L’enquête ouverte après le chavirement d’une pirogue remplie de migrants, dimanche au large de Mbour, livre ses premières conclusions. Libération rapporte que l’embarcation était « stationnée » en mer, le temps qu’une seconde pirogue récupère les candidats au voyage, restaient à quai, par petits groupes. L’opération était supervisée par un certain « Pa Faye », activement recherché.
Sauf que précise la source, « d’autres individus ayant capté la manœuvre, sont montés dans la pirogue, menaçant en cas de refus de dénoncer les convoyeurs ». C’est ainsi que « l’embarcation, en situation de surcharge, s’est mise à tanguer avant de se renverser ».
D’après un habitant de Mbour Tefesse, repris par Libération, « au moins 150 personnes étaient à bord de la pirogue [dont] des femmes et des mineurs ». Parmi les victimes, Fatou Samb, une collégienne a été inhumée ce lundi. Quatre corps ont été repêchés le même jour, rappelle le journal.
Sauf que précise la source, « d’autres individus ayant capté la manœuvre, sont montés dans la pirogue, menaçant en cas de refus de dénoncer les convoyeurs ». C’est ainsi que « l’embarcation, en situation de surcharge, s’est mise à tanguer avant de se renverser ».
D’après un habitant de Mbour Tefesse, repris par Libération, « au moins 150 personnes étaient à bord de la pirogue [dont] des femmes et des mineurs ». Parmi les victimes, Fatou Samb, une collégienne a été inhumée ce lundi. Quatre corps ont été repêchés le même jour, rappelle le journal.
L’enquête se poursuit.
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Nous sommes impuissants face à l'émigration clandestine.
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