L’Assemblée nationale se penche ce mercredi sur la proposition de mise en place d’une commission d’enquête parlementaire. Portée par les députés du groupe Liberté, démocratie et changement (PDS et Cie), l'initiative vise, selon ses auteurs, à faire la lumière sur «l’élimination dans des conditions foncièrement troubles, de candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, en particulier celle de Karim Wade».
Les libéraux ont saisi le Parlement sur la base de soupçons de «conflits d’intérêts», de «corruption» et de «collusion» dans le processus de vérification des parrainages. Ils pointent directement deux membres du Conseil constitutionnel : Cheikh Tidiane Coulibaly, son président, et Cheikh Ndiaye.
Le «7 Sages» ont reçu le soutien de membres de la commission de vérification des parrainages. Il s’agit des représentants de la Commission électorale nationale autonome (CENA), des personnalités indépendantes désignées par le Conseil constitutionnel et des agents de l’Administration, qui participaient aux vérifications des parrainages en tant qu’observateurs.
Dans un communiqué repris par L’AS, ces derniers laissent entendre en effet que les opérations visées se sont déroulées dans l’équité et la transparence. «La commission a travaillé sur la base du fichier général des électeurs transmis au Conseil constitutionnel par le ministère de l’Intérieur, le 24 novembre 2023, et intégré, en l’état, dans le dispositif informatique de contrôle», témoignent-ils.
Par ailleurs, poursuivent les auteurs du communiqué, «les dossiers de parrainage de tous les candidats ont fait l’objet d’un traitement égal, effectué dans le calme et la courtoisie, sous la direction du président du Conseil constitutionnel, président de la commission».
La même source écarte aussi les accusations de manipulation de clés USB : «le président (de la commission) ayant plutôt fait procéder à des corrections, dans l’intérêt du candidat concerné, avec l’accord de celui-ci ou de son représentant, chaque fois qu’il était possible de le faire dans le respect de la loi électorale», rapporte-elle.
Les libéraux ont saisi le Parlement sur la base de soupçons de «conflits d’intérêts», de «corruption» et de «collusion» dans le processus de vérification des parrainages. Ils pointent directement deux membres du Conseil constitutionnel : Cheikh Tidiane Coulibaly, son président, et Cheikh Ndiaye.
Le «7 Sages» ont reçu le soutien de membres de la commission de vérification des parrainages. Il s’agit des représentants de la Commission électorale nationale autonome (CENA), des personnalités indépendantes désignées par le Conseil constitutionnel et des agents de l’Administration, qui participaient aux vérifications des parrainages en tant qu’observateurs.
Dans un communiqué repris par L’AS, ces derniers laissent entendre en effet que les opérations visées se sont déroulées dans l’équité et la transparence. «La commission a travaillé sur la base du fichier général des électeurs transmis au Conseil constitutionnel par le ministère de l’Intérieur, le 24 novembre 2023, et intégré, en l’état, dans le dispositif informatique de contrôle», témoignent-ils.
Par ailleurs, poursuivent les auteurs du communiqué, «les dossiers de parrainage de tous les candidats ont fait l’objet d’un traitement égal, effectué dans le calme et la courtoisie, sous la direction du président du Conseil constitutionnel, président de la commission».
La même source écarte aussi les accusations de manipulation de clés USB : «le président (de la commission) ayant plutôt fait procéder à des corrections, dans l’intérêt du candidat concerné, avec l’accord de celui-ci ou de son représentant, chaque fois qu’il était possible de le faire dans le respect de la loi électorale», rapporte-elle.
8 Commentaires
Au Diable
En Janvier, 2024 (09:28 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (10:36 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (10:47 AM)ah c'est devenu normal dans un pays ou les habitants s'émerveillent de disposer d'un TER qui est le sacandale financier du siécle ou le goro du président s'est encore fait des miliards.
J'ai juste hate de voir le futur président exigeait des audits de 2000 à 2023
De l'incompétene du gros président par accident à la vendeuse de thiaf pauvre de nous
Ardo Mbantou
En Janvier, 2024 (09:55 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (13:03 PM)Les Dealers
En Janvier, 2024 (10:07 AM)Et le PDS etait il un parti d'opposition ou un parti de dealers pour juste faire passer leur candidat
Comment comprendre que karim reste toujours au quatr pour lausser les moins que rien faire le combat à sa place
Veut il qu'on lui offre le pouvoir comme sur un plateau d'or
il n'a qu'à venir combattre lui meme son combat et là nous sauront qu'il est serieux dans sa volonté de gouverner le senegal
Pendant qu'on fatiguait Sonko ou etait le PDS
Maintenant ils nous parlent comme s'ils n'etaient pas au senegal
ils ont toujours soutenu le pouvoir et non l'opposition jusqu'à refuser à l'opposition d'etre majeuritaire à l'assemblée nationale
On les laisse faire leur cinema et partons en campagne
Une Bonne Leçon Pour Nos Juges
En Janvier, 2024 (11:36 AM)Participer à la Discussion