Comme s’ils s’étaient passé le mot d’ordre, transporteurs, voyageurs, commerçants et autres usagers de l’espace de la gare routière de Sédhiou ont vidé les lieux ce mercredi 1er décembre dans le cadre de la grève du syndicat des routiers du Sénégal. Journée gare morte donc à Sédhiou puisque les activités de commerce autour de ce pôle économique sont paralysées ce matin.
Lamine Koura, l’adjoint au président de la gare routière, explique que les usagers de la route se plaignent de beaucoup de choses notamment les innombrables contrôles policiers, la concurrence déloyale des autres automobilistes non autorisés à faire du transport. Aussi, pense-t-il que cette grève largement suivie pourrait amener les autorités à aller dans le sens de satisfaire les points de la plateforme revendicative.
Devant la gare routière, les conducteurs de motos Jakarta se tournent les pouces. « Les véhicules descendent les clients et nous les acheminons vers chez eux. Aujourd’hui, comme il n’y a pas de clients, nous n’avons rien à faire. Depuis ce matin, je n’ai pas bougé d’un mètre de là où je suis » a dit Abdou Khadre Sylla, conducteur de moto.
Par contre, son ami Lamine Diedhiou explique que la grève peut par ailleurs nous être favorable. Les clients qui ne sont pas informés arrivent à la gare routière avec l’espoir de trouver un véhicule. Au constat de l’absence de trafic, ils sont obligés de louer des motos pour se rendre à leur destination. Tout le monde ne peut pas s’immobiliser 48 heures durant » a-t-il dit.
Lamine Koura, l’adjoint au président de la gare routière, explique que les usagers de la route se plaignent de beaucoup de choses notamment les innombrables contrôles policiers, la concurrence déloyale des autres automobilistes non autorisés à faire du transport. Aussi, pense-t-il que cette grève largement suivie pourrait amener les autorités à aller dans le sens de satisfaire les points de la plateforme revendicative.
Devant la gare routière, les conducteurs de motos Jakarta se tournent les pouces. « Les véhicules descendent les clients et nous les acheminons vers chez eux. Aujourd’hui, comme il n’y a pas de clients, nous n’avons rien à faire. Depuis ce matin, je n’ai pas bougé d’un mètre de là où je suis » a dit Abdou Khadre Sylla, conducteur de moto.
Par contre, son ami Lamine Diedhiou explique que la grève peut par ailleurs nous être favorable. Les clients qui ne sont pas informés arrivent à la gare routière avec l’espoir de trouver un véhicule. Au constat de l’absence de trafic, ils sont obligés de louer des motos pour se rendre à leur destination. Tout le monde ne peut pas s’immobiliser 48 heures durant » a-t-il dit.
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