Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a appelé jeudi tous les pays musulmans à présenter un front uni contre le groupe Etat islamique (EI), faute de quoi les djihadistes continueront selon lui à commettre des attentats comme ceux de Paris.
"Je condamne sans réserve les terroristes qui croient en la même religion que moi et j'appelle tous les dirigeants des pays musulmans à mettre en place un front uni", a déclaré M. Erdogan dans un discours prononcé à Istanbul lors d'un forum sur l'énergie.
"Si nous ne le faisons pas, ceux qui ont frappé à Ankara frapperont ailleurs, comme ils l'ont fait à Paris", a-t-il ajouté.
"Je condamne sans réserve les terroristes qui croient en la même religion que moi et j'appelle tous les dirigeants des pays musulmans à mettre en place un front uni", a déclaré M. Erdogan dans un discours prononcé à Istanbul lors d'un forum sur l'énergie.
"Si nous ne le faisons pas, ceux qui ont frappé à Ankara frapperont ailleurs, comme ils l'ont fait à Paris", a-t-il ajouté.
"Ils vont frapper à d'autres portes alors il faut que le monde entier coopère pour adopter une position qui empêchera cela de se reproduire", a poursuivi le chef de l'Etat, "si la montée du fanatisme en Europe n'est pas stoppée, de nouvelles calamités surviendront".
La Turquie a longtemps été accusée d'être complaisante, voire d'aider, les groupes rebelles radicaux qui combattent le régime de Damas.
Sous la pression de ses alliés et après une série d'attentats attribués aux djihadistes sur son sol, le gouvernement turc a opéré à partir de l'été dernier un revirement et rejoint la coalition internationale antidjihadiste qui bombarde le groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.
Depuis l'attentat d'Ankara attribué à l'EI, qui a fait 103 morts le 10 octobre selon un nouveau bilan, les Turcs ont multiplié les descentes dans les milieux djihadistes.
La Turquie a longtemps été accusée d'être complaisante, voire d'aider, les groupes rebelles radicaux qui combattent le régime de Damas.
Sous la pression de ses alliés et après une série d'attentats attribués aux djihadistes sur son sol, le gouvernement turc a opéré à partir de l'été dernier un revirement et rejoint la coalition internationale antidjihadiste qui bombarde le groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.
Depuis l'attentat d'Ankara attribué à l'EI, qui a fait 103 morts le 10 octobre selon un nouveau bilan, les Turcs ont multiplié les descentes dans les milieux djihadistes.
7 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:05 AM)vas au diable Erdogan.
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:30 AM)Alphaone
En Novembre, 2015 (11:40 AM)En plus il mendie pour empècher les syriens d'émigrer ...... un vrais de vrais, quoi.
Xxxxxx
En Novembre, 2015 (20:43 PM)Yatt
En Décembre, 2015 (16:18 PM)De tous, Erdogan reste le pire, car portant le manteau des intérêts sionistes, contre l'Islam.
C'est pourquoi il utilise l'arme d'excellence du sionisme : le mensonge ambivalent.
Qu'il ne s'en fasse surtout pas, lui, les régimes saoudien, qatari, koweitien et égyptiens sont en train de jouer leurs dernières cartes, car si ses intérêts le demandent, et c'est plausible que ce soit très bientôt, leur maitre américain fera d'eux ce qu'il a déjà fait de Manuel Noriega (Panama), Ben Laden et le Mollah Omar (Afghanistan), Saddam Hussein (Irak), ...
Doméramou Erdogane
En Décembre, 2015 (16:31 PM)Anonyme
En Décembre, 2015 (11:20 AM)Participer à la Discussion