Membre de la Coalition Diomaye PRésident, la Convergence des Forces Républicaines (CFR) réitère son engagement et son soutien sans faille, sans condition à participer aux élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, sous la bannière du Parti PASTEF."Nous avons travaillé à élir le Chef de l'Etat et nous voulons garder cette cohérence en lui attribuant une majorité absolue à l’Assemblée Nationale" lit-on dans le communiqué de l'entité transmis à notre rédaction
Elle ajoute que ceci reflète bien la volonté des Sénégalaises et Sénégalais contribuant ainsi à la concrétisation du PROJET. La Convergence des Forces Républicaines (CFR) reste convaincue de "la volonté du TANDEM DIOMAYE-SONKO à œuvrer pour un Sénégal juste et prospère, un Sénégal dans lequel les jeunes peuvent rester et réaliser leurs rêves et contribuer à la croissance du pays. Un Sénégal où les femmes joueront un rôle vital et capital pour le développement socio-économique. Un Sénégal pour tous". C'est pourquoi, la CFR appelle tous ses militants et sympathisants,d’ici et de la diaspora, à s’investir et à œuvrer pour donner au PROJET une majorité parlementaire conséquente au soir du 17 novembre 2024.
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12 Commentaires
Reply_author
En Septembre, 2024 (14:14 PM)C’est un mensonge politico-juridique.
Pourquoi ce mensonge est politique ? Parce que les criminels de l’ancien régime savent que les sénégalais sont très nombreux à vouloir confier une très large majorité à PASTEF le 17 novembre prochain afin de pouvoir abroger la loi d’amnistie et poursuivre tous les criminels de l’ancien régime y compris l’ex-dictateur. En disant que l’abrogation de la loi d’amnistie n’est pas possible, les criminels de l’ancien régime veulent dire aux sénégalais qui veulent qu’ils soient jugés, que ce n’est pas la peine de voter PASTEF.
C’est aussi un mensonge juridique que de soutenir qu’il n’est pas possible d’abroger la loi d’amnistie en raison du principe de la non rétroactivité des lois pénales moins douces.
La loi d'amnistie n'est pas une loi pénale plus douce ou moins douce dans la mesure où elle ne prévoit aucune peine. Les lois pénales sont plus ou moins douces en fonction des peines qu'elles prévoient. Non seulement la loi d'amnistie ne prévoit aucune peine mais elle n'incrimine aucun fait. Elle se contente d'effacer des faits commis durant telle période et qui ont été qualifiés de crimes ou délits par le code pénal. Une autre loi peut donc abroger partiellement ou en totalité, cette loi d'amnistie.
De surcroit le principe de non rétroactivité est complètement hors sujet dans cette situation. C'est le principe de la MUTABILITÉ LÉGISLATIVE qui s'applique si la prochaine Assemblée nationale décide d'abroger la loi d'amnistie. Le Conseil Constitutionnel français l'a rappelé à plusieurs reprises « le législateur ne peut lui-même se lier et une loi peut toujours et sans condition, fût-ce implicitement, abroger ou modifier une loi antérieure ou y déroger » Déc. n° 82-142 DC du 29 juill. 1989, Rec. p. 52 ; n° 86-217 du 18 sept. 1986, Rec. p. 141 ; n° 86-220 DC du 22 déc. 1986.
Aucun Etat au monde ne peut être privé ou ne peut se priver de la prérogative de puissance publique de modifier ou d'abroger ses propres lois. khèl manou ko nangou.
Par conséquent, vous ne pouvez pas faire croire aux sénégalais qu'une fois que la loi d'amnistie est votée, c'est fini, on ne peut plus y toucher. Vous faites du Ismaila Madior c'est à dire du tapalé législatif.
Les sénégalais sont réveillés et éveillés. Ils sont capables de comprendre les phénomènes économiques, juridiques ou sociaux les plus complexes.
Le 17 novembre 2024, le Peuple va sortir massivement pour achever la Révolution entamée le 24 mars 2024 et donner une majorité écrasante à PASTEF. Dès le lendemain, l'Assemblée va abroger la loi d’amnistie. Dès le surlendemain la justice, désormais indépendante, sera aux trousses des criminels qui ont tué des dizaines de personnes, emprisonné arbitrairement et torturé des milliers de sénégalais et littéralement saccagé les ressources et les biens du pays. Vous n’avez aucun moyen d’échapper.
Nous démonterons point par point les mensonges politico-juridiques que vous comptez répandre pour tenter d’échapper au sort que la justice vous réserve à juste titre.
Un juriste sénégalais apolitique établi loin du Sénégal.
