En cette période électorale, de tensions et de tractations tous azimuts, il semblerait que des individualités, soit négligent le caractère viral du réseau social Facebook, ou bien s'en servent pour provoquer des suites d’évènements pouvant conduire notre pays vers le chaos.
Une photo circule actuellement sur internet est accompagné de la description suivante : " L étudiant en Master 2 décédé s'appelle Mamadou Diop. Voici son image.Que la terre lui soit léger! AMINE "
Sur le web, la rédaction de Seneweb.Com a pu retrouver la même photo sur des sites et blogs ivoiriens, notamment african-liberty et centerblog.net , datant de juillet 2011.
54 Commentaires
Bella
En Février, 2012 (14:53 PM)Wade2012
En Février, 2012 (14:55 PM)Le mensonge donne de fleurs mais pas de fruits
L’ignorance tue toute une nation
VOTONS WADE
Eupeul
En Février, 2012 (14:56 PM)Wack
En Février, 2012 (14:57 PM)NON A LA VIOLENCE NON A LA MONARCHIE NON CONFISCATION DU POUVOIR
Gor Tigui
En Février, 2012 (14:57 PM)Han!
En Février, 2012 (15:07 PM)Prophetesse
En Février, 2012 (15:12 PM)Wade Doul Way
En Février, 2012 (15:15 PM)Il faut razer la rts
Bllaise
En Février, 2012 (15:15 PM)Mimi
En Février, 2012 (15:18 PM)Ce qui est à condamner c'est plutôt cette tentative d'activer la haine dans le coeur des sénégalais en montrant cette fausse photo!!!!!
On est tous écoeuré mais n'en rajouter pas s'il vous plait!
Saliouu
En Février, 2012 (15:22 PM)Mt
En Février, 2012 (15:24 PM)A
En Février, 2012 (15:28 PM)Peace
En Février, 2012 (15:32 PM)Sdiop
En Février, 2012 (15:35 PM)Arrêtons, sa famille souffre assez!
Agriculteur
En Février, 2012 (15:35 PM)Lahonte
En Février, 2012 (15:35 PM)Le 26 février, Abdoulaye Wade, 86 ans, sera bien candidat pour un troisième mandat à la présidence du Sénégal. Candidat, malgré l'avis contraire de grands juristes ; malgré les bourrasques sociales frondeuses qui depuis plusieurs mois balaient par rafales ce pays d'Afrique de l'Ouest ; malgré les mises en garde américaines et européennes ; malgré son âge. Candidat, donc, mais à quel prix ?
Dimanche 29 janvier, les cinq "sages" du Conseil constitutionnel, tous nommés et bien traités par un président qui sait acheter les fidélités, ont validité sa candidature. Mais, pour en arriver là, le président a affaibli son pays - gravement.
Le Sénégal fait partie de ces trop rares nations d'Afrique jusque-là épargnées par les coups d'Etat ; un pays où l'on connaît la valeur des alternances démocratiques. Abdoulaye Wade est en passe de rompre cette belle tradition. Nourri par vingt-six ans d'opposition et quelques passages en prison, il a choisi le conflit. Il avait promis le contraire. Il avait assuré qu'il "verrouillerait" une Constitution qui lui interdit de se présenter en 2012.
Après le "règne" socialiste (1960-2000) de Léopold Sédar Senghor, puis celui d'Abdou Diouf, la Loi fondamentale a été modifiée en 2001 dans l'ancienne colonie française pour limiter à deux le nombre de mandats présidentiels consécutifs. Dans le même esprit, le septennat est devenu quinquennat. Mais voilà, il y a quelques mois, le président sortant a changé d'avis. Elu peu de temps avant la réforme constitutionnelle, il juge que son premier mandat sort du cadre de la réforme, sans peur de contredire l'avis formel des juristes indépendants et sa propre parole. "Je l'ai dit. Je me dédis", a-t-il lâché, estimant que nul autre que lui n'est mieux qualifié pour diriger le pays. Son bilan n'est pourtant pas brillant.
C'est vrai, hélas, pour l'économie, dans un pays de plus de 13 millions d'habitants, à la démographie dynamique : gabegie, corruption, misère enracinée, effondrement du système éducatif... C'est vrai aussi pour les libertés publiques : le Sénégal n'est pas la Tunisie de Ben Ali, ni le Congo, mais la protection des droits de l'homme a fortement reculé sous Wade.
C'est vrai pour l'évolution de la démocratie aussi. "L'alternance Wade en 2000 n'aura produit qu'une forme dégénérée du pire de notre démocratie ", s'alarme l'éditorialiste de L'Observateur, Fallou Mbacké Diallo. Car le vieux président rêve de promouvoir son fils par un tour de passe-passe démocratico-héréditaire honteux.
