Tout comme Khalifa Sall, Karim Wade a aussi recouvré ses droits civiques et politiques à la faveur d’une modification de la loi électorale lui permettant de conquérir à la prochaine présidentielle. Seneweb se penche sur les forces et les faiblesses de ce candidat « virtuel », car étant en exil au Qatar, depuis sa sortie de prison en 2016.
Le samedi 5 août 2023, l’Assemblée nationale sénégalaise a adopté avec succès la modification du Code électoral, l’une des recommandations issues du dialogue national lancé en fin mai par le chef de l’Etat, Macky Sall. Une réforme qui a remis dans la course à la présidentielle Karim Wade, recalé en 2019, pour avoir été condamné, le 23 mars 2015, par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) à six ans de prison et à payer une amende estimée à 138 milliards F Cfa, avant d’être gracié en juin 2016 par le président de la République, Macky Sall.
« Un petit toubab »
Recalé en 2019, celui qui s’est exilé au Qatar depuis la nuit de sa sortie de la prison de Rebeuss, n’a cessé de rejeter l’offre d’une amnistie agitée depuis début 2023 et a continué d’exiger la révision du procès, au motif qu’il aurait été mal jugé par une juridiction du reste « illégale ».
Aujourd’hui qu’il est réhabilité, soit à un peu plus de 6 mois de la Présidentielle de février 2024, Karim Wade, qui aura 55 ans le 1er septembre prochain, reste un « candidat virtuel » aux yeux de bon nombre de ses compatriotes et surtout de militants du Parti démocratique sénégalais (Pds) qui se contentent de ses communiqués et de ses quelque clichés postés sur Facebook. Une attitude qui avait été à l’origine de la démission pour le pouvoir de Macky Sall, de pas mal d’anciens caciques du Pds, des responsables qu’il a appelé récemment à retourner à la maison en vue de soutenir sa candidature.
Journaliste et analyste politique, Assane Samb pense que l’un des handicaps de Karim Wade, c’est la non-maîtrise de certains paramètres culturels locaux. « Il serait pour certains un petit toubab », confie-t-il à Seneweb. Le directeur de publication de Rewmi quotidien évoque également son long séjour à Doha. « Il aurait fallu peut-être tenir au niveau de Rebeuss, sortir par la grande porte, même si on est gracié, on doit rester libre dans le pays, au lieu de se livrer à un protocole qui pourrait ressembler à une compromission aux yeux des Sénégalais », ajoute-t-il, rappelant un possible protocole entre le Pds, l’Etat, Macky Sall, le procureur du Qatar, certains religieux sénégalais, entre autres. « Tout cela peut être préjudiciable à la crédibilité de Karim Wade », selon toujours notre interlocuteur. Il fait notamment savoir que son exil pose problème par rapport au fait que le landerneau politique a beaucoup évolué entre temps avec une importante reconfiguration.
Malgré tout, Karim Wade a des atouts. Le journaliste politique cite son « expérience de la gestion des affaires publiques » pour avoir occupé plusieurs postes de responsabilité entre 2000 et 2012.
Karim, au nom du père et du parti
Comme un enfant de chœur qui a tout reçu d’un bon samaritain, Karim Wade devrait aujourd’hui toute sa carrière politique à son père, le Président Abdoulaye Wade ou à l’influence de celui-ci. En effet, au début des années 2000, date de l’accession de son père au pouvoir, le Sénégal n’avait qu’une vague idée de ce fils effacé, au parcours jusque-là secret, ancien pensionnaire de l’école franco-sénégalaise de Fann (Dakar) et des Cours Sainte-Marie de Hann (Dakar) qui est allé poursuivre ses études à Saint-Martin, un établissement d’enseignement privé en France. Pourtant Karim Wade avait déjà fourbi ses armes dans le monde professionnel entre Paris et Londres en tant que cadre au département fusion-acquisition dans une banque suisse avant d’être recruté à Londres par une banque d’affaires. Diplômé de l’Université Panthéon-Sorbonne, il est sorti avec une maîtrise en Sciences de gestion et un diplôme en troisième cycle en ingénierie financière.
