L'ex-gloire du Tea Party Sarah Palin, candidate malheureuse à la vice-présidence en 2008, a appelé mardi les républicains à voter Donald Trump aux primaires, le préférant à l'ultra-conservateur Ted Cruz.
"Je suis fière de soutenir Donald J. Trump pour la présidence des Etats-Unis d'Amérique", a déclaré Sarah Palin dans un communiqué diffusé par l'équipe de campagne du milliardaire.
"C'est un grand honneur de recevoir le soutien de Sarah.
"Je suis fière de soutenir Donald J. Trump pour la présidence des Etats-Unis d'Amérique", a déclaré Sarah Palin dans un communiqué diffusé par l'équipe de campagne du milliardaire.
"C'est un grand honneur de recevoir le soutien de Sarah.
C'est une amie, une personne de grande qualité pour qui j'ai énormément de respect. Je suis très fier de recevoir son soutien", a ajouté Donald Trump.
Les deux personnalités se retrouveront à Ames, dans l'Iowa, mardi lors d'un meeting de l'homme d'affaires.
Ancienne gouverneure de l'Alaska, Sarah Palin avait été choisie à la surprise générale par John McCain pour devenir sa colistière à la présidentielle de 2008 contre Barack Obama.
Les deux personnalités se retrouveront à Ames, dans l'Iowa, mardi lors d'un meeting de l'homme d'affaires.
Ancienne gouverneure de l'Alaska, Sarah Palin avait été choisie à la surprise générale par John McCain pour devenir sa colistière à la présidentielle de 2008 contre Barack Obama.
L'autre candidat républicain à la Maison Blanche Jeb Bush a par ailleurs estimé mardi que Donald Trump n'était "pas un candidat sérieux" à la Maison Blanche, et dénonçant sa vulgarité, il a prédit qu'il serait "anéanti" lors de l'élection présidentielle.
"Quelqu'un qui propose des barrières douanières de 45% avec la Chine, ce n'est pas une proposition sérieuse", a-t-il déclaré devant le centre de réflexion Council on Foreign Relations à New York, estimant que cela conduirait à une "dépression internationale qui laminerait la classe moyenne américaine".
"Quelqu'un qui propose des barrières douanières de 45% avec la Chine, ce n'est pas une proposition sérieuse", a-t-il déclaré devant le centre de réflexion Council on Foreign Relations à New York, estimant que cela conduirait à une "dépression internationale qui laminerait la classe moyenne américaine".
0 Commentaires
Participer à la Discussion