De tout cela, Abdoulaye Wade n'a cure. Il s'accroche, malgré le large front du "tout sauf Wade" emmené par de jeunes rappeurs engagés, d'anciens alliés fidèles tombés en disgrâce, l'opposition socialiste et de vastes pans de la société civile. Ce front hétéroclite et terriblement divisé n'est pas parvenu à le faire changer d'avis. Le président réprime pour faire taire la contestation. L'opposition n'a plus de recours légal contre la candidature Wade. Il lui reste l'appel à la rue, avec risques de débordements. A qui la faute ?
Amy
En Février, 2012 (15:36 PM)Hors Sujet
En Février, 2012 (15:37 PM)Honteux
En Février, 2012 (15:40 PM)Svet
En Février, 2012 (15:45 PM)Le 26 février, Abdoulaye Wade, 86 ans, sera bien candidat pour un troisième mandat à la présidence du Sénégal. Candidat, malgré l'avis contraire de grands juristes ; malgré les bourrasques sociales frondeuses qui depuis plusieurs mois balaient par rafales ce pays d'Afrique de l'Ouest ; malgré les mises en garde américaines et européennes ; malgré son âge. Candidat, donc, mais à quel prix ?
Dimanche 29 janvier, les cinq "sages" du Conseil constitutionnel, tous nommés et bien traités par un président qui sait acheter les fidélités, ont validité sa candidature. Mais, pour en arriver là, le président a affaibli son pays - gravement.
Le Sénégal fait partie de ces trop rares nations d'Afrique jusque-là épargnées par les coups d'Etat ; un pays où l'on connaît la valeur des alternances démocratiques. Abdoulaye Wade est en passe de rompre cette belle tradition. Nourri par vingt-six ans d'opposition et quelques passages en prison, il a choisi le conflit. Il avait promis le contraire. Il avait assuré qu'il "verrouillerait" une Constitution qui lui interdit de se présenter en 2012.
Après le "règne" socialiste (1960-2000) de Léopold Sédar Senghor, puis celui d'Abdou Diouf, la Loi fondamentale a été modifiée en 2001 dans l'ancienne colonie française pour limiter à deux le nombre de mandats présidentiels consécutifs. Dans le même esprit, le septennat est devenu quinquennat. Mais voilà, il y a quelques mois, le président sortant a changé d'avis. Elu peu de temps avant la réforme constitutionnelle, il juge que son premier mandat sort du cadre de la réforme, sans peur de contredire l'avis formel des juristes indépendants et sa propre parole. "Je l'ai dit. Je me dédis", a-t-il lâché, estimant que nul autre que lui n'est mieux qualifié pour diriger le pays. Son bilan n'est pourtant pas brillant.
C'est vrai, hélas, pour l'économie, dans un pays de plus de 13 millions d'habitants, à la démographie dynamique : gabegie, corruption, misère enracinée, effondrement du système éducatif... C'est vrai aussi pour les libertés publiques : le Sénégal n'est pas la Tunisie de Ben Ali, ni le Congo, mais la protection des droits de l'homme a fortement reculé sous Wade.
C'est vrai pour l'évolution de la démocratie aussi. "L'alternance Wade en 2000 n'aura produit qu'une forme dégénérée du pire de notre démocratie ", s'alarme l'éditorialiste de L'Observateur, Fallou Mbacké Diallo. Car le vieux président rêve de promouvoir son fils par un tour de passe-passe démocratico-héréditaire honteux.
De tout cela, Abdoulaye Wade n'a cure. Il s'accroche, malgré le large front du "tout sauf Wade" emmené par de jeunes rappeurs engagés, d'anciens alliés fidèles tombés en disgrâce, l'opposition socialiste et de vastes pans de la société civile. Ce front hétéroclite et terriblement divisé n'est pas parvenu à le faire changer d'avis. Le président réprime pour faire taire la contestation. L'opposition n'a plus de recours légal contre la candidature Wade. Il lui reste l'appel à la rue, avec risques de débordements. A qui la faute ?
Bah
En Février, 2012 (15:46 PM)Bo
En Février, 2012 (15:49 PM)Ajax
En Février, 2012 (15:50 PM)Zeuf
En Février, 2012 (15:53 PM)To Senweb
En Février, 2012 (16:01 PM)Thanks
Diadiu
En Février, 2012 (16:02 PM)bagne nit ki diaroul yenyi
mai koufi indi ay sa bop lay tér rek
Momo
En Février, 2012 (16:02 PM)Senegal Moma Gnior
En Février, 2012 (16:28 PM)Réthiou
En Février, 2012 (16:45 PM)- Qui dirigera le Sénégal pendant la transition?
- Quelle sera la durée de cette transition?
- Quelles seront les missions de cette transition?
