Depuis plusieurs années, l’hôpital Aristide Le Dantec est plongé dans un coma de délabrement très inquiétant. Hélas, en lieu et place d’une reconstruction-réhabilitation, des promoteurs immobiliers turcs, espagnols, marocains et indiens s’entretuent pour s’accaparer l’assiette foncière qui s’étend sur 6 hectares en plein Plateau de Dakar et au bord de l’océan. Une assiette estimée à plus de 150 milliards cfa.
Tous ces requins veulent mettre la main sur l’emplacement actuel du plus vieil hôpital de la capitale avec la complicité de nombreux courtiers d’État qui manœuvrent pour la délocalisation de l’hôpital Le Dantec hors de Dakar. Comme les Marocains ont voulu le faire avec la caserne des sapeurs-pompiers El Hadji Malick Sy ! D’où l’alerte des professeurs, médecins et infirmiers de la Commission médicale de cet établissement qui se sont érigés en bouclier pour défendre ce patrimoine historique devenu un hôpital d’instruction sous-régional. Le quotidien Le Témoin a mené l'enquête.
Une bâtisse qui croule sous le poids de l'âge
Construit sur une assiette foncière de 6 hectares (60.000 m2) en plein centre-ville de Dakar et représentant une valeur marchande estimée à plus de 150 milliards cfa, l’hôpital Aristide Le Dantec croule sous le poids de l’âge. En dehors des bâtiments en état de délabrement très avancé malgré les multiples chantiers de diversion entrepris par les gouvernements successifs, l’établissement souffre d’un plateau technique très vétuste.
D’ailleurs, en 2014, le président de la République, Macky Sall, lors de l’inauguration de l’unité de cardiologie, avait promis au personnel médical qu’il allait procéder à la reconstruction-réhabilitation de l’hôpital Aristide Le Dantec. Une promesse dont le moins que l’on puisse en dire est qu’elle tarde à se concrétiser. « Pendant ce temps, des promoteurs immobiliers turcs, marocains, indiens et espagnols s’activent pour mettre la main sur le foncier de l’hôpital estimé de plus de 150 milliards cfa.
Avec la complicité de nombreux courtiers d’État, ces prédateurs véreux sont obnubilés par la vente de l’assiette foncière pour ensuite délocaliser l’hôpital Le Dantec hors de Dakar. C’est peine perdue ! Car nous allons mourir avec cet établissement historique… » jure cet éminent professeur et membre de la commission médicale de l’hôpital Le Dantec.
Toujours est-il qu’il y a quelques semaines, l’ancien chef de cabinet du président de la République, Moustapha Diakhaté, s’était prononcé sur le cas de l’hôpital Le Dantec, comme pour baliser le terrain aux prédateurs fonciers en ces termes : «En raison des difficultés de le rejoindre à cause des embouteillages et du fait que ceux qui le fréquentent viennent essentiellement des autres départements de la région de Dakar, et même de l’intérieur du pays, il est temps de délocaliser cet hôpital dans un autre site plus habilité», avait-il conseillé au président Macky Sall.
Une déclaration qui sonne comme un coup de feu déclenchant la danse des vautours fonciers. Une chose est sûre : des promoteurs immobiliers turcs, espagnols et marocains se sont manifestés de manière souterraine pour le rachat du foncier de l’hôpital (6 hectares) avant de disparaitre pour mieux revenir avec une offre plus alléchante. Mais avant même leur retour avec des propositions financières plus alléchantes, des promoteurs indiens à l’image de féroces vautours ont débarqué en pole position !
Manœuvres de courtiers d’État pour provoquer "l'euthanasie" de l'hôpital
Depuis lors, les Indiens, appuyés par des courtiers d’État, rôdent autour du foncier, quitte à provoquer l’«euthanasie» de l’hôpital déjà malade de ses infrastructures. En tout cas, ces autorités transformées en courtiers d’État s’activent pour la vente l’assiette foncière de l’hôpital Aristide Le Dantec. Des manœuvres qui ont fini de mettre en ébullition ce haut lieu hospitalo-universitaire à l’heure où le président de la République vient d’annoncer sa reconstruction. Un projet de reconstruction de l’hôpital qui a été présenté au chef de l’État le mois dernier (avril 2022).
