Axe Thiès-Khombole : Un Ndiaga Ndiaye se renverse, plusieurs blessés.

6 Commentaires

1. 

   Brigadier Sabari

   En Août, 2024 (11:51 AM)

   Vous appellez ca un vehicule? Comment ils arrivent a passer la visite technique? Observez Les pneus. Je ne parle meme pas de feux. Ces epaves ne doivent plus rouler.

   Répondre +7 -0

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En Août, 2024 (12:00 PM)
Le ministre doit démissionner vraiment. Trop c’est trop.
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En Août, 2024 (12:02 PM)
Au même moment le premier ministre reçoit des artistes pour parler d’une opposition de tapette et dit que le thioki c’est dans leur adn.
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En Août, 2024 (12:26 PM)
Comment on peut laisser rouler encore des ndiaga Ndiaye et interdire par exemple une belle Mercedes de 9 ans? Il faut du sérieux dans ce pays
Répondre +20 -0
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En Août, 2024 (14:22 PM)
Les cars Ndiaga Ndiaye et les 504 les plus" neufs" ont plus de 40 ans.je me demande comment peut on autoriser ses cercueils a rouler en 2024.il faut aller dans les gares routières pour voir leurs états.jespere que les nouvelles autoritées qui nous parlent de changement prendrons des mesures pour les éliminer définitivement.
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Dcejcije D
En Août, 2024 (15:27 PM)
La période du Maggal de Touba, où les routes se remplissent de pèlerins, devient un théâtre cruel où la question de la mort semble se jouer avec une ironie absurde. Chaque année, comme un rituel macabre, les accidents se produisent inévitablement, emportant des vies. Et pourtant, face à cette fatalité, on ne peut que constater l'impuissance humaine à échapper à l'inévitable. Qui mourra cette année ? Personne ne le sait, mais il est certain que des vies seront perdues.



Il est paradoxal de penser que prendre la route pour honorer une tradition religieuse puisse se transformer en une rencontre avec la mort. Mais ne pas y aller ne garantit pas non plus la sécurité. L'absurdité réside ici dans cette loterie cosmique, où chacun joue sa part sans connaître l'issue. "Faites vos jeux, rien ne va plus", dit le croupier invisible du destin. Les dés sont lancés, et qu'importe la prudence, les précautions, la mort choisit ses victimes avec une indifférence déconcertante.



Cela nous rappelle que la vie, avec toutes ses certitudes apparentes, est fondamentalement imprévisible et fragile. Mourir en allant au Maggal, ou ailleurs, est une éventualité inscrite dans l'ordre du monde. Seul Allah sait qui sera appelé, mais nous savons tous que certains le seront. Cette réalité, si froide et impitoyable, met en lumière l'absurdité de notre condition : vivre avec l'inévitabilité de la mort, et pourtant avancer, encore et toujours.
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