Selon un journaliste du Financial Times, les soldats nord-coréens déployés en Ukraine utiliseraient leur accès à Internet pour consommer massivement de la pornographie.
Une découverte étonnante sur le champ de bataille. Alors que près de 11.000 soldats nord-coréens ont été convoqués sur le champ de bataille pour le compte de la Russie, selon le gouvernement ukrainien, ces forces armées seraient occupées à une autre activité que la guerre.
En effet, Gideon Rachman, spécialiste des conflits étrangers pour le Financial Times, assure que «les soldats nord-coréens qui ont été déployés en Russie n'ont jamais eu accès à Internet avant leur arrivée». Avant de poursuivre : «De ce fait, ils se gorgent de pornographie».
Face à ces allégations, le porte-parole du Département de la Défense américain, le lieutenant-colonel Charlie Dietz, a été contraint de répondre au média Task & Purpose : «Aussi divertissant que cela puisse paraître, je ne peux confirmer aucune habitude des Nord-Coréens sur Internet ni leurs activités 'extrascolaires' virtuelles en Russie», a-t-il soutenu.
Alors que Moscou refuse de commenter la présence de ces soldats sur le front, leur déploiement sur le terrain fait douter la plupart des analystes. En cause notamment, la barrière de la langue et leur nombre limité. Toutefois, ceux-ci pourrait «endurer des conditions difficiles» et seraient «rigoureusement entraînés», selon Lim Eul-chul, de l'université Kyungnam à Changwon (Corée du Sud).
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, avait déjà évoqué il y a une semaine un déploiement des soldats nord-coréens dans la région de Koursk, ciblée par les forces ukrainiennes. Selon lui, ils seraient équipés d'uniformes russes et formés à l'artillerie, aux drones et aux opérations d'infanterie.
13 Commentaires
Vraiment
En Novembre, 2024 (20:42 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (20:58 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (21:00 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (22:02 PM)Apparemlent aucun soldat occidental ne consomme ni porno, ni filles quand ils sont au front.
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En Novembre, 2024 (23:16 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (23:53 PM)Au moins, on ne nous sert pas une histoire du genre, on va accepter et défendre les soldats tarlouzes.
La "tarlouzerie" est très pratiquée dans une armée bien musclée et connue.
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En Novembre, 2024 (00:23 AM)" A senior US officer and former Nato commander sparked outrage in the Netherlands today by declaring that gay soldiers in the Dutch military were one of the reasons for the Srebrenica massacre, the worst act of mass murder in Europe committed since the second world war." Vous pouvez faire la traduction sur Google.
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En Novembre, 2024 (02:17 AM)Découverte d’une méthode permettant de réduire de 10 fois le paludisme au Mali
Une équipe de scientifiques a mis au point une méthode innovante pour réduire la population de moustiques porteurs du paludisme au Mali. Les résultats montrent qu’un appât de sucre toxique pourrait diviser par 10 le nombre de moustiques vecteurs dans les zones expérimentales, ouvrant la voie à une application plus large en Afrique.
Un groupe international de chercheurs de Russie, du Mali, d’Allemagne, de Lituanie, des États-Unis et d’Israël a franchi une étape cruciale dans la lutte contre le paludisme en Afrique de l’Ouest. Ce projet, mené au Mali, a démontré qu’un appât peut réduire jusqu’à 90% la population de moustiques Anopheles, principaux vecteurs de cette maladie tropicale. Ces travaux, coordonnés en partie par le ministère russe de l’Éducation et de la Science, suscitent l’intérêt de la communauté scientifique et pourraient influencer les futures stratégies de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière de lutte contre le paludisme.
Une méthode ciblée et respectueuse de l’écosystème
Dans cette étude, les scientifiques ont utilisé des pièges à moustiques contenant un appât à base de sucre toxique, une alternative prometteuse aux insecticides classiques. Roman Iakovlev, chercheur de l’université d’État de Tomsk et participant à l’étude, explique que les moustiques, notamment les femelles qui se nourrissent de nectar pour compléter leur régime de sang, sont attirés par ce «dessert» spécial. Contrairement aux méthodes d’épandage d’insecticides, ce piège fonctionne de manière sélective, ciblant uniquement les moustiques sans impact négatif sur les autres insectes et l’écosystème local. «Les femelles moustiques ont un besoin accru d’hydrates de carbone en raison de leur charge environnementale liée à la reproduction, ce qui les rend particulièrement vulnérables à ce type d’appât», précise Iakovlev. Cette technique a permis d'observer une réduction significative des populations de moustiques dans les villages où les pièges ont été installés, avec une présence 10 fois inférieure par rapport aux villages témoins où aucun appât n’avait été déployé.
