La propriétaire de l’institut Sweet Beauté a été condamnée à deux ans de prison ferme et à 600 000 francs CFA d’amende. Elle devra, solidairement avec le président de Pastef, verser à son ancienne masseuse 24 millions de francs CFA au titre des dommages et intérêts. Dans son jugement daté du 1er juin, repris par L’Observateur, le juge de la chambre criminelle explique en quoi la co-accusée du leader des Patriotes est coupable d’incitation à la débauche.
Les «moins de 21 ans»
«Au sens de l'article 324 alinéa 2 du code pénal, l'acte matériel d'attentat aux mœurs par l'incitation de la jeunesse à la débauche est caractérisé par l'accomplissement, à titre habituel, d'actes tendant à inciter des personnes âgées de moins de 21 ans à la dépravation des mœurs ou à avoir un comportement sexuel immoral. Il ressort des actes de procédure, notamment les procès-verbaux d'audition de la gendarmerie et de l'instruction, que Adji Raby Sarr est née le 3 mars 2000, donc âgée de moins de 21 ans au moment des faits.
«Massage thérapeutique»
«L'absence de qualification des masseuses qui soutiennent à l'unanimité n'avoir reçu aucune formation atteste qu'elles ne pouvaient pratiquer de massage thérapeutique, ce, d'autant plus que l'accusée Ndèye Khady Ndiaye, interrogée sur la finalité des massages pratiqués dans son salon, n'est pas en mesure de répondre à cette question, se contentant simplement de déclarer qu'elle ne fait pas de massage thérapeutique.
La description du «Capitaine Touré»
«Il s'y ajoute que la description faite par le gendarme-enquêteur Seydina Oumar Touré lors de son transport sur les lieux et au cours duquel il a constaté la lumière rouge tamisée marquant le décor dans les cabines ainsi que la présence de jacuzzi combinée à l'inexpérience et l'absence de qualification des masseuses, outre l'appréciation qu'il a faite à l’audience, en soulignant que les locaux peuvent ressembler à un lieu de débauche, laissent apparaître que ‘Sweet Beauté’ est un lien de dépravation des mœurs.
«Adji Sarr en califourchon…»
«Il n'est donc pas surprenant d'entendre l'accusée Ndeye Khady Ndiaye dire qu'un jour, elle a vu Adji Raby Sarr à califourchon sur un client qui, par la suite, lui a remis la somme de 50 000 F Cfa, alors que le tarif du massage n'est fixé qu'à la somme de 20 000 F Cfa. Même si elle tente d'écarter sa responsabilité, en déclarant qu'elle n'était pas d'accord avec les agissements de Adj Raby Sarr, ses propos ne résistent pas à une analyse objective des faits en ce sens qu'après l'avoir renvoyée, dit-elle, à cause de soupçons sur son comportement, elle l'a réemployée et promue en lui confiant la gestion du salon, alors qu'elle avait d'autres employées.
Adji Sarr exposée
«La jeune Adji Sarr qui passait la nuit dans le salon de massage était donc exposée à la débauche et qu'en outre, le mode de rémunération consistant à lui donner une part sur le montant versé par les clients la poussait davantage à s'enliser dans cette voie. Il est donc incontestable que le fait d'offrir à cette jeune fille de moins de 21 ans n’ayant aucune expérience dans le domaine du massage, un cadre dans lequel elle exerce habituellement des services qui se terminaient par une finition consistant à faire jouir le client, favorise sa perversion, ce qui l'expose à la débauche. L'élément constitutif lié à l’habitude caractérisé par l'existence au moins deux faits répréhensibles est suffisamment établi en ce sens que les actes de débauche imputables à l'accusée sont réitérés pendant tout le temps que la jeune Sarr était à son service.
«Plaisir sensuel ou sexuel»
«Ainsi, il en ressort que l'accusée Ndèye Khady Ndiaye qui, sous le couvert d'une activité de massage, recrute en connaissance de cause des jeunes filles dont Adji Sarr, pour la satisfaction du plaisir sensuel ou sexuel des clients qui fréquentent ‘Sweet Beauté’, a commis un attentat aux mœurs sur une personne âgée de moins de 21 ans en l'incitant à la débauche. L'infraction d'attentat aux mœurs, par l'incitation à la débauche d'une personne en dessous de l'âge de 21 ans, prévue et punie par l'article 324 alinéa 2 susvisé étant dès lors établie à son égard, il y a lieu de la déclarer coupable de ce chef et pour la répression, la condamner à une peine d'emprisonnement de 02 ans ferme et à une amende d'un montant de 600 000 F Cfa. En application de l'article 11 du Code pénal, ordonne la fermeture de ‘Sweet Beauté’.»
