Aucune enquête n'a été ouverte. La précision est faite par le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, interrogé sur la polémique entourant la mort de Bassirou Diop, membre de la garde rapprochée du maire de Dakar, décédé en prison.
«Pourquoi une enquête devrait être ouverte ? Une enquête, c'est quand il y a effectivement une mort suspecte, [...]. Les conclusions de l'autopsie ne rendent nullement compte du caractère suspect du décès. On ouvre une enquête quand, effectivement, il y a une mort suspecte. Ce n'est pas le cas dans l'espèce», a-t-il tranché.
18 Commentaires
Palmarin
il y a 1 semaine (12:03 PM)Ghos
il y a 1 semaine (12:28 PM)Mariama SARR ça vous parle ? Cette dame sans défense sauvagement assassinée chez elle, qui n'a commis d'autre crime que de soutenir Sonko.
Yalna Yallah yereume len !
Reply_author
il y a 1 semaine (12:42 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (13:25 PM)Bamba
il y a 1 semaine (12:12 PM)Birima Ingenieur Polytechnicie
il y a 1 semaine (12:25 PM)Birima Ingenieur Polytechnicie
il y a 1 semaine (12:26 PM)Birima Ingenieur Polytechnicie
il y a 1 semaine (12:26 PM)Birima Ingenieur Polytechnicie
il y a 1 semaine (12:26 PM)Ano
il y a 1 semaine (12:43 PM)EN MARCHE LE JUB JUBAL JUBANTI
Mamadou Fall
il y a 1 semaine (12:55 PM)On ne se blesse tout seul à la paumette mon dieu.
Les parents doivent porter plainte pour au moins savoir l'origine de la blessure à paumette, indiquée clairement sur le rapport d'autopsie
leurs 2 babouins incapables de rien sont des merdes de 5 Etoiles ...grawoul ils sont patriotes
@kilifeu.pca.honnete
un coup des bretons
C’est un cas emblématique de la pédocriminalité commise en milieu religieux au Sénégal. Awa, 9 ans, attend un enfant à la suite d’un viol commis par son maître coranique. L’histoire de la fillette, dévoilée lors d’une émission télévisée il y a un mois, a sidéré les habitants de sa ville, Joal-Fadiouth, à 100 km au sud de Dakar. Malgré sa gravité, cette affaire, comme les nombreuses autres rapportées régulièrement par la presse, révèle l’embarras politique face à une question sensible aux conséquences désastreuses pour les victimes.
Aînée d’une fratrie de trois enfants, Awa Barry (un pseudonyme) a dénoncé les agissements de son professeur, Aliou S., après quatre mois de calvaire. Inscrite en classe de CM2, elle suivait des cours coraniques particuliers auprès de cet enseignant, quadragénaire, veuf et père de « grands enfants ». Par ses connaissances religieuses, celui-ci s’était fait un nom dans le voisinage. « Tout le monde avait confiance en lui. Des adultes allaient apprendre la religion à son domicile, relate Souleymane Barry, le père d’Awa. Quand ma petite dernière est née, c’est lui qui l’a baptisée. Awa était déjà enceinte mais on ne le savait pas.
Début novembre, après un malaise, une échographie révèle que l’enfant est enceinte. Face à ses parents, elle s’effondre et révèle les sévices imposés par son maître depuis des mois. « A la fin des cours particuliers, il lui demandait de rester pour l’aider à faire certaines tâches ménagères, rapporte le commandant-major Diabang, de la gendarmerie de Joal-Fadiouth, où la famille a porté plainte. Puis il lui faisait boire une eau qu’il disait bénite pour améliorer la mémoire de l’enfant. Une fois droguée, il la violait. »
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