En 2004, il est sorti de l’ombre. Ainsi, celui qui avait jusque-là en charge les dossiers techniques, en tant que conseiller officieux chez son père, est porté à la tête de l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique (Anoci). Le Sénégal devait accueillir, en 2008, 57 pays musulmans. Karim Wade est chargé de coordonner l’évènement international et de collecter les fonds nécessaires à l’organisation de la rencontre. Une gestion opaque des finances de ladite agence a été d’ailleurs dénotée à la suite de la tenue de l’Oci.
Il a ensuite eu à gérer quatre postes de ministre : Infrastructures, Coopération internationale, Transports aériens et Énergie. Ce qui lui a valu le surnom de « ministre du ciel et de la terre ».
Candidat malheureux à l'élection municipale de Dakar en 2009, à un moment pressenti pour succéder à son père à la présidence, le leader de la « Génération du concret » n’a jamais bénéficié d’un poste électif.
Mais, selon M. Samb, l’influence de son père peut bien jouer en faveur de Wade-fils. « En tant qu’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade a encore beaucoup d’adeptes au Sénégal. C’est quelqu’un en qui beaucoup de gens croient et chaque fois qu’il parraine un candidat, ce dernier peut effectivement avoir un soutien du fait tout simplement que Wade est à ses côtés », analyse-t-il
Aussi, ajoute le journaliste, Karim Wade est dans un parti structuré et très fort, bien représenté au niveau national. « Le Pds a encore ses adeptes, qui croient à leur secrétaire général national Me Abdoulaye Wade et ils sont certainement prêts à retrouver le parti si jamais le leadership était clairement affirmé », indique l’analyste politique.
Assane Samb de rappeler, enfin, que l’autre atout que tous les candidats en lice vont se partager, c’est le fait que les principaux leaders politiques qui étaient favoris ne vont pas participer à savoir Ousmane Sonko et Macky Sall. « Cela ouvre le jeu politique, ça donne des chances à tout le monde », observe-t-il.
Le samedi 5 août 2023, l’Assemblée nationale sénégalaise a adopté avec succès la modification du Code électoral, l’une des recommandations issues du dialogue national lancé en fin mai par le chef de l’Etat, Macky Sall. Une réforme qui a remis dans la course à la présidentielle Karim Wade, recalé en 2019, pour avoir été condamné, le 23 mars 2015, par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) à six ans de prison et à payer une amende estimée à 138 milliards F Cfa, avant d’être gracié en juin 2016 par le président de la République, Macky Sall.
« Un petit toubab »
Recalé en 2019, celui qui s’est exilé au Qatar depuis la nuit de sa sortie de la prison de Rebeuss, n’a cessé de rejeter l’offre d’une amnistie agitée depuis début 2023 et a continué d’exiger la révision du procès, au motif qu’il aurait été mal jugé par une juridiction du reste « illégale ».
Aujourd’hui qu’il est réhabilité, soit à un peu plus de 6 mois de la Présidentielle de février 2024, Karim Wade, qui aura 55 ans le 1er septembre prochain, reste un « candidat virtuel » aux yeux de bon nombre de ses compatriotes et surtout de militants du Parti démocratique sénégalais (Pds) qui se contentent de ses communiqués et de ses quelque clichés postés sur Facebook. Une attitude qui avait été à l’origine de la démission pour le pouvoir de Macky Sall, de pas mal d’anciens caciques du Pds, des responsables qu’il a appelé récemment à retourner à la maison en vue de soutenir sa candidature.
Journaliste et analyste politique, Assane Samb pense que l’un des handicaps de Karim Wade, c’est la non-maîtrise de certains paramètres culturels locaux. « Il serait pour certains un petit toubab », confie-t-il à Seneweb. Le directeur de publication de Rewmi quotidien évoque également son long séjour à Doha. « Il aurait fallu peut-être tenir au niveau de Rebeuss, sortir par la grande porte, même si on est gracié, on doit rester libre dans le pays, au lieu de se livrer à un protocole qui pourrait ressembler à une compromission aux yeux des Sénégalais », ajoute-t-il, rappelant un possible protocole entre le Pds, l’Etat, Macky Sall, le procureur du Qatar, certains religieux sénégalais, entre autres. « Tout cela peut être préjudiciable à la crédibilité de Karim Wade », selon toujours notre interlocuteur. Il fait notamment savoir que son exil pose problème par rapport au fait que le landerneau politique a beaucoup évolué entre temps avec une importante reconfiguration.
