La Ligue sénégalaise contre le tabac (Listab) a publié un rapport, hier. Ce, pour dénoncer le laxisme des pouvoirs publics à l’endroit de l’industrie du tabac au Sénégal, notamment sur l’application des lois antitabac, lit-on dans le quotidien «EnQuête».
Ledit rapport souligne qu’au Sénégal, l’industrie du tabac bénéficie d’une exonération des taxes spécifiques à l’importation. De plus, sur la base des articles 410 et 433 du Code général des impôts (CGI) sont exonérées de taxes spécifiques, des exportations et des reventes en l’état de tabacs à chiquer ou à priser, des cigares, de cigarettes et autres tabacs ayant effectivement supporté la taxe spécifique.
Toujours selon le document de la Listab, les voyageurs internationaux entrant au Sénégal peuvent introduire en franchise 200 cigarettes, 50 cigares ou 250 grammes de tabac. A cela s'ajoutent aussi les pouvoirs publics qui acceptent et soutiennent toute offre d’aide en collaboration avec l’industrie du tabac dans la mise en œuvre de politiques de santé publique en matière de lutte antitabac.
Selon le rapport de la Ligue sénégalaise contre le tabac, l’Etat s’interdit formellement toute ingérence de l’industrie du tabac dans les politiques nationales de santé, conformément à l’article 1 de la loi n°12-2014 du 28 mars 2014 relative à la fabrication, au conditionnement à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac.
Toutefois, la Listab déplore la contribution de la filiale Philip Morris International (PMI) qui avait donné 53 000 dollars US en 2018 pour la construction de nouvelles salles de classe pour une école primaire dans une zone rurale, par l’intermédiaire de la fondation d’Augustine.
Selon le rapport de ladite ligue, les pouvoirs publics accordent des privilèges, des incitations, des exemples fiscaux à l’industrie du Tabac.
Ledit rapport souligne qu’au Sénégal, l’industrie du tabac bénéficie d’une exonération des taxes spécifiques à l’importation. De plus, sur la base des articles 410 et 433 du Code général des impôts (CGI) sont exonérées de taxes spécifiques, des exportations et des reventes en l’état de tabacs à chiquer ou à priser, des cigares, de cigarettes et autres tabacs ayant effectivement supporté la taxe spécifique.
Toujours selon le document de la Listab, les voyageurs internationaux entrant au Sénégal peuvent introduire en franchise 200 cigarettes, 50 cigares ou 250 grammes de tabac. A cela s'ajoutent aussi les pouvoirs publics qui acceptent et soutiennent toute offre d’aide en collaboration avec l’industrie du tabac dans la mise en œuvre de politiques de santé publique en matière de lutte antitabac.
Selon le rapport de la Ligue sénégalaise contre le tabac, l’Etat s’interdit formellement toute ingérence de l’industrie du tabac dans les politiques nationales de santé, conformément à l’article 1 de la loi n°12-2014 du 28 mars 2014 relative à la fabrication, au conditionnement à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac.
Toutefois, la Listab déplore la contribution de la filiale Philip Morris International (PMI) qui avait donné 53 000 dollars US en 2018 pour la construction de nouvelles salles de classe pour une école primaire dans une zone rurale, par l’intermédiaire de la fondation d’Augustine.
Selon le rapport de ladite ligue, les pouvoirs publics accordent des privilèges, des incitations, des exemples fiscaux à l’industrie du Tabac.
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