Les «moins de 21 ans»
«Au sens de l'article 324 alinéa 2 du code pénal, l'acte matériel d'attentat aux mœurs par l'incitation de la jeunesse à la débauche est caractérisé par l'accomplissement, à titre habituel, d'actes tendant à inciter des personnes âgées de moins de 21 ans à la dépravation des mœurs ou à avoir un comportement sexuel immoral. Il ressort des actes de procédure, notamment les procès-verbaux d'audition de la gendarmerie et de l'instruction, que Adji Raby Sarr est née le 3 mars 2000, donc âgée de moins de 21 ans au moment des faits.
«Massage thérapeutique»
«L'absence de qualification des masseuses qui soutiennent à l'unanimité n'avoir reçu aucune formation atteste qu'elles ne pouvaient pratiquer de massage thérapeutique, ce, d'autant plus que l'accusée Ndèye Khady Ndiaye, interrogée sur la finalité des massages pratiqués dans son salon, n'est pas en mesure de répondre à cette question, se contentant simplement de déclarer qu'elle ne fait pas de massage thérapeutique.
La description du «Capitaine Touré»
«Il s'y ajoute que la description faite par le gendarme-enquêteur Seydina Oumar Touré lors de son transport sur les lieux et au cours duquel il a constaté la lumière rouge tamisée marquant le décor dans les cabines ainsi que la présence de jacuzzi combinée à l'inexpérience et l'absence de qualification des masseuses, outre l'appréciation qu'il a faite à l’audience, en soulignant que les locaux peuvent ressembler à un lieu de débauche, laissent apparaître que ‘Sweet Beauté’ est un lien de dépravation des mœurs.
«Adji Sarr en califourchon…»
«Il n'est donc pas surprenant d'entendre l'accusée Ndeye Khady Ndiaye dire qu'un jour, elle a vu Adji Raby Sarr à califourchon sur un client qui, par la suite, lui a remis la somme de 50 000 F Cfa, alors que le tarif du massage n'est fixé qu'à la somme de 20 000 F Cfa. Même si elle tente d'écarter sa responsabilité, en déclarant qu'elle n'était pas d'accord avec les agissements de Adj Raby Sarr, ses propos ne résistent pas à une analyse objective des faits en ce sens qu'après l'avoir renvoyée, dit-elle, à cause de soupçons sur son comportement, elle l'a réemployée et promue en lui confiant la gestion du salon, alors qu'elle avait d'autres employées.
Adji Sarr exposée
«La jeune Adji Sarr qui passait la nuit dans le salon de massage était donc exposée à la débauche et qu'en outre, le mode de rémunération consistant à lui donner une part sur le montant versé par les clients la poussait davantage à s'enliser dans cette voie. Il est donc incontestable que le fait d'offrir à cette jeune fille de moins de 21 ans n’ayant aucune expérience dans le domaine du massage, un cadre dans lequel elle exerce habituellement des services qui se terminaient par une finition consistant à faire jouir le client, favorise sa perversion, ce qui l'expose à la débauche. L'élément constitutif lié à l’habitude caractérisé par l'existence au moins deux faits répréhensibles est suffisamment établi en ce sens que les actes de débauche imputables à l'accusée sont réitérés pendant tout le temps que la jeune Sarr était à son service.
«Plaisir sensuel ou sexuel»
«Ainsi, il en ressort que l'accusée Ndèye Khady Ndiaye qui, sous le couvert d'une activité de massage, recrute en connaissance de cause des jeunes filles dont Adji Sarr, pour la satisfaction du plaisir sensuel ou sexuel des clients qui fréquentent ‘Sweet Beauté’, a commis un attentat aux mœurs sur une personne âgée de moins de 21 ans en l'incitant à la débauche. L'infraction d'attentat aux mœurs, par l'incitation à la débauche d'une personne en dessous de l'âge de 21 ans, prévue et punie par l'article 324 alinéa 2 susvisé étant dès lors établie à son égard, il y a lieu de la déclarer coupable de ce chef et pour la répression, la condamner à une peine d'emprisonnement de 02 ans ferme et à une amende d'un montant de 600 000 F Cfa. En application de l'article 11 du Code pénal, ordonne la fermeture de ‘Sweet Beauté’.»
