Poursuivi pour le délit de détournement de mineur, A. Bâ, marié et père de deux enfants, pousse un gros ouf de soulagement. L'agriculture a été arrêté à la suite d'une plainte déposée par le père d'une collégienne en classe de quatrième. Repris par L'Observateur, le plaignant explique que le mis en cause lui «a demandé la main de sa fille». Une demande à laquelle il s'est opposé car, explique le père de la fille, «je lui ai conseillé d'attendre un peu car je ne voulais pas mettre un terme à ses études. Je voulais que [ma fille] ait d'abord le Bfem avant de s'engager dans une quelconque relation».
Furieux, le plaignant affirme que le marié a passé outre sa décision. Pire, dénonce l'accusateur, l'agriculteur a entretenu des rapports sexuels avec sa fille, âgée de 16 ans . La preuve, souligne-t-il, «un jour, je suis reste jusqu'au crépuscule sans voir ma fille. Ainsi, j'ai eu le réflexe d'aller à sa recherche. A peine ai-je franchi le seuil de ma porte que je suis tombé sur elle. Elle revenait de la bande des filaos et elle était accompagné par un homme qui marchait pieds nus».
Il poursuit : «Pour me faire une idée sur sa provenance, j'ai suivi ses traces de pas qui m'ont conduit [au lieu indiqué]. J'ai interrogé ma fille qui m'a dit qu'elle était [avec] son petit ami. Au petit matin, je l'ai conduite chez la gynécologue que m'a assuré que [la patiente] a subi une défloraison de l'hymen.» Décidé à tirer cette affaire au clair, le père soumet sa fille à un interrogatoire serré. Celle-ci, pressée de questions, déclare avoir «couché à deux reprises» avec son amant. Ce qu'elle répète face aux gendarmes-enquêteurs.
Appelée à la barre, la collégienne s'emmure dans le silence. «Tête couverte par un foulard, elle se tournait inlassablement les pouces sans réponses aux questions qui lui ont été posées», décrit L'Observateur, qui a assisté à l'audience. Le journal signale que «le juge, ne parvenant pas à lui arracher la plus petite déclaration, a finalement donné la parole au procureur». Ce dernier s'y prend autrement, lui demandant «est-ce qu'elle aime toujours son petit-ami ?»
Reprise par le journal, la collégienne, qui fixe le sol, répond par l'affirmative. Elle ajoute même qu'elle «ne veut pas que [l'accusé] soit condamné». Estimant que le délit de détournement de mineure n'était pas «suffisamment établi», le maitre des poursuites a requis la relaxe. Son réquisitoire sera suivi par le juge, conclut L'Obs.
Furieux, le plaignant affirme que le marié a passé outre sa décision. Pire, dénonce l'accusateur, l'agriculteur a entretenu des rapports sexuels avec sa fille, âgée de 16 ans . La preuve, souligne-t-il, «un jour, je suis reste jusqu'au crépuscule sans voir ma fille. Ainsi, j'ai eu le réflexe d'aller à sa recherche. A peine ai-je franchi le seuil de ma porte que je suis tombé sur elle. Elle revenait de la bande des filaos et elle était accompagné par un homme qui marchait pieds nus».
Il poursuit : «Pour me faire une idée sur sa provenance, j'ai suivi ses traces de pas qui m'ont conduit [au lieu indiqué]. J'ai interrogé ma fille qui m'a dit qu'elle était [avec] son petit ami. Au petit matin, je l'ai conduite chez la gynécologue que m'a assuré que [la patiente] a subi une défloraison de l'hymen.» Décidé à tirer cette affaire au clair, le père soumet sa fille à un interrogatoire serré. Celle-ci, pressée de questions, déclare avoir «couché à deux reprises» avec son amant. Ce qu'elle répète face aux gendarmes-enquêteurs.
Appelée à la barre, la collégienne s'emmure dans le silence. «Tête couverte par un foulard, elle se tournait inlassablement les pouces sans réponses aux questions qui lui ont été posées», décrit L'Observateur, qui a assisté à l'audience. Le journal signale que «le juge, ne parvenant pas à lui arracher la plus petite déclaration, a finalement donné la parole au procureur». Ce dernier s'y prend autrement, lui demandant «est-ce qu'elle aime toujours son petit-ami ?»
Reprise par le journal, la collégienne, qui fixe le sol, répond par l'affirmative. Elle ajoute même qu'elle «ne veut pas que [l'accusé] soit condamné». Estimant que le délit de détournement de mineure n'était pas «suffisamment établi», le maitre des poursuites a requis la relaxe. Son réquisitoire sera suivi par le juge, conclut L'Obs.
9 Commentaires
Snlg
En Octobre, 2024 (13:36 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (13:44 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (15:05 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (15:31 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (15:49 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (15:57 PM)Reply_author
En Octobre, 2024 (13:28 PM)Cor Adji
En Octobre, 2024 (14:37 PM)Participer à la Discussion