La délégation de l’Union européenne n’est pas restée insensible au trafic de drogue qui secoue la police nationale sénégalaise. Dans un entretien accordé au journal « Le Populaire », l’ambassadeur de cette institution, Dominique Dellicour a laissé entendre ses attentes.
« L’actualité au Sénégal nous concerne. Nous espérons que l’enquête pourra aboutir rapidement et que ceux qui sont mêlés dans les trafics de drogue seront arrêtés, jugés par le système judiciaire sénégalais, a-t-elle dit. Nous appuyons le Sénégal dans la lutte contre la drogue, avec notamment des programmes de renforcement de capacités des autorités pour améliore r la saisine de la drogue dans tous les points d’entrée par voies terrestre, aérienne et maritime».
L’ambassadeur pense que «c’est absolument important pour le Sénégal comme pour les pays de la sous région de prendre conscience de la problématique de la drogue et de criminalité qui peuvent miner les fondements de l’Etat». Et d’indiquer : «on a vu le cas extrême de la Guinée-Bissau qui est qualifié aujourd’hui d’Etat narcotrafiquant. Et le pays est un pays voisin de la Guinée-Bissau. On sait que la route de la cocaïne part de l’Amérique latine, transite par l’Afrique de l’ouest, le Nigeria, la Guinée Bissau et probablement aussi le Sénégal pour aller approvisionner le marché européen en cocaïne».
11 Commentaires
Europe
En Juillet, 2013 (18:32 PM)Youga
En Juillet, 2013 (18:37 PM)Axelle
En Juillet, 2013 (19:20 PM)Avis12
En Juillet, 2013 (19:30 PM)Bouben
En Juillet, 2013 (19:33 PM)Elle Parle ....
En Juillet, 2013 (21:07 PM)nos personalités importantes ont des attitudes de Boys en presence des europeens et occidentaux en general ,pourquoi ?
Africain221
En Juillet, 2013 (21:26 PM)Doutouq
En Juillet, 2013 (11:06 AM)La Brigade anti-criminalité de Marseille, dont seize policiers ont été placés en garde à vue
La Brigade anti-criminalité de Marseille, dont seize policiers ont été placés en garde à vue
AFP PHOTO / BORIS HORVAT
Par RFI
Des policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC) du nord de Marseille sont soupçonnés d'avoir volé ou extorqué de l'argent et de la drogue à des dealers. Lors de perquisitions menées sur les lieux de travail et aux domiciles des prévenus, mardi 2 octobre, la police des polices a saisi des éléments accablants. Des enregistrements sonores effectués dans les voitures achèveraient de les accuser.
Résine de cannabis, bijoux et liasses de billets... Lors de leur descente dans les locaux de la BAC, les policiers de l'Inspection générale de la police nationale - ceux qu'on surnomme les « Bœuf carottes » - sont tombés sur d'étranges trésors. Ils étaient cachés dans de faux plafonds de la brigade, dans les vestiaires, ou encore au domicile de certains suspects.
Sur les soixante policiers que compte cette brigade, douze sont en garde à vue depuis mardi 2 octobre, dans le cadre de cette affaire. Quinze autres ont été entendus mercredi en tant que témoins.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les policiers suspects se faisaient payer leur silence en drogue ou en argent par les trafiquants. Les enquêteurs disposent d'enregistrements sonores effectués dans les voitures de la brigade. Selon une source citée par la station France Info, on y entend des policiers se partager de grosses sommes d'argent.
Les fonctionnaires suspects pourraient être présentés au juge dès ce vendredi. Les peines encourues pour vols et extorsion en bande organisée
Baba
En Juillet, 2013 (11:48 AM)Espérons Qu'elle Lira Les Coms
En Juillet, 2013 (12:47 PM)Fghj
En Juillet, 2013 (09:44 AM)Participer à la Discussion