« A dos d’âne, en calèche, en pirogue, en car, en taxi brousse ou en vélo taxi, nous, journalistes de Sédhiou, usons de tous les moyens de locomotion pour aller en reportage », a dit le correspondant du quotidien Le Soleil, Malamine Kamara, doyen des correspondants de la région.
« Si par miracle, on veut nous transporter, un choix discriminatoire s’opère alors que la presse est plurielle », regrette-t-il. Malamine Kamara a également souligné le manque de formation de ses confrères, souhaitant qu’ils soient plus et mieux outillés dans le traitement de l’information.
« Vous savez les jeunes qui embrassent le métier sont animés par une certaine fougue et un désir de se faire un nom et tirent sur tout ce qui bouge », a remarqué le journaliste. Qui appelle ces derniers à plus de retenu et de professionnalisme car dit-il, toute information n’est pas bonne à diffuser ; si l’on doit forcément la diffuser, il faut savoir la traiter, conseille-t-il.
Cependant, sur les moyens de travail (équipement en matériels de communication), les 14 correspondants régionaux de Sédhiou s’équipent d’année en année. Grâce à l’aide à la presse, bon nombre d’entre eux ne d
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Bb
En Mai, 2013 (13:06 PM)Papy Coly
En Mai, 2013 (13:16 PM)Participer à la Discussion