O. Cissé, 36 ans, marié et père de 2 enfants, a été condamné à 2 ans de prison dont un ferme pour détournement de mineure et attentat à la pudeur sans violence. La culotte de la petite fille a été retrouvée dans la poche du prévenu.
D’après le récit du journal Source A, les faits ont eu lieu le 24 janvier dernier. La famille de la petite S. O. D. remarque l’absence de cette dernière. Alerté, le père de la gamine rebrousse chemin.
C’est vers 23 heures, narre la source, que « des riverains ont aperçu un monsieur déposer une fillette au niveau du terrain. »
Interrogée, elle décrit un homme vêtu d’un pull over noir. Qui accuse-t-elle, l’a interpellée pour une commission à la boutique. Ce qu’elle a refusé mais il lui a donné une gifle avant de la contraindre à le suivre dans chambre. A partir de là, déclare-t-elle en sanglots, le mis en cause l’a séquestré, puis déshabillé avant de lui ôter sa petite culotte. Curieusement, fait-elle remarquer, il s’en est servi en guise de mouchoir pour nettoyer ses chaussures.
D’ailleurs, l’examen gynécologique n’a révélé aucune trace d’attouchement, souffle Source A.
Face au juge, le 1er février, le prévenu, identifié sous les traits de l’homme au pull over noir, nie en bloc, affirmant n’avoir jamais vu la mineure et que celle-ci l’accuse à tort. « On était en pleines discussions quand des discussions ont surgi de nulle part pour m’accuser d’avoir enlevé une fillette. Mes amis m’ont convaincu de sortir pour affronter la famille de la petite car je n’ai rien à me reprocher. Le père est venu avec la fille. Elle a dit que c’est moi », se défend-il avant de préciser, concernant la petite culotte retrouvée par dévers lui, l’avoir ramassé sur la route pour « essuyer ses chaussures. »
Loin d’être convaincu, le représentant du Parquet martèle que la victime avait décrit exactement l’habillement du mis en cause, et exhibe la petite culotte de couleur verte qui était mise sous scellé dans le cadre de l’enquête. S. O. D. a confirmé que c’est la même qu’O. Cissé lui avait retiré.
D’après le récit du journal Source A, les faits ont eu lieu le 24 janvier dernier. La famille de la petite S. O. D. remarque l’absence de cette dernière. Alerté, le père de la gamine rebrousse chemin.
C’est vers 23 heures, narre la source, que « des riverains ont aperçu un monsieur déposer une fillette au niveau du terrain. »
Interrogée, elle décrit un homme vêtu d’un pull over noir. Qui accuse-t-elle, l’a interpellée pour une commission à la boutique. Ce qu’elle a refusé mais il lui a donné une gifle avant de la contraindre à le suivre dans chambre. A partir de là, déclare-t-elle en sanglots, le mis en cause l’a séquestré, puis déshabillé avant de lui ôter sa petite culotte. Curieusement, fait-elle remarquer, il s’en est servi en guise de mouchoir pour nettoyer ses chaussures.
D’ailleurs, l’examen gynécologique n’a révélé aucune trace d’attouchement, souffle Source A.
Face au juge, le 1er février, le prévenu, identifié sous les traits de l’homme au pull over noir, nie en bloc, affirmant n’avoir jamais vu la mineure et que celle-ci l’accuse à tort. « On était en pleines discussions quand des discussions ont surgi de nulle part pour m’accuser d’avoir enlevé une fillette. Mes amis m’ont convaincu de sortir pour affronter la famille de la petite car je n’ai rien à me reprocher. Le père est venu avec la fille. Elle a dit que c’est moi », se défend-il avant de préciser, concernant la petite culotte retrouvée par dévers lui, l’avoir ramassé sur la route pour « essuyer ses chaussures. »
Loin d’être convaincu, le représentant du Parquet martèle que la victime avait décrit exactement l’habillement du mis en cause, et exhibe la petite culotte de couleur verte qui était mise sous scellé dans le cadre de l’enquête. S. O. D. a confirmé que c’est la même qu’O. Cissé lui avait retiré.
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