Stéphane Tapie a évoqué le violent cambriolage dont ont été victimes son père Bernard Tapie et son épouse Dominique ce lundi sur le plateau de “Touche pas à mon poste”. Un récit bouleversant face auquel Gilles Verdez n’a pu contenir son émotion. “C’est comme si on avait attaqué ma famille", a-t-il déclaré.
Bernard Tapie et son épouse Dominique ont été victimes d’un violent cambriolage. Le couple a été surpris dans son sommeil par des agresseurs encagoulés qui les ont attachés avec des câbles électriques et frappés avant de leur dérober des bijoux.
Lundi soir sur le plateau de “Touche pas à mon poste”, leur fils Stéphane a révélé avoir appris la nouvelle à la télévision au lendemain des faits. “Je prends mon café et je me mets devant la télé comme tous les matins, et je l’apprends comme ça”. En allumant son téléphone, il a alors découvert que son père avait tenté de l’appeler en pleine nuit. “Il a commencé à m’appeler vers 3 heures du matin. Je dormais, donc je ne l’ai pas vu. Je l’ai découvert à 6h30", a-t-il encore précisé.
“Barbarie”
Il a ensuite donné des détails sur l’agression, qu'il a comparée à de la “barbarie”. “Ils ont mis mon père KO d’entrée et après ils se sont occupés de ma belle-mère. Les deux ont été attachés. Mon père a été attaché par les mains et les pieds au bout du lit. Ma belle-mère a été attachée par les mains et ils la trainaient dans la maison par les cheveux en lui hurlant de montrer où était le coffre, qu'il n’y a pas. À chaque fois qu’elle répondait non, elle en prenait une”.
Des photos des blessures de Bernard et Dominique Tapie ont été dévoilées quelques heures après le cambriolage. Si aujourd'hui “ça va bien mieux physiquement, ça ne va toujours pas terrible moralement”, a déclaré Stéphane Tapie. “C’est dur”.
Gilles Verdez en larmes
En entendant ce récit, Gilles Verdez n’a pas pu masquer son émotion. “Je trouve qu’ils sont d’une extrême dignité dans la violence qu’ils ont vécu. Ça ajoute encore à l’émotion, à part quelques imbéciles, tout le monde est totalement avec vous”, a lancé le chroniqueur à Stéphane Tapie.
“C’est comme si c’était ma famille, mes parents”, a-t-il poursuivi, en larmes. “C’est horrible de faire ça. Horrible. L’appât du gain...”
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