Nacia Sonko, habitante du quartier Hamdalay a exprimé un sentiment de satisfaction relatif à la disposition de l'eau. Disposer du liquide précieux avant le Pacasen relevait d'un véritable parcours de Sisyphe. Elle a témoigné également que, grâce au Pacasen, "les femmes peuvent désormais s'adonner à des activités génératrices de revenus avec la revente de sachets d'eau, de barres de glace, de légumes frais et de poissons bien conservés".
Nouha Mane, de l'association des parents d'élèves explique que grâce à ce programme, « le triste décor des abris provisoires avec leurs lots d'insécurité ont disparu ».
Bassirou Mane d'emboucher la même trompette de satisfaction soulignant que le Pacasen a positivement impacté sur les enseignants-apprentissage. Avec l'érection des murs de clôture, la construction de salles de classe en dur, la lumière et l'équipement des salles, l'atteinte du quantum horaire n'est plus une préoccupation à Goudomp.
Ce que le 2 ème adjoint au maire a confirmé rajoutant que les voiries urbaines n'ont pas été oubliées.
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