Le gouvernement espagnol n’est pas opposé à la migration mais plutôt à l’émigration clandestine entretenue par des trafiquants d’êtres humains, a réaffirmé l’ambassadeur d’Espagne au Sénégal, Alberto Virella.
’’ La migration est un phénomène humain aussi vieux que le monde. L’Espagne n’est contre la migration. Ces dernières années, plusieurs jeunes Espagnols sont allés ailleurs pour chercher du travail", a-t-il indiqué dans un entretien avec l’APS.
"En Espagne, nous ne pouvons pas être contre la migration. Nous sommes contre les passeurs d’êtres humains", dont l’activité se traduit par "des milliers de pertes en vies humaines".
" Nous sommes contre l’émigration irrégulière qui n’engendre que des effets négatifs. Nous sommes contre la maffia, contre la perte en vies humaines. Les seuls bénéficiaires de l’émigration clandestine sont la mafia", a-t-il insisté.
Au Sénégal, la coopération espagnole intervient dans les zones rurales pour appuyer les femmes et les jeunes dans l’amélioration des techniques agricoles et la commercialisation des produits agricoles, a indiqué Alberto Virella.
" Personne ne veut risquer sa vie en prenant une pirogue pour mourir en mer. Si cette personne a la chance de travailler chez elle, elle reste. C’est surtout une question d’opportunités pour améliorer leurs vies", a argumenté le diplomate.
ASB/BK
’’ La migration est un phénomène humain aussi vieux que le monde. L’Espagne n’est contre la migration. Ces dernières années, plusieurs jeunes Espagnols sont allés ailleurs pour chercher du travail", a-t-il indiqué dans un entretien avec l’APS.
"En Espagne, nous ne pouvons pas être contre la migration. Nous sommes contre les passeurs d’êtres humains", dont l’activité se traduit par "des milliers de pertes en vies humaines".
" Nous sommes contre l’émigration irrégulière qui n’engendre que des effets négatifs. Nous sommes contre la maffia, contre la perte en vies humaines. Les seuls bénéficiaires de l’émigration clandestine sont la mafia", a-t-il insisté.
Au Sénégal, la coopération espagnole intervient dans les zones rurales pour appuyer les femmes et les jeunes dans l’amélioration des techniques agricoles et la commercialisation des produits agricoles, a indiqué Alberto Virella.
" Personne ne veut risquer sa vie en prenant une pirogue pour mourir en mer. Si cette personne a la chance de travailler chez elle, elle reste. C’est surtout une question d’opportunités pour améliorer leurs vies", a argumenté le diplomate.
ASB/BK
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