Reporters sans frontières (Rsf) suit de très près l'affaire Cheikh Yérim Seck, placé en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles et outrage à agent dans l'exercice de ses fonctions, suite à sa sortie sur le dossier Batiplus.
Dans un tweet posté ce jour, l'organisation non gouvernementale (Ong) a mis en garde le Sénégal qui risquerait, selon elle, un «important recul» dans le classement mondial de la liberté de la presse, si toutefois le chroniqueur est mis en détention.
«Cheikh Yérim Seck sera présenté à un juge ce mercredi. Rsf inter demande qu'il comparaisse libre. Son placement en détention serait un recul important pour un pays (47e sur 180) parmi les mieux positionnés du continent au classement mondial de la liberté de la presse», a posté Reporters sans frontières.
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