Dans le cadre de ses actions sociales, l’Association des femmes de l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) a remis, hier, aux services de pédiatrie de l’hôpital Aristide Le Dantec et du centre Albert Royer de Fann, des dons composés de denrées de première nécessité de médicaments, etc...Les directeurs des centres hospitaliers d’Aristide Le Dantec et d’Albert Royer ont reçu de l’Association des femmes de l’Ipres (Afip) des dons d’une valeur d’environ 3 millions de FCfa composés de denrées alimentaires, de médicaments, de détergents…
Ce geste, selon Awa Sarr Thiam, présidente de l’Afip, vise à venir en aide aux enfants malades du cancer et du Vih/Sida. L’association participe ainsi à l’action sociale de leur institution et au raffermissement des liens entre les membres de l’Ipres. « Au delà de ce don, nous entendons manifester notre engagement citoyen aux côtés des autorités publiques dans la quête du mieux-être des populations », a soutenu Mme Thiam. Elle a réitéré la volonté de l’Afip à travailler pour mettre en place, dans le long terme, une Fondation afin de venir en aide aux couches défavorisées, comme les enfants malades et les retraités, non sans se féliciter du soutien des autorités de l’Ipres à l’organisation de cette journée.Le directeur général de l’Ipres, Alassane Robert Diallo, a qualifié cette action de «noble », car, a-t-il soutenu, elle traduit la politique sociale de l’institution, celle d’être au cœur de la solidarité sociale.
« Il n’y a pas un acte aussi salutaire que d’appuyer les catégories sociales les plus démunies, à savoir les enfants malades », a constaté M. Diallo qui a promis, à cet effet, d’appuyer des œuvres sociales de ce genre.« C’est un geste de haute portée humaine », a dit Saliou Diallo, directeur de l’hôpital Aristide Le Dantec. Parce qu’il permettra d’augmenter les capacités du service de pédiatrie et d’améliorer la qualité des soins.Ce faisant, il compte, a-t-il dit, utiliser « judicieusement » ce don.
Pour lui, le service de pédiatrie de Le Dantec mérite une attention particulière, en raison de l’engagement de son personnel, mais aussi des malades, souvent démunis, qu’ils reçoivent.A l’hôpital Albert Royer, le directeur, Thierno Seydou Ndiaye, a également noté que ce geste vient à son heure. « Nous sommes un hôpital de référence, et nous sommes obligés de prendre en charge tous les cas sociaux », a-t-il avancé. M. Ndiaye ambitionne, dans le cadre d’un partenariat public-privé, de mettre en place une maternité qui pourra prendre en charge des grossesses pathologiques.
1 Commentaires
Toto
En Septembre, 2013 (11:53 AM)Participer à la Discussion