Dolli, Magi nokoss, Jumbo, Maggi, Joker, Adja, Jongué, Tak, Mami, Khadija, Dior, Tem Tem, autant de bouillons utilisés par la cuisinière sénégalaise pour apporter la différence dans sa marmite. C'est une assiette de maladies chroniques silencieuses qu'elle sert ...
Le plat sénégalais serait-il devenu un vrai poison pour le citoyen lambda ? La réponse coule de source, face à la recrudescence des maladies non transmissibles. L'espérance de vie au Sénégal en a pris aussi un sacré coup.
De nos jours, le repas traditionnel, bien assaisonné, présenterait des goûts culinaires souvent plus exquis que ceux de nos mammys. Les Sénégalaises férues de bonne saveur ont l'art de mettre du piquant dans l'assiette. Toutes sortes d'ingrédients passent dans la marmite qui s'appauvrit de plus en plus en valeurs nutritives et s'enrichit en sel et calories. Quand les exhausteurs du goût s'y mettent, il faut simplement s'attendre à un cocktail....explosif. Nombreux sont ceux qui pointent l'index sur la cuisinière : le poison est dans l'assiette.
Aux Sénégalaises, il est reproché de mettre trop d'additifs culinaires dans la marmite pour aiguiser l'appétit, dénaturant le ''thiébou dieune'' qui aurait été, à l'origine, un plat riche en protéides. Tomate en poudre et plus d'une dizaine de bouillons sont mises à l'actif. ''La recrudescence des maladies telles le diabète et l'hypertension artérielle sont causées par nos femmes qui nous tuent à petit feu, avec leurs substances toxiques. Nous sommes tous malades à cause d'elles. Elles ne cherchent qu'à écourter la vie des hommes...'', souligne, un brin ironique, un vieux qui tient sur ses 70 berges, rencontré au centre de diabétologie Marc Sankalé.
Il demande aux autorités de ramener à la raison les Sénégalaises, face à leur utilisation abusive de cette armada de bouillons présente sur le marché sénégalais. Il n'est pas le seul. Le 3éme âge se remémore, avec nostalgie, les recettes toute nature et sans artifice d'antan. ''A notre époque, on resplendissait de santé. On était en pleine forme, car on mangeait sainement. L'alimentation était meilleure''. Du tout bio !
''Le bouillon règle un problème économique. Ils donnent l'illusion du goût''
Autre temps, autres réalités. La crise économique a donné un coup de fouet au panier de la ménagère. Aujourd'hui, déplore Mme Salimata Wade, une universitaire, par ailleurs responsable de la ''Compagnie du bien manger'', qui réunit nutritionnistes, diététiciens et spécialistes de la santé, le Sénégal est l'otage d'une épidémie d'hypertension. ''Même les jeunes sénégalais sont hypertendus'', note t-elle. Et ce à cause, d'une alimentation trop riche en sels. Mme Salimata Wade craint que cette situation ne s'aggrave, en raison de la baisse du pouvoir d'achat des Sénégalais. ''C'est un problème de société qui se pose. La structure du budget n'est plus la même. Les repas sont fractionnés, les charges énormes et le coût de la vie très élevé''.
Quand elle passe à la loupe les habitudes alimentaires des Sénégalais, c'est pour détecter que le mal est d'une dimension économique. Mme Salimata Wade de s'expliquer. ''Jadis, dit-elle, nos mamans mettaient assez de viande, de tomates fraîches, de légumes frais et d'ingrédients dans la marmite. Ce n'est pas par effet de mode que, de nos jours, les femmes recourent de plus en plus aux additifs culinaires. Les bouillons règlent une dimension économique. Ils donnent l'illusion du goût. Du point de vue gustatif, cela donne de l'appétit''.
''Rééduquer le sénégalais et lui apprendre à manger sainement''
Pour étayer sa thèse, la chercheuse de donner l'exemple de l'équation intenable de la ménagère sénégalaise qui dispose d'un maigre budget. ''Ce n'est pas facile avec une maigre somme de préparer du riz pour plus de quinze personnes avec un kg de viande ou peu de poisson. Tout est cher au marché. Des sardines qui se vendaient à 50f par pièce s'échangent aujourd'hui à 500 f, le kg de kéthiah coûte 1200 F Cfa, un kg de tomates fraîches est vendu à 600. Elles n'ont pas souvent le choix'', explique t-elle.