Satisfait par la maquette ainsi que la faisabilité et la viabilité du projet, le président Macky Sall avait beaucoup échangé avec les acteurs sur l’option de la reconstruction de l’hôpital Le Dantec sur le même site c’est-à-dire l’emplacement actuel qui présente le double avantage d’être à la fois stratégique et accessible. Malheureusement cette belle option n’a pas empêché des courtiers, notaires, activistes et députés de continuer leurs manœuvres pour soutenir ces promoteurs étrangers dans leur volonté de braquer le foncier de l’hôpital.
Et pourtant, l’option « Vente-Délocalisation » avait été clairement rejetée par la commission médicale d’établissement de l’hôpital depuis les assises de 2005. Durant ces États généraux de l’hôpital Le Dantec, les différents acteurs (médecins, décideurs, bailleurs et syndicalistes) s’étaient prononcés sur ces aspects en souhaitant de la part de l’État les mesures suivantes : Un apurement de la dette de l’hôpital, un assainissement de sa gestion, l’efficacité de la subvention de l’Etat, un redéploiement du personnel en interne et en externe pour réduire la charge salariale et un renforcement par des agents qualifiés.
Sans oublier d’autres mesures à prendre comme l’harmonisation des rémunérations (statut du personnel), l’aide urgente pour permettre le fonctionnement correct des services, la reconstruction de l’hôpital sur l’actuel site, les normes permettant de remplir pleinement ses missions de formation de recherche et d’offre de soins de haut niveau compatible avec son statut d’hôpital de référence national et sous régional, l’élaboration et la signature d’une convention hospitalo-universitaire etc. Toutefois, la principale demande portait sur la reconstruction de l’hôpital Aristide le Dantec. Malheureusement, les intérêts personnels des uns et les désirs d’enrichissement illicite des autres sont en passe de remettre en question les résultats de ces assises et torpiller le projet de reconstruction.
Un projet d'hôpital de 4ème génération
Face à cette situation, des membres de la commission médicale de l’hôpital Le Dantec invitent le président de la République à faire démarrer rapidement les travaux de reconstruction pour torpiller la mafia foncière qui rode autour de l’établissement. Faute de quoi, les professeurs, médecins, étudiants, infirmiers et autres syndicalistes vont créer un collectif pour la défense du foncier de l’Hôpital Le Dantec et se faire entendre.
Rappelons-le, l’hôpital Aristide Le Dantec (Hald), qui a franchi le cap des cent (100) ans, est devenu un Centre de formation médicale depuis 1918. Puis un Centre Hospitalier Universitaire (Chu) depuis 1965. Chaque jour, l’Hald reçoit 1500 usagers et plus de 3000 médecins-stagiaires par an. L’Hôpital comptait, en 2012, 63 Professeurs d’Université, quelque 45 assistants chefs de clinique et 250 médecins-étudiants en spécialisation. L’établissement que les promoteurs véreux veulent raser et délocaliser hors de Dakar possède le plus gros potentiel de ressources humaines sur le plan médical de toute l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Il a été érigé en 1999 en Établissement public de santé (Eps) de niveau III par décret et doté d’une autonomie de gestion. Aujourd’hui avec le projet de reconstruction validé par le président de la République, l’objectif est de migrer d’un hôpital de niveau III vers un hôpital de 4ème génération. Et surtout de faire de Le Dantec un centre hospitalier universitaire moderne qui n’existe nulle part ailleurs en Afrique qu’à Dakar. C’est ce projet plus qu’ambitieux que les vautours fonciers veulent torpiller.
Tous ces requins veulent mettre la main sur l’emplacement actuel du plus vieil hôpital de la capitale avec la complicité de nombreux courtiers d’État qui manœuvrent pour la délocalisation de l’hôpital Le Dantec hors de Dakar. Comme les Marocains ont voulu le faire avec la caserne des sapeurs-pompiers El Hadji Malick Sy ! D’où l’alerte des professeurs, médecins et infirmiers de la Commission médicale de cet établissement qui se sont érigés en bouclier pour défendre ce patrimoine historique devenu un hôpital d’instruction sous-régional. Le quotidien Le Témoin a mené l'enquête.