32 Commentaires
Waaru
En Juillet, 2023 (06:58 AM)-
J'étais juste en train de me dire si on a pas paye cette personne pour écrit cet article, vraiment du n'importe quoi cet article
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En Juillet, 2023 (07:01 AM)-
Auteur? Mme Sonko ADJI Sarr mou sell mi
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En Juillet, 2023 (07:07 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (07:07 AM)-
CE FORFAITURE N'EST RIEN QU'UN PARODIE DE JUSTICE
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+182
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En Juillet, 2023 (07:58 AM)Le problème dans ce dossier la compréhension du mot LA JUSTICE et son acceptation, certains y voient une institution et d'autres le rendez vous devant une assemblée de personnes neutres qui ont la confiance des parties au nom de la société pour la manifestation de la vérité. Delors que sa composition en aval est suspecte sa crédibilité sera remise en question et encore que le verdict rendu vient corroborer cela par une loi médiévale qui donne l'objet d'un " Power Play" c'est à dire ne répond pas à la rationnelle de l'esprit du juste dans des accusations où des CONTRE-VÉRITÉS y ont été décelées, on se retrouve dans la justice de partage de l'hyène "ATTÉ BOUKI" c'est à dire "ils" ont fait ceux qu'ils cherchaient. Que cela s'est passé dans des locaux d'une institution AU TRIBUNAL PAR UN JUGE n'en fait pas une chose du juste mais une manipulation politico politicienne où ceux qui le défendent galvaudé le mot LA JUSTICE pour faire passer leurs forfaiture. UNE ABERRATION QUE NUL NE PEUT ACCEPTER ENCORE MOINS EXÉCUTER.
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En vérité cette affaire n'a fait qu'exposer la tortuosité, la faiblesse morale et la versatilité de petits monsieur organiser en groupe de politiques et de fonctionnaires véreux qui ont organisé un complot terminé par un cirque de clowns en robe noire qui dura toute la journée jusqu'aux heures de crimes pour accomplir leur objectif pour nuire à autrui enfin d'asseoir avec un verdict les conditions qui leurs permettent de pérenniser le status quo c'est à dire une situation de mal pratiques de recherche inopinée d'argent illicites par leurs fonctions dans une administration corrompue par des politiciens du meme acabit, disons le plus clair du même genre, de la même espèce.
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En Juillet, 2023 (08:27 AM)-
L'ERREUR FATALE UN CAS DE FIGURE PRÉVUE NUL PART DANS LA LOI ET REND CADUQUE CE PROCÈS
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En Juillet, 2023 (08:46 AM)Ce jugement par CONTUMACE pour quelqu'un qui se trouve sur le territoire barricadé chez lui à la portée de la loi son lieu de présence connu de tous DANS UN BROUHAHA POLITIQUE ET MÉDIATIQUE. Delors organiser dans la précipitation un procès sans attendre l'exécution de la contrainte de corps est une violation de la procédure manifeste et de la loi qui n'accepte pas ce cas de figure une vice de forme qui nous sort de la légalité et nous fait rentrer dans un show politiquo comique avec des farceurs de juges pour le présider qui rend caduque ce cinéma de procès et avec lui tout ce qui y émane comme verdict qui en réalité n'est que la transcription de la solution des inquiétudes des comploteurs.
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Tres clair. Rien a dire
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En Juillet, 2023 (08:57 AM)-
Je comprends pas le verdict du juge la plainte qui a déclenché tout ce procédure c'est basé sur des accusations comme elles se sont finalement manifestées et acceptés, se sont révélées être fausses accusations de menaces de mort avec deux pistolets et de viol qui n'étaient qu'une tentative de raquette pour de l'argent et autres raisons qui restent à être élucidées par l'abus de la loi sur la criminalisation du viol par la spécificité que ce ce dernier qui se passe dans l'intimité ne peut être basé que sur la parole et être élucidé par le certificat médical qui par la suite lave à grande eau l'accusé. Alors comment comprendre par quel BRIC À BRAC et par quelle formule magique le juge a accordé à la fausse accusatrice des bénéfices financières des actes répréhensibles et aller faire dépoussiérage de loi médiévale que nul contemporain dans ce monde est sous la condamnation.
