L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a publié une version revisitée de son plan stratégique de lutte contre la pandémie de Covid-19.
D’après L'AS, l’agence onusienne en charge de la santé a exposé trois possibilités selon lesquelles le coronavirus pourrait se développer cette année. L’une d’elles serait un variant beaucoup plus virulent.
«Sur la base de ce que nous savons désormais, le scénario le plus probable est que le virus va continuer à évoluer, mais que la sévérité de la maladie qu’il provoque va s’amenuiser au fur et à mesure que l’immunité augmente grâce à la vaccination et aux infections», a expliqué le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse.
À l’en croire, des pics d’infections pourraient refaire leur apparition, ce qui nécessiterait des rappels de vaccination notamment pour les personnes vulnérables. «Dans le meilleur des cas, nous verrons des variants moins sévères émerger. Mais dans le pire des scénarios, un virus plus virulent et hautement transmissible pourrait émerger», souligne-t-il.
Selon lui, il faudrait alors modifier les vaccins existants et s’assurer qu’ils sont distribués aux personnes les plus vulnérables.
Pour le directeur de l’OMS, la lutte contre la pandémie comprend cinq éléments clefs. Le premier d’entre eux est la surveillance, via les laboratoires et les organismes de santé publique. Celle-ci passe par des campagnes de tests massifs et le séquençage d’un nombre important d’échantillons.
La vaccination est citée en seconde position. Le directeur de l’OMS rappelle que les doses doivent être équitablement réparties entre les pays. Pour lui, il s’agit «de l’outil le plus puissant que nous ayons pour sauver des vies».
Dans le but de maintenir le virus sous contrôle, il est essentiel de vacciner 70% de la population mondiale en donnant la priorité aux professionnels de santé et aux personnes à risque de faire une forme grave de la maladie.
Alors que les pays les plus riches ont lancé la campagne de la 4e dose, de nombreux pays d’Afrique n’ont toujours pas eu accès à la première dose.
«Par ailleurs, la vaccination doit être couplée à des politiques publiques de restrictions sanitaires lorsque cela est nécessaire», déclare-t-il.
Le troisième élément concerne les systèmes de santé qui devront être plus solides. La recherche et le développement sont cités en quatrième position.
Enfin, en cinquième position, il y a la coordination des actions. «Il s’agit de passer de la gestion de l‘urgence au management d’une maladie respiratoire».
Pour boucler la boucle, le directeur général de l’OMS a annoncé que des systèmes de surveillance génomique des potentiels pathogènes vont être lancés.
D’après L'AS, l’agence onusienne en charge de la santé a exposé trois possibilités selon lesquelles le coronavirus pourrait se développer cette année. L’une d’elles serait un variant beaucoup plus virulent.
«Sur la base de ce que nous savons désormais, le scénario le plus probable est que le virus va continuer à évoluer, mais que la sévérité de la maladie qu’il provoque va s’amenuiser au fur et à mesure que l’immunité augmente grâce à la vaccination et aux infections», a expliqué le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse.
À l’en croire, des pics d’infections pourraient refaire leur apparition, ce qui nécessiterait des rappels de vaccination notamment pour les personnes vulnérables. «Dans le meilleur des cas, nous verrons des variants moins sévères émerger. Mais dans le pire des scénarios, un virus plus virulent et hautement transmissible pourrait émerger», souligne-t-il.
Selon lui, il faudrait alors modifier les vaccins existants et s’assurer qu’ils sont distribués aux personnes les plus vulnérables.
Pour le directeur de l’OMS, la lutte contre la pandémie comprend cinq éléments clefs. Le premier d’entre eux est la surveillance, via les laboratoires et les organismes de santé publique. Celle-ci passe par des campagnes de tests massifs et le séquençage d’un nombre important d’échantillons.
La vaccination est citée en seconde position. Le directeur de l’OMS rappelle que les doses doivent être équitablement réparties entre les pays. Pour lui, il s’agit «de l’outil le plus puissant que nous ayons pour sauver des vies».
Dans le but de maintenir le virus sous contrôle, il est essentiel de vacciner 70% de la population mondiale en donnant la priorité aux professionnels de santé et aux personnes à risque de faire une forme grave de la maladie.
Alors que les pays les plus riches ont lancé la campagne de la 4e dose, de nombreux pays d’Afrique n’ont toujours pas eu accès à la première dose.
«Par ailleurs, la vaccination doit être couplée à des politiques publiques de restrictions sanitaires lorsque cela est nécessaire», déclare-t-il.
Le troisième élément concerne les systèmes de santé qui devront être plus solides. La recherche et le développement sont cités en quatrième position.
Enfin, en cinquième position, il y a la coordination des actions. «Il s’agit de passer de la gestion de l‘urgence au management d’une maladie respiratoire».
Pour boucler la boucle, le directeur général de l’OMS a annoncé que des systèmes de surveillance génomique des potentiels pathogènes vont être lancés.
12 Commentaires
Reply_author
En Avril, 2022 (13:28 PM)La plaisanterie de mauvais gout a assez duré !!
Que les BigPharma vaccinent leurs propriétaires, leurs chercheurs, leurs commerciaux, leurs supports média, les gouvernements corrompus qui imposent des vaccinations à l'infinie, les forces de l'ordre qui répriment les contestataires ainsi que toutes leurs familles et ils pourrons se faire du blé à la pelle !!!!
Lynx
En Avril, 2022 (07:52 AM)un peu de sérieux SVP
Lion
En Avril, 2022 (08:01 AM)Diop
En Avril, 2022 (08:37 AM)Soyez sérieux way
Theo-go
En Avril, 2022 (12:25 PM)Reply_author
En Avril, 2022 (15:07 PM)Tous les promoteurs de vaccins contre le covid 19 sont associés à cette oligarchie occidentale initiatrice de toute cette kabbale sanitaire pour un objectif inavouable.
La même chose devrait être faite au niveau de tous les gouvernements qui, durant cette pseudo pandémie ont initié des campagnes zélées de vaccination des masses, surtout qu'il claire comme l'eau de roche que toutes ces agitations étaient motivées par une corruption à l'échelle mondiale entre ces organismes internationaux, les bigpharmas et les Etats corrompus.
Participer à la Discussion