face à l’inaction de ce dernier, qui semblait d’après le journal prendre un malin plaisir à voir ses animaux mettre sens dessus dessous le champ, le cultivateur décide de prendre les choses en main. Il court vers les bêtes pour les chasser, mais est stoppé net par le berger.
S’ensuit un échange de propos aigres-doux puis l’irréparable. «M. Sow s’empare de sa machette et assène un violent coup à l’épaule de son antagoniste. Un violent coup de son arme qui arrache le bras gauche du cultivateur», détaille L’Observateur.
Bélal Kâ se retrouve au sol, baignant dans une mare de sang. M. Sow tourne les talons et disparait dans la nature. La cultivateur, mal en point, est recueilli par des villageois qui revenaient des champs. Il rendra l’âme au cours de son évacuation vers le poste de santé de Coki.
Informé du drame, le père du fugitif le conduit nuitamment au poste de gendarmerie de Darou Mousty. Il passe aux aveux et plaide la légitime défense. Mais il ne semble pas près de retrouver son troupeau.
Les faits se déroulés mercredi dernier vers 18h à Touba Médina, un village de l’arrondissement de Darou Mousty (région de Louga). Selon L’Observateur, qui donne l’information, une vive dispute a opposé le berger et le cultivateur lorsque les bœufs du premier ont envahi le champ du second.
Bélal Kâ proteste auprès de M. Sow et lui demande d’évacuer son troupeau. Face à l’inaction de ce dernier, qui semblait d’après le journal prendre un malin plaisir à voir ses animaux mettre sens dessus dessous le champ, le cultivateur décide de prendre les choses en main. Il court vers les bêtes pour les chasser, mais est stoppé net par le berger.
S’ensuit un échange de propos aigres-doux puis l’irréparable. «M. Sow s’empare de sa machette et assène un violent coup à l’épaule de son antagoniste. Un violent coup de son arme qui arrache le bras gauche du cultivateur», détaille L’Observateur.
Bélal Kâ se retrouve au sol, baignant dans une mare de sang. M. Sow tourne les talons et disparait dans la nature. La cultivateur, mal en point, est recueilli par des villageois qui revenaient des champs. Il rendra l’âme au cours de son évacuation vers le poste de santé de Coki.
Informé du drame, le père du fugitif le conduit nuitamment au poste de gendarmerie de Darou Mousty. Il passe aux aveux et plaide la légitime défense. Mais il ne semble pas près de retrouver son troupeau.
7 Commentaires
Comment peut-on continuer à faire de l'élevage comme au temps des premiers hommes ?
Reply_author
En Octobre, 2024 (23:11 PM)Chapeau
En Septembre, 2024 (16:58 PM)Dimou
En Septembre, 2024 (16:59 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (20:12 PM)On enlève, trop facilement, la vie dans ce pays.
Allah swt a dit " Anna nafsa bi nafsi ..." et nous, avec notre prétention, nous disons que nous sommes capables de gérer ça avec des théories droits de l'hommistes !!!
TOSKARÉ NIÉLNA SENEGAL !!!
Le Pauvre
En Septembre, 2024 (17:04 PM)Senegalais
En Septembre, 2024 (17:40 PM)Ils viennent chez vous,sans y être invité,vous humilie et vous tuent au motif su ils ont le droit de se défendre.
Des hypocrites qui influencent le monde entier.
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