Interpellé après la prière de la Tabaski 2017, le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, s’est dit très réjoui de se retrouver parmi les siens pour célébrer cette fête importante pour l’ensemble de la communauté musulmane. Il a prié pour « un Sénégal de paix et de concorde », ainsi que pour les malades qui n’ont pu célébrer la fête.
Interpellé sur le cas Assane Diouf, l’insulteur de la toile, qui a été récemment rapatrié des Etats-Unis avec 16 autres compatriotes pour immigration illégale, le ministre a noté que « pour le moment, les poursuites contre lui ne sont pas définitivement suspendues, mais il bénéficie d’une liberté provisoire ».
12 Commentaires
Moom Ndiaye
En Septembre, 2017 (19:25 PM):fbhang
Anonyme
En Septembre, 2017 (19:28 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:35 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:47 PM)Anonyme L . A
En Septembre, 2017 (19:48 PM)retenu contre lui et il n' a pas été inculpé.. Nous attendons la réponse Monsieur le ministre
Anonyme
En Septembre, 2017 (19:49 PM)Xeme
En Septembre, 2017 (19:54 PM)Quand il fut nommé ministre de la justice par Macky Sall, des sénégalais ne manquèrent pas l'occasion de lui rappeler qu'il était défenseur de Bibo Bourgi contre la CREI, et que dans sa ligne de défense, il disait tout simplement que la CREI était une cours illégale. Et ces sénégalais lui demandaient s'il n'y a pas risque de vivre une contradiction entre ce qu'il défendait et ce qu'il va défendre en temps que ministre de la justice de Macky. Il répondit qu'il n'y aura aucune contradiction, parce qu'en tant que ministre de Macky il applique et défend le programme de ce dernier.
On notera aisément qu'il n'a pas dit qu'à côté de Macky il va défendre la justice, mais un programme. La justice, il la défendait dans sa vie antérieure d'avocat de Bibo Bourgi. Mais à côté de Macky, il y a un programme à défendre, ce qui n'a rien à voir avec la justice. Alors, que la presse nous rapporte les dires de cet homme qui défend un programme, ces dires n'auront de valeurs juridiques, de sens, pour nous, que lorsque nous aurons oublié la définition que cet homme s'était donné de lui même. Il n'est plus un homme du droit, il est au service du programme de Macky Sall qui jure d'avec le droit. Par exemple, en arriver à la 16e prorogation de l'instruction du dossier d'Aîda Ndiongue n'est pas du droit, mais un programme de Macky Sall.
Ses principes d'homme de droits, il s'est assis dessus pour pouvoir travailler pour Macky Sall. Aujourd'hui, Sidiki Kaba est un homme qui applique un programme.
Conseiller Spécial
En Septembre, 2017 (20:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (20:08 PM)Anonyme Laye
En Septembre, 2017 (20:25 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (22:09 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (10:09 AM)Participer à la Discussion