C’est fort du soutien du président Macky Sall, par ailleurs président de l’Union Africaine que l’architecte Pierre Atépa Goudiaby, qui fut président de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) de l’Union Monétaire Ouest Africaine, a relancé à Washington D.C. son méga projet de « Nouvelle Route de l’Acier et de l’Aluminium » lors du sommet Etats-Unis/Afrique qui se tient du 13 au 15 décembre 2022 dans la capitale fédérale américaine.
Porteur d’une initiative salutaire qui milite en faveur de l’industrialisation de l’Afrique, de l’éradication de la pauvreté et du plein emploi, Pierre Atépa Goudiaby n’a pas eu de mal à convaincre l'aréopage des décideurs américains sur le bien-fondé de sa démarche. C’est donc un nouveau souffle que reçoit un projet qui devrait positionner l’Afrique sur l’échiquier international comme continent à fort potentiel de croissance et partie-prenante dans la marche de l’économie mondiale quand on sait qu’elle constitue déjà un enjeu géopolitique international.
Les arguments de l’architecte sont en béton, lorsqu’il affirme qu’il y a 3000 ans, nos ancêtres maîtrisaient déjà le fer. Comment donc comprendre qu’au 21ème siècle, l’Afrique soit réduite à exporter à l’état brut ce minerai dont ses sous-sols regorgent ?
En parcourant son volumineux carnet d’adresses, Pierre Atépa Goudiaby a très vite rallié six autres chefs d’État, parmi lesquels le sierra-léonais Julius Maada Bio dont le pays est, à l’instar de la Guinée (autre partie prenante du projet), un scandale géologique.
C’est le 24 mai 2019 que l’architecte a déroulé pour la première fois à Dakar les contours de la « Nouvelle Route de l’Acier et de l’Aluminium » sur laquelle travaille une équipe d’experts multidisciplinaires. Les premiers pays concernés par le projet sont le Sénégal, le Mali, la Mauritanie, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau et la Sierra Leone. Ce passionné d’histoire de l’architecture et de l’urbanisme avait revisité le concept des « Nouvelles Routes de la Soie » remises au goût du jour par la Chine en 2013.
Le sommet Etats-Unis/Afrique auquel ont pris part une cinquantaine de chefs d’État africains, a donc permis à l’architecte Pierre Atépa Goudiaby de dérouler le projet au plan international, mais aussi de bénéficier d’un soutien de poids, celui de l’Union Africaine, dont le Africa Business Forum vient de lui décerner, en marge du sommet, le trophée de l’Industrialisation de l’Afrique. Tout un symbole !
Porteur d’une initiative salutaire qui milite en faveur de l’industrialisation de l’Afrique, de l’éradication de la pauvreté et du plein emploi, Pierre Atépa Goudiaby n’a pas eu de mal à convaincre l'aréopage des décideurs américains sur le bien-fondé de sa démarche. C’est donc un nouveau souffle que reçoit un projet qui devrait positionner l’Afrique sur l’échiquier international comme continent à fort potentiel de croissance et partie-prenante dans la marche de l’économie mondiale quand on sait qu’elle constitue déjà un enjeu géopolitique international.
Les arguments de l’architecte sont en béton, lorsqu’il affirme qu’il y a 3000 ans, nos ancêtres maîtrisaient déjà le fer. Comment donc comprendre qu’au 21ème siècle, l’Afrique soit réduite à exporter à l’état brut ce minerai dont ses sous-sols regorgent ?
En parcourant son volumineux carnet d’adresses, Pierre Atépa Goudiaby a très vite rallié six autres chefs d’État, parmi lesquels le sierra-léonais Julius Maada Bio dont le pays est, à l’instar de la Guinée (autre partie prenante du projet), un scandale géologique.
C’est le 24 mai 2019 que l’architecte a déroulé pour la première fois à Dakar les contours de la « Nouvelle Route de l’Acier et de l’Aluminium » sur laquelle travaille une équipe d’experts multidisciplinaires. Les premiers pays concernés par le projet sont le Sénégal, le Mali, la Mauritanie, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau et la Sierra Leone. Ce passionné d’histoire de l’architecture et de l’urbanisme avait revisité le concept des « Nouvelles Routes de la Soie » remises au goût du jour par la Chine en 2013.
Le sommet Etats-Unis/Afrique auquel ont pris part une cinquantaine de chefs d’État africains, a donc permis à l’architecte Pierre Atépa Goudiaby de dérouler le projet au plan international, mais aussi de bénéficier d’un soutien de poids, celui de l’Union Africaine, dont le Africa Business Forum vient de lui décerner, en marge du sommet, le trophée de l’Industrialisation de l’Afrique. Tout un symbole !
11 Commentaires
Amsa
En Décembre, 2022 (08:38 AM)Reply_author
En Décembre, 2022 (11:38 AM)Reply_author
En Décembre, 2022 (12:01 PM)qui peut générer beaucoup d'emplois
Remuez vos méninges au lieu de faire du copie collé dans beaucoup de domaines UE/ UA-Euro /ECO-
Utilisez vos talents et votre imagination pour le bien du continent au lieu de se murer dans la paresse intellectuelle.
Maatr
En Décembre, 2022 (10:56 AM)Pape
En Décembre, 2022 (16:02 PM)Ps: je dois préciser que je soutiens le postulat selon lequel, l'Afrique ne peut de d velopoer sans industrialisation. C'est une abérration de voir des Boudjouman récupérer la ferraille à Mbeubeuss alors que le fer de la Falémé attend d'être exploité depuis 1960. Cordially
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