Malgré tout, Karim Wade a des atouts. Le journaliste politique cite son « expérience de la gestion des affaires publiques » pour avoir occupé plusieurs postes de responsabilité entre 2000 et 2012.
Karim, au nom du père et du parti
Comme un enfant de chœur qui a tout reçu d’un bon samaritain, Karim Wade devrait aujourd’hui toute sa carrière politique à son père, le Président Abdoulaye Wade ou à l’influence de celui-ci. En effet, au début des années 2000, date de l’accession de son père au pouvoir, le Sénégal n’avait qu’une vague idée de ce fils effacé, au parcours jusque-là secret, ancien pensionnaire de l’école franco-sénégalaise de Fann (Dakar) et des Cours Sainte-Marie de Hann (Dakar) qui est allé poursuivre ses études à Saint-Martin, un établissement d’enseignement privé en France. Pourtant Karim Wade avait déjà fourbi ses armes dans le monde professionnel entre Paris et Londres en tant que cadre au département fusion-acquisition dans une banque suisse avant d’être recruté à Londres par une banque d’affaires. Diplômé de l’Université Panthéon-Sorbonne, il est sorti avec une maîtrise en Sciences de gestion et un diplôme en troisième cycle en ingénierie financière.
En 2004, il est sorti de l’ombre. Ainsi, celui qui avait jusque-là en charge les dossiers techniques, en tant que conseiller officieux chez son père, est porté à la tête de l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique (Anoci). Le Sénégal devait accueillir, en 2008, 57 pays musulmans. Karim Wade est chargé de coordonner l’évènement international et de collecter les fonds nécessaires à l’organisation de la rencontre. Une gestion opaque des finances de ladite agence a été d’ailleurs dénotée à la suite de la tenue de l’Oci.
Il a ensuite eu à gérer quatre postes de ministre : Infrastructures, Coopération internationale, Transports aériens et Énergie. Ce qui lui a valu le surnom de « ministre du ciel et de la terre ».
Candidat malheureux à l'élection municipale de Dakar en 2009, à un moment pressenti pour succéder à son père à la présidence, le leader de la « Génération du concret » n’a jamais bénéficié d’un poste électif.
Mais, selon M. Samb, l’influence de son père peut bien jouer en faveur de Wade-fils. « En tant qu’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade a encore beaucoup d’adeptes au Sénégal. C’est quelqu’un en qui beaucoup de gens croient et chaque fois qu’il parraine un candidat, ce dernier peut effectivement avoir un soutien du fait tout simplement que Wade est à ses côtés », analyse-t-il
Aussi, ajoute le journaliste, Karim Wade est dans un parti structuré et très fort, bien représenté au niveau national. « Le Pds a encore ses adeptes, qui croient à leur secrétaire général national Me Abdoulaye Wade et ils sont certainement prêts à retrouver le parti si jamais le leadership était clairement affirmé », indique l’analyste politique.
Assane Samb de rappeler, enfin, que l’autre atout que tous les candidats en lice vont se partager, c’est le fait que les principaux leaders politiques qui étaient favoris ne vont pas participer à savoir Ousmane Sonko et Macky Sall. « Cela ouvre le jeu politique, ça donne des chances à tout le monde », observe-t-il.
25 Commentaires
Maj
En Août, 2023 (09:24 AM)Reply_author
En Août, 2023 (10:50 AM)Bmw
En Août, 2023 (09:25 AM)Hé!
En Août, 2023 (14:39 PM)Atekh Ndiaye Le Grand Karimist
En Août, 2023 (09:33 AM)vive Abdoulaye Wade
vive PDS
vive Karim Wade
vive nous les karimistes
vive le Sénégal 🇸🇳🇸🇳🇸🇳
♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️Karim Wade rk 2023 inchallah
union fait la force
Lebaolbaol Tigui
En Août, 2023 (09:34 AM)Lebaolbaol Tigui
En Août, 2023 (09:37 AM)Reply_author
En Octobre, 2023 (20:25 PM)si il vient c est pour gagner et ca faut pas rever c est pas possible
Jim
En Août, 2023 (11:14 AM)En l'état actuel des choses, aucun homme d'état ou politicien sénégalais n'arrive à la cheville du fils du président Wade..
