Le Sénégal vise, à travers le Plan stratégique multisectoriel de la nutrition, de porter à 50 %, au moins, le taux de l’allaitement exclusif durant les six premiers mois de l’enfant.
En effet, les analyses ont montré que le principal obstacle à l’allaitement maternel exclusif (AME) est la pratique de donner de l’eau aux nourrissons de moins de six mois.
Selon l’enquête démographique de santé et indicateurs multiples (EDSC), «réduire cette pratique de 10 points de pourcentage permettrait au Sénégal d’atteindre la cible mondiale de 2025 et permettrait à 80 % des nourrissons de moins de six mois et leurs mères de bénéficier des avantages de l’AME».
D’après l’enquête, au Sénégal, la pratique de l’allaitement maternel exclusif, y compris la mise au sein précoce, demeure encore sous-optimale. Seulement 3/10 des nouveau-nés sont mis au sein dans l’heure suivant la naissance et 3 à 4 nourrissons de moins de six mois exclusivement allaités. «La situation est restée quasi-stationnaire durant les dix dernières années, avec un pourcentage d’enfants exclusivement allaités au sein maternel oscillant entre 30 et 48 %, selon l’enquête EDSC.
C’est d’ailleurs pour soutenir ces efforts du gouvernement que les organisations Alive et Thrive, l’Unicef, l’OMS, entre autres, ont mis en place l’initiative «Plus fort avec le lait maternel uniquement». L’initiative vise à promouvoir et soutenir, mais aussi protéger l’allaitement maternel dans les pays de l’Afrique de l’Ouest.
Dans ce sillage, une rencontre virtuelle a été tenue par le Conseil national de développement et de la nutrition, en collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale et ses partenaires.
Il s’agit d’assurer une plus grande visibilité à l’initiative pour le renforcement de la pratique de l’allaitement maternel exclusif. Mais aussi de partager les objectifs attendus et la feuille de route du Sénégal, tout en sensibilisant les décideurs et les communautés du rôle de cette pratique dans la nutrition et la sécurité alimentaire dans la réduction de la mortalité infantile et maternelle.
En effet, les analyses ont montré que le principal obstacle à l’allaitement maternel exclusif (AME) est la pratique de donner de l’eau aux nourrissons de moins de six mois.
Selon l’enquête démographique de santé et indicateurs multiples (EDSC), «réduire cette pratique de 10 points de pourcentage permettrait au Sénégal d’atteindre la cible mondiale de 2025 et permettrait à 80 % des nourrissons de moins de six mois et leurs mères de bénéficier des avantages de l’AME».
D’après l’enquête, au Sénégal, la pratique de l’allaitement maternel exclusif, y compris la mise au sein précoce, demeure encore sous-optimale. Seulement 3/10 des nouveau-nés sont mis au sein dans l’heure suivant la naissance et 3 à 4 nourrissons de moins de six mois exclusivement allaités. «La situation est restée quasi-stationnaire durant les dix dernières années, avec un pourcentage d’enfants exclusivement allaités au sein maternel oscillant entre 30 et 48 %, selon l’enquête EDSC.
C’est d’ailleurs pour soutenir ces efforts du gouvernement que les organisations Alive et Thrive, l’Unicef, l’OMS, entre autres, ont mis en place l’initiative «Plus fort avec le lait maternel uniquement». L’initiative vise à promouvoir et soutenir, mais aussi protéger l’allaitement maternel dans les pays de l’Afrique de l’Ouest.
Dans ce sillage, une rencontre virtuelle a été tenue par le Conseil national de développement et de la nutrition, en collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale et ses partenaires.
Il s’agit d’assurer une plus grande visibilité à l’initiative pour le renforcement de la pratique de l’allaitement maternel exclusif. Mais aussi de partager les objectifs attendus et la feuille de route du Sénégal, tout en sensibilisant les décideurs et les communautés du rôle de cette pratique dans la nutrition et la sécurité alimentaire dans la réduction de la mortalité infantile et maternelle.
0 Commentaires
Participer à la Discussion