Une bâtisse qui croule sous le poids de l'âge
Construit sur une assiette foncière de 6 hectares (60.000 m2) en plein centre-ville de Dakar et représentant une valeur marchande estimée à plus de 150 milliards cfa, l’hôpital Aristide Le Dantec croule sous le poids de l’âge. En dehors des bâtiments en état de délabrement très avancé malgré les multiples chantiers de diversion entrepris par les gouvernements successifs, l’établissement souffre d’un plateau technique très vétuste.
D’ailleurs, en 2014, le président de la République, Macky Sall, lors de l’inauguration de l’unité de cardiologie, avait promis au personnel médical qu’il allait procéder à la reconstruction-réhabilitation de l’hôpital Aristide Le Dantec. Une promesse dont le moins que l’on puisse en dire est qu’elle tarde à se concrétiser. « Pendant ce temps, des promoteurs immobiliers turcs, marocains, indiens et espagnols s’activent pour mettre la main sur le foncier de l’hôpital estimé de plus de 150 milliards cfa.
Avec la complicité de nombreux courtiers d’État, ces prédateurs véreux sont obnubilés par la vente de l’assiette foncière pour ensuite délocaliser l’hôpital Le Dantec hors de Dakar. C’est peine perdue ! Car nous allons mourir avec cet établissement historique… » jure cet éminent professeur et membre de la commission médicale de l’hôpital Le Dantec.
Toujours est-il qu’il y a quelques semaines, l’ancien chef de cabinet du président de la République, Moustapha Diakhaté, s’était prononcé sur le cas de l’hôpital Le Dantec, comme pour baliser le terrain aux prédateurs fonciers en ces termes : «En raison des difficultés de le rejoindre à cause des embouteillages et du fait que ceux qui le fréquentent viennent essentiellement des autres départements de la région de Dakar, et même de l’intérieur du pays, il est temps de délocaliser cet hôpital dans un autre site plus habilité», avait-il conseillé au président Macky Sall.
Une déclaration qui sonne comme un coup de feu déclenchant la danse des vautours fonciers. Une chose est sûre : des promoteurs immobiliers turcs, espagnols et marocains se sont manifestés de manière souterraine pour le rachat du foncier de l’hôpital (6 hectares) avant de disparaitre pour mieux revenir avec une offre plus alléchante. Mais avant même leur retour avec des propositions financières plus alléchantes, des promoteurs indiens à l’image de féroces vautours ont débarqué en pole position !
Manœuvres de courtiers d’État pour provoquer "l'euthanasie" de l'hôpital
Depuis lors, les Indiens, appuyés par des courtiers d’État, rôdent autour du foncier, quitte à provoquer l’«euthanasie» de l’hôpital déjà malade de ses infrastructures. En tout cas, ces autorités transformées en courtiers d’État s’activent pour la vente l’assiette foncière de l’hôpital Aristide Le Dantec. Des manœuvres qui ont fini de mettre en ébullition ce haut lieu hospitalo-universitaire à l’heure où le président de la République vient d’annoncer sa reconstruction. Un projet de reconstruction de l’hôpital qui a été présenté au chef de l’État le mois dernier (avril 2022).
Satisfait par la maquette ainsi que la faisabilité et la viabilité du projet, le président Macky Sall avait beaucoup échangé avec les acteurs sur l’option de la reconstruction de l’hôpital Le Dantec sur le même site c’est-à-dire l’emplacement actuel qui présente le double avantage d’être à la fois stratégique et accessible. Malheureusement cette belle option n’a pas empêché des courtiers, notaires, activistes et députés de continuer leurs manœuvres pour soutenir ces promoteurs étrangers dans leur volonté de braquer le foncier de l’hôpital.
Et pourtant, l’option « Vente-Délocalisation » avait été clairement rejetée par la commission médicale d’établissement de l’hôpital depuis les assises de 2005. Durant ces États généraux de l’hôpital Le Dantec, les différents acteurs (médecins, décideurs, bailleurs et syndicalistes) s’étaient prononcés sur ces aspects en souhaitant de la part de l’État les mesures suivantes : Un apurement de la dette de l’hôpital, un assainissement de sa gestion, l’efficacité de la subvention de l’Etat, un redéploiement du personnel en interne et en externe pour réduire la charge salariale et un renforcement par des agents qualifiés.
