Ce 31 octobre marque la cérémonie de lancement officiel du projet Grand transfert d’eau (GTE) lac de Guiers - Touba. Une cérémonie adéquate pour le ministre de l’Hydraulique Cheikh Tidiane Dièye pour éclairer la société civile sur le type de marché choisi dans le cadre de ce projet.
C’est du moins ce qu’affirme le coordonnateur du Forum civil Birahime Seck sur le réseau social X. « Nous espérons que le ministère de l’Hydraulique nous dira s’il a utilisé ou pas le gré à gré pour choisir Synohydro dans le cadre du projet GTE. Ceci ressemble plus à un camouflage de procédure, ce qui serait contre la transparence », a-t-il écrit.
Par ailleurs, M. Seck précise avoir lu le communiqué de la cellule de communication du ministère sur le sujet « qui n’a pas répondu à sa question qui (est) pourtant très simple : s’agit-il d’un gré à gré ou d’un appel d’offres ? ».
26 Commentaires
Transparence
En Octobre, 2024 (14:47 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (15:31 PM)C'est une preuve probante qu'il y a bel et bien rupture.
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En Octobre, 2024 (22:49 PM)Jeunesse
En Octobre, 2024 (14:56 PM)Toute fois, les appels d’offre pour les projets de grande nécessité sont coûteux et compliqués…
Une commission sérieuse d’attribution de marché peut se réunir pour choisir les sociétés capables de réaliser le projet, surtout si le financement n’est pas acquis à 100%
Mr Seck a raison, mais le gré à gré n’exclut pas la transparence..
Cette question est souvent demandée pour discréditer les Ministres
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En Novembre, 2024 (13:23 PM)Tout le monde sait que Diéye ONAS est un incompétent doublé d'un dealer.
...................ah bon le profiteur de gamine est en place depuis hier ?
File moi ton agenda que j'efface quelques mois...............
Dinguene Ko Degg Deh
En Octobre, 2024 (15:22 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (13:47 PM)Alors le Lac de Guiers lui appartient.
Tu parleras, aboieras toute ta vie et le jour de ta mort Touba aura encore des faveurs.
Ndeyssane le pauvre
Abass
En Octobre, 2024 (15:46 PM)On dirait qu'on respecte pas nos compatriotes
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En Octobre, 2024 (17:48 PM)Un Projet De L'ancien Régime
En Octobre, 2024 (16:59 PM)Sous la présidence de Macky Sall, une initiative ambitieuse avait vu le jour : « l’autoroute de l’eau ». Cette stratégie novatrice, axée sur le transport de l’eau sur de longues distances pour servir plusieurs régions, peut ouvrir de nouvelles perspectives pour le secteur agricole sénégalais.
Le projet actuel, soutenu par le gouvernement, met en avant la création du canal du Cayor et la revitalisation des vallées fossiles. Le canal du Cayor, s’étendant sur 240 kilomètres et reliant le Lac de Guiers à la presqu’île du Cap Vert, est conçu pour irriguer environ 8500 hectares de terres agricoles dans plusieurs régions clés, dont Louga, Thies, Diourbel et Dakar.
La revitalisation des vallées fossiles, également soutenue par le gouvernement, constitue un volet crucial du projet. Impliquant la réhabilitation de 3000 kilomètres d’anciens cours d’ eau, notamment les vallées du Ferlo, du Saloum et du Sine, cette initiative vise à fournir de l’eau de manière permanente à ces régions agricoles. Cette action sera alimentée à partir du Fleuve Sénégal, grâce à deux ouvrages de prise gravitaire déjà prévus.
En combinant ces deux approches, ‘ »l’autoroute de l’eau », portée par l’ancien Président Macky Sall jusque-là non exécuté, offre un potentiel considérable pour renforcer l’agriculture et contribuer à la sécurité alimentaire au Sénégal. Cette initiative ouvre la voie à une gestion plus efficace des ressources en eau et à une augmentation de la productivité agricole, créant ainsi des opportunités économiques et améliorant les conditions de vie des populations rurales.
L’engagement du gouvernement de Macky Sall dans cette initiative est salué, mais l’attention se tourne désormais vers l’administration actuelle sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye. L’espoir est que cette continuité gouvernementale assure la concrétisation réussie de ce projet ambitieux, qui promet de transformer le paysage agricole du Sénégal et d’apporter des bénéfices durables à ses habitants
Senegalrek
En Octobre, 2024 (17:51 PM)Yaaram
En Octobre, 2024 (18:07 PM)Attention
En Octobre, 2024 (18:08 PM)Je redoute que l’empressement et la nébuleuse qui entourent ce projet ne nous mènent tout droit vers un abîme financier et moral.
