Le malaise enfle au sein de Benno. La ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, Victorine Anquediche Ndèye, charge celle qui l’a précédé au département ministériel. « Je ne peux comprendre certains comportements que rien ne peut justifier », a réagi la mairesse de Niaguiss dans un entretien accordé à L’AS.
Selon le journal, elle reproche à Zahra Iyane Thiam, Abdou Latif Coulibaly et Pr Awa Marie Coll Seck de ne pas avoir « exprimé leurs préoccupations en interne », et rompu ainsi « la loyauté qui devait caractériser leur engagement envers le chef de l’État, Macky Sall, un homme ouvert et attentif. »
Pour rappel, la Directrice générale de l'Asepex et responsable de l'Alliance pour la République (Apr, parti au pouvoir), Zahra Iyane Thiam, a étalé sa colère suite à la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire visant le Conseil constitutionnel.
« Donc le mandat de 2012 pouvait être réduit juste par la voie parlementaire! Tout ça pour ça !J'estime que l'acte posé ce jour est une violation flagrante de notre charte fondamentale. Quel gâchis », s’est-elle démarquée sur les réseaux sociaux. Une sortie critique de l’ancien ministre de la Microfinance qui a provoqué une réponse sèche de certaines de ses collègues notamment Thérèse Faye Diouf et Adji Mbergane Kanouté.
Respectivement Ministre-Secrétaire général du gouvernement et Ministre d’État et Présidente de l'ITIE, Abdou Latif Coulibaly et Pr Awa Marie Coll Seck ont claqué la porte après le report de la Présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024. Si la seconde n’a pas donné les raisons de son départ, le premier qui est le frère du juge Cheikh Tidiane Coulibaly, un des deux membres du Conseil constitutionnel sur qui pèsent des soupçons de corruption dans le cadre du processus de vérification des parrainages, a rendu le tablier en indiquant dans sa lettre de démission qu’il tirait ainsi «toutes les conséquences» de la décision du Président Macky Sall de reporter la présidentielle du 25 février et des travaux l’Assemblée nationale à propos de la polémique sur le processus électoral.
Selon le journal, elle reproche à Zahra Iyane Thiam, Abdou Latif Coulibaly et Pr Awa Marie Coll Seck de ne pas avoir « exprimé leurs préoccupations en interne », et rompu ainsi « la loyauté qui devait caractériser leur engagement envers le chef de l’État, Macky Sall, un homme ouvert et attentif. »
Pour rappel, la Directrice générale de l'Asepex et responsable de l'Alliance pour la République (Apr, parti au pouvoir), Zahra Iyane Thiam, a étalé sa colère suite à la mise en place d'une commission d'enquête parlementaire visant le Conseil constitutionnel.
« Donc le mandat de 2012 pouvait être réduit juste par la voie parlementaire! Tout ça pour ça !J'estime que l'acte posé ce jour est une violation flagrante de notre charte fondamentale. Quel gâchis », s’est-elle démarquée sur les réseaux sociaux. Une sortie critique de l’ancien ministre de la Microfinance qui a provoqué une réponse sèche de certaines de ses collègues notamment Thérèse Faye Diouf et Adji Mbergane Kanouté.
Respectivement Ministre-Secrétaire général du gouvernement et Ministre d’État et Présidente de l'ITIE, Abdou Latif Coulibaly et Pr Awa Marie Coll Seck ont claqué la porte après le report de la Présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024. Si la seconde n’a pas donné les raisons de son départ, le premier qui est le frère du juge Cheikh Tidiane Coulibaly, un des deux membres du Conseil constitutionnel sur qui pèsent des soupçons de corruption dans le cadre du processus de vérification des parrainages, a rendu le tablier en indiquant dans sa lettre de démission qu’il tirait ainsi «toutes les conséquences» de la décision du Président Macky Sall de reporter la présidentielle du 25 février et des travaux l’Assemblée nationale à propos de la polémique sur le processus électoral.
3 Commentaires
Ndiaye D’osés
En Février, 2024 (08:18 AM)Subitement Chanteuse Rity
En Février, 2024 (08:34 AM)Aahra
En Février, 2024 (08:21 AM)Massamba
En Février, 2024 (08:22 AM)Il cherche clairement à simuler un coup d'état pour passer le pouvoir à "ses généraux ",ceux que la France décore habituellement (pour quels services rendus à ce pays?certainement des services à rendre comme dans cette situation où il n'a plus d'autre issue que cette option pour fuir tranquillement).
Il a "fixé"la date du "dialogue" pour dans 2 semaines,exactement le jour où doivent se tenir normalement les .....
Il est assuré du soutien des Français pour ce simulacre de coup d'état .Mais,il ignore la position américaine. D'où l'interview à ce journal américain, pour que cette puissance s'aligne dans dans ce forfait.
La solution populaire pour le dégager est de faire table rase sur ces élections et de lutter pour son départ tout simplement. Avec surtout des drapeaux russes.....!Un appel clair à Poutine au secours
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