Hhh
En Septembre, 2024 (14:15 PM)N'avait-il pas accusé Alioune Sall d'avoir détourné 4000 milliards à l'approche des élections locales ?
La suite on connaît et le menteur manipulateur n'en parle plus.
Sa nouvelle trouvaille c'est d'accuser des ministres adversaires politiques d'avoir détourné des milliers de milliards et d'avoir trompé le FMI en ignorant de citer Mimi Touré, Mary Teuw Niane et Mr Diba ancien directeur de la programmation budgétaire et actuel ministre du budget.
Ainsi Sonko accuse la cour des comptes, les directions du ministère des Finances et l'ANDS mais préfère citer que ceux qui sont ses adversaires politiques.
Des mensonges et manipulation pour préparer sa campagne électorale.
Les inondations, l'immigration clandestine, les vars, l'incompétence de son gouvernement et les sorties de Cheikh Oumar Diagne vers les familles religieuses et le l'aveu d'incompétence du ministre de l'hydraulique Diéye qui a osé déclarer que c'est pas leur hivernage,
Tout ce que Sonko a dit dans son point de presse est faux. Les sénégalais sont tellement habitués à ses mensonges que seuls ses moutons y croient.
Ibrahima Thiam
En Septembre, 2024 (16:02 PM)Reply_author
En Septembre, 2024 (21:28 PM)Vas te coucher maintenant.
Nafi
En Septembre, 2024 (18:42 PM)À l’issue de la mission, M. Gemayel a fait la déclaration suivante :
« La situation sociopolitique tendue a pesé sur l'activité des secteurs du commerce et des services au cours du premier semestre de cette année, ce qui a conduit à une révision à la baisse des prévisions de croissance du PIB, qui sont passées de 5,3 % à 4,1 %. L'inflation en glissement annuel est tombée à 5,7 % en juillet, mais de nouvelles pressions inflationnistes provenant de certains produits alimentaires de base (riz, oignon, sucre) sont apparues récemment, et les prévisions pour l'inflation moyenne en 2023 ont été révisées à la hausse, passant de 5 % à 6,1 %. Les conditions financières sur le marché régional demeurent tendues. L'exécution du budget jusqu'à la fin du mois de juin a été globalement conforme aux objectifs du programme. Toutefois, l’atteinte des objectifs du programme de fin décembre nécessitera des efforts supplémentaires en matière de mobilisation des recettes.
« Malgré le retard dans le démarrage de la production d'hydrocarbures, les perspectives macroéconomiques restent favorables. En 2024, la croissance du PIB réel devrait atteindre 8,8 %, stimulée par le démarrage de la production de pétrole et de gaz. La croissance hors hydrocarbures devrait remonter à 6 %. Les autorités sont déterminées à poursuivre les efforts d'assainissement budgétaire afin de reconstituer des réserves budgétaires et réduire les vulnérabilités croissantes de la dette publique. À cette fin, le projet de budget 2024 table sur un déficit budgétaire de 3,9 % du PIB. Les autorités sont encouragées à rationaliser les exonérations fiscales et à accélérer la mise en œuvre de la stratégie des recettes à moyen terme (SRMT). Elles doivent également prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer l'élimination progressive des subventions à l’énergie (1 % du PIB en 2024), comme le prévoit la feuille de route adoptée en janvier dernier.
« La mission salue les progrès réalisés dans la mise en œuvre des mesures de réforme convenues dans le cadre du programme soutenu par la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD). Les réformes à court terme comprennent l'adoption d'un décret qui aidera à intégrer les considérations climatiques à toutes les étapes de la gestion des investissements publics et la définition de priorités stratégiques pour aller vers des transports publics plus écologiques. La mission est encouragée par l'engagement des autorités à faire du renforcement de la résilience au changement climatique un pilier central de la stratégie nationale de développement actualisée (PAP3), qui devrait être finalisée d'ici la fin de l'année.
« L'équipe du FMI remercie les autorités et les autres partenaires pour leur excellente coopération et les discussions franches et constructives au cours de la visite. Les discussions pour la première revue au titre des accords de la Facilité Elargie de Crédit (FEC), du Mécanisme Elargi de Crédit (MEC) et de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD) sont prévues pour octobre 2023.
« Au cours de la visite, l'équipe du FMI a été reçue en audience par son excellence, Monsieur le Premier ministre, Amadou Ba. Elle a également rencontré le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba ; le Directeur National de la BCEAO, Ahmadou Al Aminou Lo ; des hauts fonctionnaires ; des partenaires au développement ; ainsi que des représentants des milieux d'affaires et de la société civile. »
Département de la communication du FMI
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ATTACHÉ DE PRESSE: Tatiana Mossot
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