La réponse à ces questions est d'autant plus importante que tout départ par des moyens non conformes à l'ordre constitutionnel normal entraînera le gel de toute coopération multilatérale et donc de tout financement. alors que le budget du Sénégal en dépend. Sommes nous prêts à assumer le non paiement des salaires au cours des trois prochains mois? Trouvons des réponses et nous saurons quoi faire.
Le rôle du politique, ce n'est pas de suivre la Rue. C'est de veiller à une gestion harmonieuse de la Cité.
On comprend ainsi aisément la réticence des Niasse, Idrissa Seck et autres à marcher sur le Palais pour déloger Wade. Le grand perdant d'une telle initiative, ce serait le Sénégal. Un pays pauvre parmi les pauvres.
Mn
En Février, 2012 (17:08 PM)Fer
En Février, 2012 (17:10 PM)Jack
En Février, 2012 (17:12 PM)Alex
En Février, 2012 (17:17 PM)Paix
En Février, 2012 (17:49 PM)que la paix revient vite dans notre pays LE SENEGAL
Nioii
En Février, 2012 (18:14 PM)King
En Février, 2012 (18:45 PM)ET COMMENCONS PAR LA MAISON DE OUSMANE NGOM, DIOP DECROIX, MADICKE NIANG, ET LES FAUX SAGES.....
VIVE LE SENEGAL, VIVE LA REVOLUTION, VIVE LE CHANGEMENT, VIVE LA JUSTICE
Ma Patrie
En Février, 2012 (19:35 PM)SENEGAL N´APPARTIENT PAS À WADE , NI À NIASSE , NI À IDY, NI À TANOR ETC....
UNISONS NOUS POUR VOTER ET FAIRE QUITER WADE PAR LA VOIX ELECTORALE
VIOLENCE ZERO .
Fire
En Février, 2012 (22:06 PM)Bad
En Février, 2012 (01:01 AM)Situiyen
En Février, 2012 (02:31 AM)Af Senegal
En Février, 2012 (08:12 AM)Goree
En Février, 2012 (08:26 AM)POUR LE RESPECT DE LA FAMILLE
ATTENTION LA PRESSE NE METTEZ PAS LE FEU AU PAYS
Paix
En Février, 2012 (08:28 AM)Fa
En Février, 2012 (10:14 AM)Deug Deug
En Février, 2012 (10:19 AM)Papa
En Février, 2012 (10:33 AM)Ouedrago
En Février, 2012 (18:50 PM)que ces opposants cessent d'utiliser les enfants comme chair à canon, ce n'est pas juste, qu'ils arrêtent leur politique du "ote toi que je m'y mets, et puis de grace cessez vos manifestations bidons et laisser les gens vaquer tranquilement à leurs occupations. On dirait que vous avez tous peurs d'affronter WADE à travers les urnes.
Tige
En Février, 2012 (21:05 PM)La Verite
En Février, 2012 (21:49 PM)EST LE CORPS D'UN IVOIRIEN DCD LORS DES EVENEMENTS DE LA RCI C'EST DU PURE MONTAGE NE SOYEZ PA MANIPULE PAR CES INDIVIDUS MAL INTENTIONNES ILS NE SONT PAS RESPONSABLES JE ME DEMANDE SILS SONT DES SENEGALAIS
Verity
En Février, 2012 (15:48 PM)Kingfirst
En Février, 2012 (18:58 PM)ils ont ete aux etat unis ils ont mandier laba et ils ont eu de l'argent qu'ils ont partage entre eux
ils utilisent ya na marre pour se faire de l'argent au nom du createur et ils sont promis a des postes
mallal un voleur et un fumeur de boeuf si les jeunes savaient qui est se petit diable ils auraient cesser de le suivre
merci ne soyons pas fou gardons nos cartes et votons qui ns voulons wade partira sans que nous detruisons notre pays merci assalamou alakoum
Iikma
En Février, 2012 (09:45 AM)Les soit disant "réseaux sociaux" ont cessé de l'être depuis début 2000!
Quand vous savez que vous pouvez vous contenter de n'importe quel service de messagerie pour échanger et discuter en ligne avec tous vos VRAIS amis, il faut se demander pourquoi nous avons tendance à croire que si nous ne sommes pas sur Facebook ou Tweeter on n'est pas "in" !
Quelle nécessité de se compter par exemple 457 "amis" dont vous êtes sûr que seuls à peine 50 sont les seuls que vous connaissez ?
Quel "chose" sociale se côte en bourse à des coups de milliards ?
Internet utile, oui cela va sans dire ! Mais Internet casse aussi les liens sociaux !
Le problème des africains c'est aussi et toujours de consommer sans penser à créer ou s'ils créent c'est en étant sous joug !
Et demain ?
Foutez Nous La Paix
En Février, 2012 (14:44 PM)Participer à la Discussion