Sans oublier d’autres mesures à prendre comme l’harmonisation des rémunérations (statut du personnel), l’aide urgente pour permettre le fonctionnement correct des services, la reconstruction de l’hôpital sur l’actuel site, les normes permettant de remplir pleinement ses missions de formation de recherche et d’offre de soins de haut niveau compatible avec son statut d’hôpital de référence national et sous régional, l’élaboration et la signature d’une convention hospitalo-universitaire etc. Toutefois, la principale demande portait sur la reconstruction de l’hôpital Aristide le Dantec. Malheureusement, les intérêts personnels des uns et les désirs d’enrichissement illicite des autres sont en passe de remettre en question les résultats de ces assises et torpiller le projet de reconstruction.
Un projet d'hôpital de 4ème génération
Face à cette situation, des membres de la commission médicale de l’hôpital Le Dantec invitent le président de la République à faire démarrer rapidement les travaux de reconstruction pour torpiller la mafia foncière qui rode autour de l’établissement. Faute de quoi, les professeurs, médecins, étudiants, infirmiers et autres syndicalistes vont créer un collectif pour la défense du foncier de l’Hôpital Le Dantec et se faire entendre.
Rappelons-le, l’hôpital Aristide Le Dantec (Hald), qui a franchi le cap des cent (100) ans, est devenu un Centre de formation médicale depuis 1918. Puis un Centre Hospitalier Universitaire (Chu) depuis 1965. Chaque jour, l’Hald reçoit 1500 usagers et plus de 3000 médecins-stagiaires par an. L’Hôpital comptait, en 2012, 63 Professeurs d’Université, quelque 45 assistants chefs de clinique et 250 médecins-étudiants en spécialisation. L’établissement que les promoteurs véreux veulent raser et délocaliser hors de Dakar possède le plus gros potentiel de ressources humaines sur le plan médical de toute l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Il a été érigé en 1999 en Établissement public de santé (Eps) de niveau III par décret et doté d’une autonomie de gestion. Aujourd’hui avec le projet de reconstruction validé par le président de la République, l’objectif est de migrer d’un hôpital de niveau III vers un hôpital de 4ème génération. Et surtout de faire de Le Dantec un centre hospitalier universitaire moderne qui n’existe nulle part ailleurs en Afrique qu’à Dakar. C’est ce projet plus qu’ambitieux que les vautours fonciers veulent torpiller.
42 Commentaires
Reply_author
En Mai, 2022 (08:48 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (09:11 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (09:26 AM)#Yewwi53%
Reply_authobbr
En Mai, 2022 (11:21 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (13:32 PM)Reply_author
En Mai, 2022 (14:21 PM)Ti
En Mai, 2022 (08:39 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (02:00 AM)Tous les bandits à col blanc qui sont dans l administration et qui vendent nos terrains devront être démasqués.
Journalistes d investigations faites votre travail , le peuple le demande
Fakir
En Mai, 2022 (08:39 AM)Jack Le Cafard
En Mai, 2022 (08:49 AM)Osval
En Mai, 2022 (09:14 AM)En Amérique du Nord on ne reste jamais plus de 48h à l'hôpital...Les malades rentrent chez eux pour leurs convalescence. Appliquer ce système permettrait d'éviter que des centaines d'accompagnants parfois inutiles se retrouvent à l'intérieur ou à côté de de l'hôpital.
Dof
En Mai, 2022 (08:58 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (09:14 AM)nos enfants risquent detre de propre etranger dan leur pays DAKAR s'arretera aussi a sandaga et il faut etre un gardien ou une bonne pour acceder au dela
meme le palais ils vont le vendre pour nous l'emplacer a DIOURBEL
Tempo
En Mai, 2022 (09:12 AM)La maternité a été refaite il y'a une vingtaine d'année seulement. Elle n'est pas concernée comme d'autres bâtiments d'ailleurs.
L'accès difficile à l'hôpital en raison des embouteillages n'est pas une bonne raison pour le délocaliser. Il est aussi difficile d'aller à l'Assemblée nationale, l'hôpital principal, le Palais de la République, le building administratif et le marché Sandaga. Est ce que ces édifices concentrés sur moins de 3 kilomètres vont être délocalisés ?
