L’Association professionnelle des contrôleurs de la circulation aérienne du Sénégal (APCCAS) compte restreindre le trafic aérien. Ceci dans le but de réduire « la charge de travail à un niveau raisonnablement gérable par l’effectif et les moyens techniques présentement disponibles », afin de garantir la sécurité des voyageurs.
En effet, dans un communiqué publié ce jeudi 2 janvier 2025, l’APCCAS a dénoncé une « vétusté avancée des moyens techniques utilisés pour la fourniture des services de la navigation aérienne », en plus d’un manque d’effectifs criant des contrôleurs aériens du centre ATS qui gèrent près quatre millions de kilomères carrés de l’espace aérien.
Ces contrôleurs aériens, qui ont en charge « le guidage et la sécurité de la circulation de tous les avions civils et militaires en l’air et au sol, y compris l’avion présidentiel », disent avoir commencé à lancer des alertes aux autorités depuis 2019 sans obtenir satisfaction, puisque ces « deux dernières années la situation s’est aggravée ».
9 Commentaires
Hummm
il y a 3 jours (13:48 PM)Reply_author
il y a 3 jours (14:34 PM)Hummm
il y a 3 jours (13:48 PM)Reply_author
il y a 3 jours (14:59 PM)Reply_author
il y a 2 jours (23:01 PM)Reply_author
il y a 2 jours (09:56 AM)Le secteur du transport aérien est en pleine expansion depuis la réprise, suite à la pandémie de la covid.
Un pays comme le Sénégal occupe une place importante dans le transport aérien en Afrique. AIBD, notre aéroport, gére plusieurs vols commerciaux qui vont de l'Asie, l'Europe vers l'Amérique du Sud et de l'Afrique australe vers l'Amérique du Nord. En outre AIBD, comme autrefois Dakar-Yoff, gére les vols en Afrique Occidentale. Une fois les procédures de décollage faites, que vous vous envoliez par exemple d'Abidjan, de Niamey, de Lomé ou dans n'importe quelle capitale de la sous-région, vous êtes immédiatement pris en charge par AIBD le Sénégal pour votre navigation jusqu'à votre pays de destination de la sous-région.
Dias gére aussi les vols au-dessus de l'Atlantique-ouest et est entièrement responsable des vols sur la FIR océanique, une Région d'information de Vol, qui va de Dakar à Rio de Janeiro et qui s'étend jusqu'à Praïa au Cap-Vert.
La technologie est très dynamique. Elle évolue très vite, AIBD doit suivre. Technologie et Sécurité sont deux domaines où un pays comme le Sénégal peut faire plus si il veut être au norme des grands aéroports internationaux dans le monde.
Dakar-Yoff l'a été pendant très longtemps en Afrique au point d'être survolé en "ETOPS" par la navette américaine Colombia - qui n'existe plus - et avant que celle-ci ne passe très vite, après Dakar, sur Bombay, une fois partie directement de Cap Canaveral aux États-Unis. La piste de Dakar-Yoff était, pour chacune de ses vols, réquisitionnée à chaque départ de cette grande navette pour l'espace. Je l'ai bien vu survolé Dakar-Yoff une fois.
Pour avoir beaucoup misé sur les équipements derniers cris, l'Aéroport d'Accra-Kotoka au Ghana avait, il y a dix ans de cela récupéré une partie du trafic Johannesburg-New York et évité les escales de Dakar et de Praia au Cap-Vert.
Il faut recruter beaucoup d'aiguilleurs, l'Asecna en forme de très bons, moderniser les équipements d'AIBD et de nos aéroports de l'hinterland.
En outre, il se dit que c'est près de trois cents aéronefs, sinon plus, qui survolent quotidiennement l'espace aérien ou atmosphérique du Sénégal sans que nous n'ayons les moyens techniques de les surveiller, de savoir qui passent de jours et de nuits au-dessus de nos têtes. Cela pose donc un problème de sécurité... nationale.
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il y a 3 jours (19:05 PM)Reply_author
il y a 3 jours (19:34 PM)Reply_author
il y a 2 jours (20:52 PM)mais.....
*Cela pose donc un problème de sécurité... nationale....personne ne veut du zoo 221....une masseuse n'est pas kinésithérapeute et seul un mouton bouffeur de carton peut s'imaginer que notre bled représente quelque chose de remarquable.
Azer
il y a 2 jours (20:54 PM)Wakh rek
Anonymous
il y a 2 jours (21:26 PM)Participer à la Discussion