En tant que militant du PROJET mais aussi fort d’une expérience de plus de 30 ans dans le sous-secteur (à des niveaux de direction), je crains que ce soit le ministère de l’hydraulique qui précipiterait la déchéance du PROJET en jetant le discrédit sur ses porteurs, en l’occurrence nos nouveaux dirigeants.
Déjà que l’affaire ONAS ne s’est pas estompée que voilà ce ministère qui monte au créneau dans une affaire de gros sous et, si l’on n’y prend garde, de mauvaise gouvernance.
L’Etat doit d’abord effectuer un audit technique et financier des projets de l’hydraulique urbaine (SONES et organes connexes) sur les 15 dernières années, ainsi que l’organisation institutionnelle même du sous-secteur, marqué par un déséquilibre financier et un fort niveau d’endettement.
Le FONSIS, jusqu’ici porteur des actions de Sen’eau (donc depuis bientôt 5 ans), devrait d’abord expliquer son rôle dans la gestion actuelle du Fermier. M
Le FONSIS n’a aucune compétence technique et aucune expérience probante pour s’aventurer dans un projet aussi cher et complexe. M
Si le prix de l’eau est cher au Sénégal c’est à cause de la distance entre le lac de guiers et Dakar. En effet l’énergie force motrice constitue plus de 30% des charges de l’exploitation, et c’est lié au pompage sur la longue distance (200 km). Ensuite il y a le coût de traitement élevé à cause de l’eau de surface, car il faut plusieurs produits chimiques (chaux, sulfate d’alumine, chlore, HTH, etc.). Il y a aussi des charges importantes pour faire face aux rejets de substances chimiques et à l’envahissement de plantes aquatiques, ainsi il faut régulièrement curer les lagunes (boues de rejets) et enlever les algues qui envahissent le lac jusqu’aux prises d’eau (faucardage très coûteux). Donc avec toutes ces charges qui font des dizaines de milliards, comment va-t-on faire pour Touba ? Pour moi il y a un certain nombre de questions à traiter au préalable,
* Impacts environnementaux : rejets et pollutions (un boulet que tous les exploitants ont trainé)
* Impacts sociaux : déguerpissements, expropriations foncières avec beaucoup de champs qui seront perdus
* Aspects économiques : coûts d’exploitation (production, traitement, transport, stockage, entretiens et réparations), coûts liés au sur-dimensionnement des ouvrages (en tenant compte de ceux déjà existants)
* Aspects techniques : tuyaux ou canal ? Pompage ou gravitaire ? Que dit notre topographie ? En cas de pompage, les besoins seront énormes (peut-être avec le pétrole et le gaz les coûts vont baisser, envisager aussi d’autres sources alternatives).
* Aspects financiers : qui va payer tout ça, pour assurer le fonctionnement, la maintenance et les amortissements ?
C’est une véritable démagogie, voir une pure folie, que de penser alimenter gratuitement avec ces ouvrages, la 2e ville du Sénégal en termes démographique. Avec un réseau hors normes, très étendu, beaucoup de non-conformités, un rendement catastrophique, qui va supporter les pertes ?
Sans compter les sujets liés aux rejets qui vont augmenter avec la disponibilité de l’eau et le nombre d’usagers (assainissement). Mais aussi avec l’éventuel arrêt de forages qui ferait remonter la nappe et accroître les problèmes d’assainissement.
Par ailleurs l’exemple de l’autoroute Ila Touba est assez édifiant : un trafic quasi nul après Thiès en jours ordinaires (ce qui risque d’ailleurs de s’empirer avec l’autoroute Dakar-Saint Louis qui pourrait dévier le trafic Toglou-Thies). Ceci devrait nous pousser à mieux réfléchir sur la rentabilité économique de nos projets en tant que pays pauvre et endetté.
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En Octobre, 2024 (20:31 PM)Quelqu'un pourrait-il m'édifier ?
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En Novembre, 2024 (21:02 PM)Serigne Touba amoul morome.
Le jour de ton enterrement, Touba obtiendra toujours des faveurs.
Ta vie doit être un enfer sur Terre et ......
Il ne faisait que parler mais depuis que Dr Dieng a claté son deal, il est devenu aphone. Il est le principal responsable des dégâts et des morts causés par les inondations. Il s'est transformé en Mr Météo au lieu d'être proactif. Un vrai thiouné. Bla bla rek
Gouvernement d'incompétents
Votez massivement contre Pasteef les vendeurs d'illusions.
Daouda
En Octobre, 2024 (22:21 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (00:05 AM)J'ai toujours dit que ces messieurs de pastef étaient pires que macky sall
Heuch
En Octobre, 2024 (23:34 PM)SÉnÉgalais
En Novembre, 2024 (11:05 AM)Pour ces travaux techniquement hyper simples, l'argent échappe aux Sénégalais pour s'accumuler dans les comptes bancaires des étrangers.
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En Novembre, 2024 (00:07 AM)Participer à la Discussion