Un enjeu majeur pour la santé publique en Afrique
Forts de ces résultats, les chercheurs envisagent désormais d’élargir leurs expérimentations à d’autres régions d’Afrique. Chaque zone présente des espèces et des cycles saisonniers de moustiques différents, ce qui nécessitera des ajustements de la méthode pour maximiser son efficacité. L'équipe espère que ces données expérimentales pourront enrichir les recommandations de l’OMS et soutenir une lutte plus ciblée et durable contre le paludisme. En complément de cette étude, d’autres travaux menés par des institutions russes, dont l’université d’État de Tomsk, se penchent sur la structure génétique des moustiques porteurs du paludisme. Ces recherches visent à cibler les gènes spécifiques impliqués dans la transmission des agents pathogènes, une approche complémentaire qui pourrait à terme permettre une lutte encore plus précise contre la propagation du paludisme.
Le paludisme demeure une cause de mortalité importante, particulièrement en Afrique subsaharienne où les enfants de moins de cinq ans sont les plus touchés. Malgré les efforts de l’OMS et des autorités locales, les taux de mortalité restent élevés, avec des centaines de milliers de décès chaque année. Cette méthode d’appât toxique offre ainsi une option nouvelle, potentiellement moins intrusive pour l’environnement, dans un contexte où l’efficacité et la durabilité des solutions de lutte anti-vectorielle sont essentielles.
Urokodaki
En Novembre, 2024 (22:59 PM)Ces médias, c’est comme un grand chef qui te sert un steak bien saignant… sauf que c’est du tofu camouflé sous une tonne de ketchup. Ils te saupoudrent des petits mots-clés croustillants pour que tu penses avoir avalé un festin, mais en vrai, c’est que de l’air. Pendant ce temps, on les écoute, la bouche ouverte, prêt à gober le prochain scoop comme un oisillon qui attend sa becquée de vérité — alors que tout ce qu’on nous sert, c’est du vent.
40 singes de laboratoire s'évadent d'un centre de recherche aux États-Unis
«Toute personne rencontrant un singe ne doit pas interagir avec lui», avertissent les autorités américaines alors qu’une quarantaine de primates de laboratoire se sont évadés d’un centre de recherche.
Les autorités américaines traquent 40 singes de laboratoire qui se sont évadés dans la soirée du 6 novembre d'un centre de recherche en Caroline du Sud. «Toute personne rencontrant un singe ne doit pas interagir avec lui mais plutôt appeler le 911», a mis en garde la police locale.
Ces animaux «utilisés à des fins scientifiques» s'étaient échappés d'Alpha Genesis, une entreprise qui fournit «des produits de primates non humains et des services de recherche biologique», a précisé la police de Yemassee, citée par les médias locaux.
«Il est fortement conseillé aux habitants de fermer portes et fenêtres pour empêcher ces animaux d'entrer dans les maisons», a averti le département du shérif de Yemassee dans un communiqué, soulignant que des pièges avaient été installés et que les agents utilisaient des caméras thermiques pour tenter de capturer les animaux.
Le shérif n'a pas précisé la race des primates fugitifs, mais le site web de l'entreprise Alpha Genesis mentionne qu'elle travaillait avec des macaques et des capucins. Il n'a pas non plus été indiqué à quelles expérimentations les singes fugitifs avaient été soumis, ni s'ils avaient été exposés à des maladies.
«Monkey Island»
Selon des rapports de presse, l'entreprise a obtenu un contrat fédéral pour gérer une colonie de 3 500 singes sur l'île Morgan, au large de la Caroline du Sud, également connue sous le nom de «Monkey Island»
L'entreprise travaille avec des singes pour mener des essais cliniques, notamment sur le traitement des troubles du cerveau, et affirme disposer de «l'une des installations pour primates non humains les plus grandes et les plus complètes, conçue spécifiquement pour les singes, aux États-Unis».
Le journal Post and Courier a rapporté que des évasions de primates s'étaient déjà produites à plusieurs reprises dans la région, notamment en mai de cette année et en 2016, lorsque 19 d'entre eux avaient échappé à la sécurité d'Alpha Genesis avant d'être récupérés six heures plus tard.
En 2022, trois singes se sont échappés à la suite d'un accident de la circulation dans une zone rurale de Pennsylvanie.
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En Novembre, 2024 (23:48 PM)Ndandane
En Novembre, 2024 (00:03 AM)Les médias occidentaux ne font que mentir.
Arrêtez de relayer les fausses informations.
Ndandane
En Novembre, 2024 (00:03 AM)Les médias occidentaux ne font que mentir.
Arrêtez de relayer les fausses informations.
les primitifs et le pétrole !!
yabawama
Urokodaki
En Novembre, 2024 (01:01 AM)Amadou Deme
En Novembre, 2024 (05:00 AM)Xeme
En Novembre, 2024 (06:53 AM)Participer à la Discussion