Le 15 octobre 2019, Mamadou Mamour Diallo portait plainte, devant le procureur, contre Ousmane Sonko, leader de Pastef, qui l’accusait de détournement dans l’affaire dite des 94 milliards de Fcfa.
Un an après, d'aucuns constatent que l'enquête est au point mort. Le dossier dort toujours dans les tiroirs, constate Rewmi Quotidien dans sa parution de ce vendredi.
En effet, à la date d’aujourd’hui, aucune enquête préliminaire n’a été ouverte et le dossier, qui semble clos, restera probablement sans qu’aucune inculpation ne soit prononcée.
Pour preuve, la Commission d’enquête parlementaire mise en place a blanchi purement et simplemen, sans aucune autre forme de procès, les mis en cause.
«Il n’y a pas eu de détournement de deniers publics», disait le rapport de ladite Commission. Laquelle précisait, par contre, que les allégations de Ousmane Sonko sont dénuées de tout fondement.
Mieux, la Commission était meme allée jusqu’à accuser le leader de Pastef d’avoir violé la loi en jouant les intermédiaires et en utilisant des prête-noms.
Pour rappel, la Commission d’enquête parlementaire a auditionné 31 personnes dont d'anciens ministres et des agents de l’Éta, en fonction ou même à la retraite.
À noter que seuls Ousmane Sonko et Ismaël Bâ, le gérant du cabinet Mercalex, par ailleurs membres du parti Pastef/Les Patriotes n’ont pas été entendus.
Un an après, d'aucuns constatent que l'enquête est au point mort. Le dossier dort toujours dans les tiroirs, constate Rewmi Quotidien dans sa parution de ce vendredi.
En effet, à la date d’aujourd’hui, aucune enquête préliminaire n’a été ouverte et le dossier, qui semble clos, restera probablement sans qu’aucune inculpation ne soit prononcée.
Pour preuve, la Commission d’enquête parlementaire mise en place a blanchi purement et simplemen, sans aucune autre forme de procès, les mis en cause.
«Il n’y a pas eu de détournement de deniers publics», disait le rapport de ladite Commission. Laquelle précisait, par contre, que les allégations de Ousmane Sonko sont dénuées de tout fondement.
Mieux, la Commission était meme allée jusqu’à accuser le leader de Pastef d’avoir violé la loi en jouant les intermédiaires et en utilisant des prête-noms.
Pour rappel, la Commission d’enquête parlementaire a auditionné 31 personnes dont d'anciens ministres et des agents de l’Éta, en fonction ou même à la retraite.
À noter que seuls Ousmane Sonko et Ismaël Bâ, le gérant du cabinet Mercalex, par ailleurs membres du parti Pastef/Les Patriotes n’ont pas été entendus.
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