Le chef de l’État a décidé d’une révision de la Constitution en vue de la restauration "en mode fast-track" du poste de Premier ministre.
Macky Sall avait utilisé le même procédé anglo-saxon, pour justifier la suppression du poste de Premier ministre, par une volonté de contourner les retards bureaucratiques de l'administration sénégalaise.
Mais, selon l’ex-Garde des Sceaux, dont les propos sont repris par L’Observateur dans sa livraison du jour, le contexte a changé, d’où le retour du poste de Premier ministre.
«D’abord, du point de vue économique, on est dans un contexte de pandémie du Covid-19, il faut relancer l’économie. Deuxième élément de contexte politique, on a constaté que le chef de l’État était au front, qu’il était au contact de tous les problèmes. Donc du point de vue politique, il y a nécessité d’améliorer un espace pour un autre acteur qui le seconde», martèle Ismaïla Madior Fall.
Et d'ajouter : "Il y a également un contexte international diplomatique africain qui a changé, parce que le Président Macky Sall a été élu, par ses pairs, président de l’Union africaine (UA). Tout cela fait que le chef de l’État a besoin, aujourd’hui, d’être secondé par quelqu’un dans l'exécutif, en l’occurrence un Premier ministre».
Macky Sall avait utilisé le même procédé anglo-saxon, pour justifier la suppression du poste de Premier ministre, par une volonté de contourner les retards bureaucratiques de l'administration sénégalaise.
Mais, selon l’ex-Garde des Sceaux, dont les propos sont repris par L’Observateur dans sa livraison du jour, le contexte a changé, d’où le retour du poste de Premier ministre.
«D’abord, du point de vue économique, on est dans un contexte de pandémie du Covid-19, il faut relancer l’économie. Deuxième élément de contexte politique, on a constaté que le chef de l’État était au front, qu’il était au contact de tous les problèmes. Donc du point de vue politique, il y a nécessité d’améliorer un espace pour un autre acteur qui le seconde», martèle Ismaïla Madior Fall.
Et d'ajouter : "Il y a également un contexte international diplomatique africain qui a changé, parce que le Président Macky Sall a été élu, par ses pairs, président de l’Union africaine (UA). Tout cela fait que le chef de l’État a besoin, aujourd’hui, d’être secondé par quelqu’un dans l'exécutif, en l’occurrence un Premier ministre».
18 Commentaires
Yandougou
En Novembre, 2021 (11:50 AM)Ndakh Yallah PM biy nieuw kholate Ministre Yii.
Galsen Diaspo
En Novembre, 2021 (11:58 AM)Leridiculenetuepas
En Novembre, 2021 (12:00 PM)Il est temps que le ridicule tue !
Laye
En Novembre, 2021 (12:09 PM)Azou
En Novembre, 2021 (12:10 PM)quand je pense à ce que vous représentez intellectuellement devant les etudiants senegalais j'ai honte
et me demande est ce que vous pensez qu'un jour la politique va finir et que seul la verité restera.
Macky a échoué lamentablement malheureusement il entraine le pays avec lui. La médiocrité a voix au chapitre comme jamais dans ce pays sous son magistère. Il n'a rien dans la tête mis à part la "complotite". Ceux là qui le défendent lui et sa politique savent qu'ils ne fait que dans le tatonnement en presque 10 ans.
Macky sall ne mérite pas le Sénégal. Le Sénégal mérite mieux.
Vérité
En Novembre, 2021 (13:22 PM)Frac
En Novembre, 2021 (13:47 PM)les coalitions doivent faire très attention à ce projet maléfique.
Allez Au Bout De Votre Pensee
En Novembre, 2021 (13:57 PM)Ladji Kalabanté
En Novembre, 2021 (13:58 PM)Cayorman
En Novembre, 2021 (14:09 PM)Participer à la Discussion