Pour résoudre une difficile équation, la ménagère n'y va par quatre chemins. Elle se rabat sur les multiples bouillons qui donnent le goût du poisson, de la tomate, des épices, de la viande ou des légumes. Il suffit juste de débourser au maximum 200f pour s'offrir autant de saveurs. Et le tour est joué même si les conséquences sont désastreuses, avec des maladies chroniques et silencieuses. Il s'y ajoute, d'après la chercheuse Salimata Wade, ''qu''il y a trop de sel dans notre alimentation. On aime ce qui est saturé en gras et en sel''.
Mais pour l'universitaire, crever l'abcès exige de s'attaquer aux produits synthétiques qui inondent le marché sénégalais. Les bouillons ne sont pas, à cet effet, des cas isolés. ''On ne boit plus, par exemple, du jus mais que des arômes qui sont des produits chimiques''. Avec le système des journées continues, les sandwichs, très prisés à midi, se font à forte teneur de mayonnaise, de moutarde, de ketchup qui sont tout aussi nuisibles à la santé.
Comme solution, Mme Salimata Wade préconise le retour du repas commun en famille. ''On n'a pas d'alimentation idéale à proposer, cela n'existe pas. On doit partir de ce que les gens ont pour changer leurs habitudes alimentaires, en tenant compte des données économiques. Il faut rééduquer le sénégalais et leur apprendre à manger sainement''.
Le plat sénégalais serait-il devenu un vrai poison pour le citoyen lambda ? La réponse coule de source, face à la recrudescence des maladies non transmissibles. L'espérance de vie au Sénégal en a pris aussi un sacré coup.
De nos jours, le repas traditionnel, bien assaisonné, présenterait des goûts culinaires souvent plus exquis que ceux de nos mammys. Les Sénégalaises férues de bonne saveur ont l'art de mettre du piquant dans l'assiette. Toutes sortes d'ingrédients passent dans la marmite qui s'appauvrit de plus en plus en valeurs nutritives et s'enrichit en sel et calories. Quand les exhausteurs du goût s'y mettent, il faut simplement s'attendre à un cocktail....explosif. Nombreux sont ceux qui pointent l'index sur la cuisinière : le poison est dans l'assiette.
Aux Sénégalaises, il est reproché de mettre trop d'additifs culinaires dans la marmite pour aiguiser l'appétit, dénaturant le ''thiébou dieune'' qui aurait été, à l'origine, un plat riche en protéides. Tomate en poudre et plus d'une dizaine de bouillons sont mises à l'actif. ''La recrudescence des maladies telles le diabète et l'hypertension artérielle sont causées par nos femmes qui nous tuent à petit feu, avec leurs substances toxiques. Nous sommes tous malades à cause d'elles. Elles ne cherchent qu'à écourter la vie des hommes...'', souligne, un brin ironique, un vieux qui tient sur ses 70 berges, rencontré au centre de diabétologie Marc Sankalé.
Il demande aux autorités de ramener à la raison les Sénégalaises, face à leur utilisation abusive de cette armada de bouillons présente sur le marché sénégalais. Il n'est pas le seul. Le 3éme âge se remémore, avec nostalgie, les recettes toute nature et sans artifice d'antan. ''A notre époque, on resplendissait de santé. On était en pleine forme, car on mangeait sainement. L'alimentation était meilleure''. Du tout bio !
''Le bouillon règle un problème économique. Ils donnent l'illusion du goût''
Autre temps, autres réalités. La crise économique a donné un coup de fouet au panier de la ménagère. Aujourd'hui, déplore Mme Salimata Wade, une universitaire, par ailleurs responsable de la ''Compagnie du bien manger'', qui réunit nutritionnistes, diététiciens et spécialistes de la santé, le Sénégal est l'otage d'une épidémie d'hypertension. ''Même les jeunes sénégalais sont hypertendus'', note t-elle. Et ce à cause, d'une alimentation trop riche en sels. Mme Salimata Wade craint que cette situation ne s'aggrave, en raison de la baisse du pouvoir d'achat des Sénégalais. ''C'est un problème de société qui se pose. La structure du budget n'est plus la même. Les repas sont fractionnés, les charges énormes et le coût de la vie très élevé''.
Quand elle passe à la loupe les habitudes alimentaires des Sénégalais, c'est pour détecter que le mal est d'une dimension économique. Mme Salimata Wade de s'expliquer. ''Jadis, dit-elle, nos mamans mettaient assez de viande, de tomates fraîches, de légumes frais et d'ingrédients dans la marmite. Ce n'est pas par effet de mode que, de nos jours, les femmes recourent de plus en plus aux additifs culinaires. Les bouillons règlent une dimension économique. Ils donnent l'illusion du goût. Du point de vue gustatif, cela donne de l'appétit''.