Reply_author
En Octobre, 2023 (21:14 PM)mais qui vous dit que karim va se presenter depuis des annees on nous parle de lui alors qu il ne donne aucun veritable signe de vie ;
si il vient c est pour gagner et ca faut pas rever c est pas possible
Wade a donc réussi à libérer économiquement et militairement le pays de l'emprise occidentale. Cependant, malheureusement, une conspiration internationale, notamment orchestrée par des intérêts économiques français en déclin , l'a combattu avec la collusion de compatriotes sénégalais déloyaux, ceux que l'on qualifie de "collaborateurs" au service de la France-Afrique ou « nègres de service », en grande partie constitués d'intellectuels, de journalistes, de membres de la société civile et de partis politiques, qui ont manipulé le peuple avec des mensonges, des calomnies et des diffamations sur la fausse dévolution monarchique et la troisième candidature, dont il était en fait légalement et constitutionnellement en droit. Ceux qui contredisaient cette affirmation lui reconnaissent aujourd'hui son droit. Cela a servi à remettre le pays sous la dépendance de la France, avec Macky Sall à sa tête.
Macky Sall est le produit de votre prétendue campagne subversive et trompeuse contre Wade en 2011, basée sur des accusations infondées au nom d'une soi-disant « DEMANDE SOCIALE ». Cela met en évidence un double jeu et une hypocrisie manifeste lorsqu'on instrumentalise les aspirations populaires pour justifier des mensonges et agir au-dessus des lois. La résurrection de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI), en violation flagrante de la constitution, puisqu'elle avait été abolie par la loi organique de 1984 instituant les tribunaux du Sénégal, et confirmée par la loi de 2014 créant les chambres africaines extraordinaires, était une tentative de neutraliser un opposant, avec le consentement tacite d’un peuple manipulé et ignorant pour certains et méchant pour d’autres, au nom d'une prétendue reddition de comptes. Cependant, le temps se révèle être le meilleur arbitre, car le procureur en charge de ce dossier a récemment révélé les manipulations et les mensonges de cette institution, dont l'objectif était de discréditer Wade et son fils. La justice divine prévaudra. C'est la cruauté injustifiée envers Wade, combinée à un désir non divulgué et subjectif de s'en débarrasser, qui a permis à Macky Sall d'accéder au pouvoir et de consolider son régime autoritaire. Vous avez créé un président aux proportions monstrueuses, capable d'étouffer toute opposition à son pouvoir.
L'équité exige que l'injustice soit combattue de manière impartiale, sans égard à l'individu concerné. Où sont ceux qui proclamaient "laissez la justice faire son travail » ? Ils sont les mêmes qui aujourd'hui insultent cette institution judiciaire. L'élection d'un président ne devrait pas être basée sur des mensonges, de la haine ou des motifs gratuits, ni sur des considérations religieuses ou de groupe. Ce sont ces éléments qui ont malheureusement conduit à l'ascension de Macky Sall en 2012, un rappel amer pour notre nation.
C'est pour toutes ces raisons, afin de s'inscrire dans la continuité de l'œuvre entreprise par Wade pour construire le pays, que Karim Wade se profile comme la meilleure alternative. Étant donné l'état économique actuel du pays, marqué par une inflation constante, une dette extérieure démesurée de plus de 14 milliards, un déficit commercial criant, un chômage endémique, etc., il est impératif de trouver quelqu'un capable de mobiliser rapidement des fonds, de manière indépendante vis-à-vis des bailleurs de fonds tels que la Banque mondiale et le FMI. Cela permettrait d'obtenir une marge de manœuvre dans la politique économique du pays.
