L'affaire de la traduction en Conseil de discipline du juge Souleymane Téliko semble définitivement rangée dans les tiroirs. A en juger par cette sortie du patron de la justice sénégalaise, qui dément tout bras de fer entre l'Union des magistrats du Sénégal et la chancellerie.
"Entre nous et l'Ums, il n'y jamais eu de bras de fer. Nous défendons des principes qui permettent à la justice de fonctionner. La semaine dernière, le président de l'Ums a eu à dire de façon très claire que les réformes qui ont été initiées depuis 25 ans et ces avancées historiques sont à saluer", a relativisé, dans les colonnes de l'As quotidien, le Garde des Sceaux qui s'exprimait lors d'une journée de consultation organisée par Amnesty international, sur le protocole de Malabo.
"Ce sont des réformes qui ont fait l'objet d'un débat qui a permis l'accès à la hors hiérarchie de 61 magistrats. C'est historique parce qu'aujourd'hui, de jeunes magistrats, à partir de 18 ans, deviennent de hauts magistrats qui peuvent exercer les plus hautes fonctions", explique-t-il à propos de l'âge de la retraite, la transparence dans la carrière des magistrats et la garantie du bon fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, entre autres points.
5 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2017 (11:25 AM)Xeme
En Mai, 2017 (11:58 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (12:16 PM)Jonh
En Mai, 2017 (12:34 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (11:01 AM)Participer à la Discussion