L'état s'amuse et les sénégalais Sont là à ne rien faire . Vous jouez avec le feu !
Berreta
En Mai, 2022 (10:25 AM)Mamadou
En Mai, 2022 (09:24 AM)Il faut bien re-poser le problème de l'exode rural pour le freiner. Tout le monde ne doit pas venir s'agglutiner à Dakar. Vous le voyez bien, il y'a de plus en plus d'étrangers qui viennent s'installer à Dakar.
Rien Et Rien D'autre
En Mai, 2022 (09:34 AM)Vraiment
En Mai, 2022 (09:43 AM)Serieuc on vend tout, on donne tout et ça ne fait que nous appauvrir
Touche Pas à Notre Hopital
En Mai, 2022 (10:22 AM)Il y'a que les tetes vides et les opportunistes qui soutiennent la vente de nos patrimoines . Les dirigeants ne se soucient point de nous bilahi c'est ecoeurant de vendre le site de l'hopital (je suis née labas) . Déja on a pas assez d'hopitaux ni personnel et encore si c'est vendu ca fini tout juste dans les poches de qui on sait mais aucun rendement pour lepeuple. Bref reformons l'hopital un point c'est tout ;Des dirigeants qui sont en ''sursis de mandat'' ne doivent point hypotéquer nos ressources et patrimoine à des etrangers qui nous permettent jamais de fair ces genres de business chez eux diotna niou am dirigeants you consoncients té am fouleu beug rew mi ak askan wi.
Reflechissons et agissons contre ces bolimies fonciéres que denoncent Guy Marius . Personne n'est dupe ici surtout nous la jeunesse on est contre ces rachats idem pour LaPoste ; la strategie qui consiste à "tuer'' le domaine pour ensuite venir dire que la seule solution c'est de privatiser le site ou entreprise à des etrangers ca suffit quoi :::
un dirigeant visionnaire à defaut de reformer aurait donné simplement en location à duree determinée et non vendre à des sommes derisoires
Rox
En Mai, 2022 (09:45 AM)Spirou
En Mai, 2022 (09:48 AM)Révisée votre histoire
Pistolet Semi Auto
En Mai, 2022 (10:21 AM)Lass
En Mai, 2022 (10:38 AM)Avril 2022, le Président a validé la maquette et le budget de la réhabilitation de l'hôpital en niveau 4.
Khana wakh dji djekhoul??
Sarr
En Mai, 2022 (11:32 AM)Mafall
En Mai, 2022 (11:34 AM)cette avidité foncière est à vomir, ils aiment pas le pays
m'le garage de pompier est vendue au marocain ou est l'argent ?
Attention
En Mai, 2022 (13:01 PM)Zorro de la Vérité.
Damel Fall
En Mai, 2022 (13:46 PM)L'idee meme que l'Etat specule sur le foncier en nourrissant une inflation qu'il devrait combattre est absurde en soi.
Plus rien à Dakar ne doit être vendu ou délocalisé. Les capitales du monde sont fières de leurs vieux quartiers et monuments. Ce sont des vestiges de l'histoire et ils attirent les touristes.
Il ne faut pas effacer l'histoire de notre pays.
Abdou Diong
En Mai, 2022 (15:48 PM)Abou
En Mai, 2022 (18:21 PM)Shhh
En Mai, 2022 (18:54 PM)Deug
En Mai, 2022 (20:03 PM)Anonyme
En Mai, 2022 (21:51 PM)Combien de patients ont perdu la vie à cause des embouteillages, la pollution avant la vetuste et tous les maux et tarés de cet hôpital et son emplacement.
Je suggère qu'on laisse sur ce lieu la faculté de médecine et sciences humaines et im7ne polyclinique pour soulager certains malades de Dakar Ville et la périphérie immédiate.
Tous les autres, grands services doivent construits vers Diamniadio et environ pour les malades de l'intérieur du pays et de la banlieu.
Ee grâce qu'une clinique de cardiologie de dernière soit prévue pour les innombrables malades du cœur et des vaisseaux qui meurent dans la plus grande indifférence des autorités.
Cette opération a mon avis pour être financer par la vente d'une partie du terrain.
Participer à la Discussion