Cependant, il reste un point crucial sur lequel j'émets des réserves à son sujet : les réformes institutionnelles, en particulier dans les domaines judiciaire et administratif. Ces secteurs sont en état de délabrement avancé, rongés par la corruption, le laxisme, le clientélisme et le népotisme. Ces éléments contribuent grandement à la dégradation de notre administration et de notre système judiciaire. Pour entrevoir un développement à long terme, il est impératif de les reconstruire rapidement et intégralement.
Karim Wade a laisse l'image d'un enfant gate capricieux intouchable qui a profite du travail des autres
Karim Wade n'a aucune chance le Senegal de 2000 qui avait vu Wade gagner a la surprise generale est different de celui de 2024
Hailé Mariam
En Août, 2023 (12:08 PM)Sathiey Woop!!!!
En Août, 2023 (12:24 PM)Faiblesse :138 milliards
Reply_author
En Août, 2023 (12:56 PM)Farba
En Août, 2023 (12:26 PM)Mr farba senghor eleve en calassede cm2colline 54candidat au cefedakar le 25 mai 1980a mon paire au villagemon chaire paire je t ecris cet lettre pour te demande tes nouveles et cel de la famille quant a moi dieu merci je me porte tres bon.si je t ecri cet lettre s est que les eksamens vont bienteau approche et que tous les eleves qui ont un bon paire se leve tot pour marabouter surtout que le metre de cet annee n ait pas telement bon avec moi selui de l annee passe j etais encore peti etait plus bon avec moi.il m a garde deuz ans dans sa calasse telement il memait.si le francais que je te parle est trop fort pour toi il faut montrer a doudou il a son defeme .papa il faut coute que coute marabouter parceque dans notre calasse il y a trop de sorciers qui veule etre admis .il y a saniokhor qui est tous les jours 1er.son pere est 2eme gouverneur.il faut le travailler pour moi keba aussi est dangereux mais son pere avait dit non a senghor pendant le dernier wote s est pas la peine de le travailler il ne sera pas admis.et puis aussi il y a rokhaya que sa mere a tue un chevre blanc dis a ma mere de me tuer le poule balanc quel avait garder pour mon eksamen parceque fode veut me travailler pour que je devenir fou dans ma tete .son pere est elimane du quartier il me regarde tous les jours mal quand je trawaye bien . chaire paire il fot ossi me aprendre a volez com mon onqle sadiogo, ilvol bocout de mutons et des beuffes.papa fait tout pourque je admis ton fils qui t aime bocoutréponse de la maman mr farba senghor (copyright satan)cher fils,je t'écris ces lignes pour que tu saches que je t'écris. alors, si tu reçois cette lettre, c'est qu'elle est bien arrivée. si tu ne la reçois pas, tu me préviens pour que je te la renvoie. je t'écris lentement parce que je sais que tu ne lis pas très vite.l'autre jour, ton père a lu que selon les enquêtes la plupart des accidents arrivent à 1 km de la maison, ainsi nous nous sommes décidés à déménager plus loin. la
Babs
En Août, 2023 (12:37 PM)Attention
En Août, 2023 (12:56 PM)Reply_author
En Août, 2023 (13:02 PM)karim Wade c'est fini comme khalifa
Macky Sall le sait raison pour laquelle il les laisse participer
Sans Visage
En Août, 2023 (13:01 PM)Tête Brûlée
En Août, 2023 (13:45 PM)Samba
En Août, 2023 (14:25 PM)Plat Préféré
En Août, 2023 (15:38 PM)Jaraaf Seye
En Août, 2023 (15:42 PM)Bouba
En Août, 2023 (03:45 AM)Un journaliste professionnel doit privilégier le factuel au lieu de conjectures entretenues à dessein.
TROP Ç' EST TROP. Un peu de retenue pour l'honneur du vrai journalisme
Attention
En Août, 2023 (08:47 AM)Akhenaton
En Août, 2023 (07:42 AM)Dakarois
En Août, 2023 (18:50 PM)Macky a ete maladroit de tomber dans le piege et d'avoir pris Karim pour un potentiel adversaire à combattre alors qu'il ne l'est pas. Karim lui meme n'a jamais rein propose aux Senegalais. Il s'est tu pour jouer le jeu et nourrir la speculation.
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