M. Barry a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle aux États-Unis. Le Sénégalais a été reconnu coupable du meurtre de son compatriote, D. Bâ. La victime, âgée de 19 ans, a été poignardée à mort. D'après Les Échos, qui donne l'information, l'affaire avait fait couler beaucoup d'encre, en 2020, à Brooklyn.
«Le 18 février 2020, rembobine le journal, Bâ [s'affale dans] le salon de coiffure Gentlemen's Quarters sur Church Avenue et demande aux clients d'appeler sa mère. Quelqu'un [compose] le 911 avant d'alerter la mère de Bâ.» Ce dernier décédera par la suite à l'hôpital du comté de Kings.
Selon des témoins, Bâ et Barry, tous deux immigrés du Sénégal, en sont venus aux mains. Leur altercation, dont les circonstances ne sont pas précisées, vire au drame. «[Le présumé meurtrier surnommé Zion] a sorti un couteau et s'est rapproché de [la victime]. Alors que Bâ reculait dans la rue, Barry a enfoncé le couteau dans sa poitrine, lui transperçant le poumon gauche et le coeur», déclarent les mêmes témoins. Repris par le quotidien d'information, ces derniers ajoutent que «[Zion] a continué à poignarder sa victime, qui a couru au coin de la rue, [pour se réfugier] dans le salon de coiffure». Selon sa mère, il est entré dans le salon, en criant «mon ventre, mon ventre». «[Son fils] saignait lorsqu'ils ont soulevé sa veste, [mais] Bâ souffrait tellement qu'il n'a pas réalisé qu'il avait été [attient à] la poitrine et non [au niveau du] ventre», poursuit-elle.
La même source, citant la police, rapporte que Barry a été identifié «grâce aux caméras de surveillance, aux déclarations de témoins oculaires et aux réseaux sociaux» avant d'être arrêté. Le mis en cause a été jugé quatre ans plus tard car la sentence est tombée cette semaine, à l'issue d'un procès devant un jury. «La vie de [Bâ] a été interrompue de manière insensée par ce prévenu dont les actes horribles ont dévasté toute une communauté», a martelé le Procureur du district de Brooklyn, Eric Gonzales, dans son réquisitoire.
Pour le maître des poursuites, il s'agit de «[permettre] à la famille et aux amis [du défunt] de tourner la page alors qu'ils continuent de pleurer la mort tragique du jeune homme», en prononçant «[cette] longue peine de prison». La famille de Bâ, venue y rejoindre des proches, vit aux États-Unis depuis 2014. Le défunt rêvait de devenir basketteur, signale Les Échos.
«Le 18 février 2020, rembobine le journal, Bâ [s'affale dans] le salon de coiffure Gentlemen's Quarters sur Church Avenue et demande aux clients d'appeler sa mère. Quelqu'un [compose] le 911 avant d'alerter la mère de Bâ.» Ce dernier décédera par la suite à l'hôpital du comté de Kings.
Selon des témoins, Bâ et Barry, tous deux immigrés du Sénégal, en sont venus aux mains. Leur altercation, dont les circonstances ne sont pas précisées, vire au drame. «[Le présumé meurtrier surnommé Zion] a sorti un couteau et s'est rapproché de [la victime]. Alors que Bâ reculait dans la rue, Barry a enfoncé le couteau dans sa poitrine, lui transperçant le poumon gauche et le coeur», déclarent les mêmes témoins. Repris par le quotidien d'information, ces derniers ajoutent que «[Zion] a continué à poignarder sa victime, qui a couru au coin de la rue, [pour se réfugier] dans le salon de coiffure». Selon sa mère, il est entré dans le salon, en criant «mon ventre, mon ventre». «[Son fils] saignait lorsqu'ils ont soulevé sa veste, [mais] Bâ souffrait tellement qu'il n'a pas réalisé qu'il avait été [attient à] la poitrine et non [au niveau du] ventre», poursuit-elle.
La même source, citant la police, rapporte que Barry a été identifié «grâce aux caméras de surveillance, aux déclarations de témoins oculaires et aux réseaux sociaux» avant d'être arrêté. Le mis en cause a été jugé quatre ans plus tard car la sentence est tombée cette semaine, à l'issue d'un procès devant un jury. «La vie de [Bâ] a été interrompue de manière insensée par ce prévenu dont les actes horribles ont dévasté toute une communauté», a martelé le Procureur du district de Brooklyn, Eric Gonzales, dans son réquisitoire.
Pour le maître des poursuites, il s'agit de «[permettre] à la famille et aux amis [du défunt] de tourner la page alors qu'ils continuent de pleurer la mort tragique du jeune homme», en prononçant «[cette] longue peine de prison». La famille de Bâ, venue y rejoindre des proches, vit aux États-Unis depuis 2014. Le défunt rêvait de devenir basketteur, signale Les Échos.
10 Commentaires
Kabako
En Novembre, 2024 (12:44 PM)No senegal yakouna c'est fini
Trop d'étrangers parmi nous! So waxee niounila tu es xénophobe !!
Reply_author
En Novembre, 2024 (13:15 PM)Immigré
En Novembre, 2024 (13:39 PM)Bilakhi tahirou a raison si fichier yi raison sur tout
Massamba
En Novembre, 2024 (14:20 PM)Délene utiliser s'en kheel
A
En Novembre, 2024 (15:34 PM)Le Guinéen
En Novembre, 2024 (16:37 PM)Musa
En Novembre, 2024 (16:58 PM)Participer à la Discussion