Hier, lors de l’examen pour le vote du budget du ministère de la Justice, à l’Assemblée nationale, Ismaïla Madior Fall a essuyé beaucoup d’attaques de la part des députés de l’opposition. Surtout, concernant la question du 3ème mandat du président de la République, Macky Sall. Ainsi, l’activiste-député Guy Marius Sagna lui a lancé : Vous êtes le ministre de l’Injustice. Vous êtes un nervi constitutionnel, un risque budgétaire, vous êtes une menace pour la paix et la sécurité dans ce pays ».
Les propos du parlementaire n’ont pas plu au ministre. Toutefois, ce dernier a pris son mal en patience. Appelé devant le pupitre pour répondre aux plaidoyers des députés, Ismaïla Madior Fall en a profité pour solder ses comptes avec ses détracteurs. Après avoir salué la qualité rapport sur leur passage en commission, il a remercié le groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY) surtout ceux qui ont pris la parole et qui ont tenus des propos «très aimables à mon endroit parfois même exagéré sur ma qualité ou ma personne avec une mention particulière au brillant plaidoyer du Président dudit Me Oumar Youm ». «Mais, c’est normal puisque c’est un talentueux avocat », renseigne-t-il.
A l’endroit des députés de l’opposition, le constitutionnaliste a déclaré : « Je les remercie aussi, certains pour louer mes qualités intellectuelles, d’autres pour formuler des critiques à l’encontre de mes positions, de mes opinions, de ma pensée. Cela ne me dérange pas. C’est aussi la démocratie ».
A ceux qui l’ont critiqué, le Professeur de Droit asséné : «Si je voulais continuer à faire l’unanimité, je reste à l’université, je fais mes cours et je rentre chez moi. Si je m’engage en politique , j’assume mes positions et je suis prêt à accepter les critiques. Il n’y pas de problème. Car, il ne faut pas en vouloir à des gens parce qu’ils critiquent, ils ne disent que ce qu’ils pensent de vous ». Par contre, dira-t-il, « c’est maintenant quand on s’attaque à votre propre personne en vous traitant de nervi constitutionnel qui fait mal, ce n’est pas poli, mais ce n’est pas grave ».
Toujours sa réplique, le ministre a laissé entendre : « En fait quand on comprend un peu français , on peut être plus courtois, enrobé, plus fin, plus éloquent dans les propos, mais quand on est brutal aussi ce n’est pas grave, il faut prendre chacun tel qu’il est ». Ismaïla Madior Fall de faire comprendre qu’il «ne faut pas prendre les individus tels qu’on voudrait qu’ils soient mais, il faut les prendre tels qu’ils sont ».
Les propos du parlementaire n’ont pas plu au ministre. Toutefois, ce dernier a pris son mal en patience. Appelé devant le pupitre pour répondre aux plaidoyers des députés, Ismaïla Madior Fall en a profité pour solder ses comptes avec ses détracteurs. Après avoir salué la qualité rapport sur leur passage en commission, il a remercié le groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY) surtout ceux qui ont pris la parole et qui ont tenus des propos «très aimables à mon endroit parfois même exagéré sur ma qualité ou ma personne avec une mention particulière au brillant plaidoyer du Président dudit Me Oumar Youm ». «Mais, c’est normal puisque c’est un talentueux avocat », renseigne-t-il.
A l’endroit des députés de l’opposition, le constitutionnaliste a déclaré : « Je les remercie aussi, certains pour louer mes qualités intellectuelles, d’autres pour formuler des critiques à l’encontre de mes positions, de mes opinions, de ma pensée. Cela ne me dérange pas. C’est aussi la démocratie ».
A ceux qui l’ont critiqué, le Professeur de Droit asséné : «Si je voulais continuer à faire l’unanimité, je reste à l’université, je fais mes cours et je rentre chez moi. Si je m’engage en politique , j’assume mes positions et je suis prêt à accepter les critiques. Il n’y pas de problème. Car, il ne faut pas en vouloir à des gens parce qu’ils critiquent, ils ne disent que ce qu’ils pensent de vous ». Par contre, dira-t-il, « c’est maintenant quand on s’attaque à votre propre personne en vous traitant de nervi constitutionnel qui fait mal, ce n’est pas poli, mais ce n’est pas grave ».
Toujours sa réplique, le ministre a laissé entendre : « En fait quand on comprend un peu français , on peut être plus courtois, enrobé, plus fin, plus éloquent dans les propos, mais quand on est brutal aussi ce n’est pas grave, il faut prendre chacun tel qu’il est ». Ismaïla Madior Fall de faire comprendre qu’il «ne faut pas prendre les individus tels qu’on voudrait qu’ils soient mais, il faut les prendre tels qu’ils sont ».
8 Commentaires
Mamadel
En Décembre, 2022 (12:47 PM)Yoro
En Décembre, 2022 (12:48 PM)Max
En Décembre, 2022 (18:15 PM)Walo Walo
En Décembre, 2022 (07:57 AM)Halib
En Décembre, 2022 (17:11 PM)L' Homme Sans Visage
En Décembre, 2022 (15:05 PM)L' Homme Sans Visage
En Décembre, 2022 (15:05 PM)Participer à la Discussion