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En Juillet, 2023 (09:17 AM)-
D'apres l'observateur le juge s'est base sur ses arguments pour motiver l'arret rendu
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En Juillet, 2023 (09:30 AM)-
Il n'est pas acceptable que les faux manœuvres intentionnés de l'accusatrice soient gratifiés par une indemnisation pécuniaires.Et d'ailleurs je n'arrive pas à comprendre l'argumentaire du juge, delors qu'il a été prouvé que le scénario relaté avec deux pistolets suivi d'un viol et qui a valu au victime d'aller se présenter à l'heure qui suit devant un gynécologue qui exclu la possibilité de rapports sexuels, que tout ceci ait fini par être écarté à la suite par le juge ce qui est alors devenu une accusation mensongère évidente tendant à nuire à autrui dans un esprit permissive d'exploiter la loi sur la criminalisation du viol pour des intérêts pécuniaires et autres qui restent à être tirer au clair. Comment le juge accepte de ne pas sanctionner cet acte de mensonges d'une gravité sur la liberté , dignité et l'honorabilité de quelqu'un pour gâcher sa vie par de fausses accusations et ce juge se réduit par retourne les faits pour accorder des dommages pécuniaires au menteur qui a cherché à abuser de la justice par une loi que nul contemporain dans ce monde d'aujourd'hui n'a eu à être condamné pour.
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En Juillet, 2023 (09:36 AM)-
Quelle hypocrisie ! Entre 18 et 21 ans vous pouvez avoir un carnet de sante qui vous permet de vous prostituer mais on ne vous permet pas de travailler dans un salon pour ne pas degrader les moeurs !
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En Juillet, 2023 (10:02 AM)Bravo la Justice Senegalaise
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Le Sénégal est fini. Tout le monde se mettent ensemble pour nuire sciemment
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En Juillet, 2023 (10:28 AM)Anonyme
En Juillet, 2023 (07:01 AM)Ce genre de femmes je plains leurs maris. comment on peut évoluer dans ce lupanar?
Ridial
En Juillet, 2023 (07:14 AM)Xeme
En Juillet, 2023 (07:17 AM)Bababé
En Juillet, 2023 (07:32 AM)Nervis Du Droit
En Juillet, 2023 (07:43 AM)-
Il n y a rien à revoir. L'age de la majorité au Sénégal est de 18 ans révolus. Ils ont avancé qu'Adji SARR avait 20 ans au moment des faits. OK Sauf que cela veut dire qu'elle était majeure: la minorité d’âge de l’alinéa 2 de l’article 342 du Code pénal est fixée en dessous de 18 ans depuis la promulgation de la loi n° 99-82 du 3 septembre 1999. L'on ne peut condamner SONKO du délit de corruption de la jeunesse.
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En Juillet, 2023 (08:57 AM)Il faut arrêter
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Vous ne lisez la loi que quand cela vous arrange. Mayléne nit gni jiam
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En Juillet, 2023 (08:24 AM)Gat Di
En Juillet, 2023 (08:22 AM)Di jadi-Jadi
MELNI yèna Mom Sénégal
Le Sénégal n'est pas Un Royaume
Xarite
En Juillet, 2023 (09:21 AM)-
Quand on manque à fois d'education, d'instruction et de discernement voilà ce que cela donne: des citoyens incapables de faire la différence entre un chat et un tigre, un lézard et un crocodile. Votre Sonko est un faux et un vendeur de rêves. Incapable de tenir sa langue et sa quequette, peut il tenir un pays?
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En Juillet, 2023 (10:12 AM)Une Blague ???
En Juillet, 2023 (09:24 AM)Peuple : On a tranché depuis longtemps
Question Pour Un Champion
En Juillet, 2023 (09:43 AM)Labourance95
En Juillet, 2023 (09:51 AM)Labourance1995
En Juillet, 2023 (09:56 AM)Mame Gorgui95
En Juillet, 2023 (09:59 AM)Philomene
En Juillet, 2023 (10:02 AM)Disparition mysterieuse dans les falaises de bandiagara;
priere sur l'eau;
viol avec deux mains armées;
une plume qui fait kithie-kithie qu'on entend de Diourbel à Mbacké;
Une grossesse de plus de 2ans.
Morale Et éthique
En Juillet, 2023 (10:06 AM)Alors se rendre à plusieurs reprises dans un salon de massage, la nuit, en plein couvre-feu lié au COVID, laissant femmes et enfants à la maison... pour se faire su... par une pauvre fille... Sonko est moralement disqualifié.
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Mdrrrrr
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En Juillet, 2023 (14:05 PM)Participer à la Discussion