Dans une Tribune co-signée par le Président de la République du Sénégal Macky Sall, celui du Costa Rica, Carlos Alvara Quesada, le Premier ministre de la Nouvelle Zélande Jacinda Ardern, le Premier Ministre de la Suéde Stafan Lofven, le Président de l’Afrique du Sud Cyril Ramaphosa et Pedro Sanchez, Premier Ministre de l’Espagne, les Etats militent pour le renforcement de la coopération multilatérale.
Ces États ont tiré les conclusions de la consultation organisée par les Nations Unies l’année dernière. Une consultation qui avait mobilisé 193 pays et qui concernait « les attentes et les espoirs des femmes, des enfants, des filles et des garçons du monde » qui sont sortis similaires. Il s’agit notamment d’un accès aux soins de base, à l’assainissement et à l’éducation. Il y a aussi une préoccupation à long terme qui interpelle la double crise de changement climatique. Et pour les États signataires, la réponse à ces attentes réside dans « l’action ».
Tirant les leçons de la pandémie à Covid, les États signataires considèrent que « nous vivons dans un monde interconnecté et interdépendant » qui continue de subir des drames tels que les inondations dévastatrices, les vagues de chaleur entre autres. Les États considèrent qu’il existe une nécessité d’adapter les objectifs aux défis actuels afin de mieux faire face aux défis mondiaux. Chose qui ne saurait aboutir sans l’implication de chaque acteur.
Les Etats militent ainsi pour « un engagement renouvelé en faveur de la coopération internationale » dans un premier temps ainsi pour une adoption audacieuses de mesures visant à relancer et à renforcer la capacité à lutter contre la pauvreté et les inégalités.
Ces États ont tiré les conclusions de la consultation organisée par les Nations Unies l’année dernière. Une consultation qui avait mobilisé 193 pays et qui concernait « les attentes et les espoirs des femmes, des enfants, des filles et des garçons du monde » qui sont sortis similaires. Il s’agit notamment d’un accès aux soins de base, à l’assainissement et à l’éducation. Il y a aussi une préoccupation à long terme qui interpelle la double crise de changement climatique. Et pour les États signataires, la réponse à ces attentes réside dans « l’action ».
Tirant les leçons de la pandémie à Covid, les États signataires considèrent que « nous vivons dans un monde interconnecté et interdépendant » qui continue de subir des drames tels que les inondations dévastatrices, les vagues de chaleur entre autres. Les États considèrent qu’il existe une nécessité d’adapter les objectifs aux défis actuels afin de mieux faire face aux défis mondiaux. Chose qui ne saurait aboutir sans l’implication de chaque acteur.
Les Etats militent ainsi pour « un engagement renouvelé en faveur de la coopération internationale » dans un premier temps ainsi pour une adoption audacieuses de mesures visant à relancer et à renforcer la capacité à lutter contre la pauvreté et les inégalités.
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