''Rééduquer le sénégalais et lui apprendre à manger sainement''
Pour étayer sa thèse, la chercheuse de donner l'exemple de l'équation intenable de la ménagère sénégalaise qui dispose d'un maigre budget. ''Ce n'est pas facile avec une maigre somme de préparer du riz pour plus de quinze personnes avec un kg de viande ou peu de poisson. Tout est cher au marché. Des sardines qui se vendaient à 50f par pièce s'échangent aujourd'hui à 500 f, le kg de kéthiah coûte 1200 F Cfa, un kg de tomates fraîches est vendu à 600. Elles n'ont pas souvent le choix'', explique t-elle.
Pour résoudre une difficile équation, la ménagère n'y va par quatre chemins. Elle se rabat sur les multiples bouillons qui donnent le goût du poisson, de la tomate, des épices, de la viande ou des légumes. Il suffit juste de débourser au maximum 200f pour s'offrir autant de saveurs. Et le tour est joué même si les conséquences sont désastreuses, avec des maladies chroniques et silencieuses. Il s'y ajoute, d'après la chercheuse Salimata Wade, ''qu''il y a trop de sel dans notre alimentation. On aime ce qui est saturé en gras et en sel''.
Mais pour l'universitaire, crever l'abcès exige de s'attaquer aux produits synthétiques qui inondent le marché sénégalais. Les bouillons ne sont pas, à cet effet, des cas isolés. ''On ne boit plus, par exemple, du jus mais que des arômes qui sont des produits chimiques''. Avec le système des journées continues, les sandwichs, très prisés à midi, se font à forte teneur de mayonnaise, de moutarde, de ketchup qui sont tout aussi nuisibles à la santé.
Comme solution, Mme Salimata Wade préconise le retour du repas commun en famille. ''On n'a pas d'alimentation idéale à proposer, cela n'existe pas. On doit partir de ce que les gens ont pour changer leurs habitudes alimentaires, en tenant compte des données économiques. Il faut rééduquer le sénégalais et leur apprendre à manger sainement''.
76 Commentaires
@tonmari
En Août, 2012 (11:17 AM)Mala beugue, nopnala dé
Reply_author
En Juillet, 2023 (03:24 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (03:35 AM)L'homme la n'a pas bouge ou bien ?
He he he hhe le galsen la s'est devenu un cirque dehhh !!
Deuuggg
En Août, 2012 (11:17 AM)Cdlove
En Août, 2012 (11:20 AM)Salambaye
En Août, 2012 (11:38 AM)Fdjkdjfskf
En Août, 2012 (11:40 AM)Sapotighetti
En Août, 2012 (11:48 AM)Doxondem
En Août, 2012 (11:52 AM)Khadim
En Août, 2012 (12:45 PM)Laspalmas
En Août, 2012 (12:54 PM)Kenen
En Août, 2012 (13:00 PM)les media s il vous plait parlez en aux senegalais, il ya beaucoup de senegalais qui ne son pas informes de la gravite du probleme.
Wawaw
En Août, 2012 (13:23 PM)Ali Baba
En Août, 2012 (13:41 PM)Le Parisien
En Août, 2012 (13:49 PM)Au même moment les ministres de ce pays on les même voiture que le président de la France. Ou un milliardaire Suisse. Les députés la même recette sauce bolognaise, les chefs d’entreprise,...etc. il mange au restaurant comme des toubabs, certain marabouts même recette sauce bolognaise. Pendant que enfants bouffent du sable, des femmes vendent leur corps pour nourrir leur familles, des malades sans lit dans les Hôpitaux ...Apres ils se disent musulman, ils te parlent de Cheikh Ahmadou Bamba, de Cheikh Ahmed tidjiani....Bamba = islam et non au bien être terrestre. Ahmed tidjiani =coran et la sounna pas de veste cravate BMW et Merco.
Bok's
En Août, 2012 (13:58 PM)il nous faut revenir sur nos fondamentaux car notre mode alimentaire est devenu un véritable enjeu de santé publique,
toute la société est interpelée, je pense que les média jouent un rôle très négatif à travers des émissions telles que bi ci biir ciin qui sont plus de la publicité que de la valorisations de notre art culinaire.
Le ministère de la santé devra se saisir de la question pour lutter contre le fléau de la "mal bouffe"
Je suis pour l'amèlioration et la valorisation des plats bien de chez nous: ngoubaan, ngalakh, gniiri, sommbi, laakh, kaldou entre autres
Sénégalaisement vôtre
Gor
En Août, 2012 (14:04 PM)Peulh
En Août, 2012 (14:16 PM)Peul Bi
En Août, 2012 (14:32 PM)Bra
En Août, 2012 (14:40 PM)les SAFAl sont toxiques pour la santé à moyen terme
Packou
En Août, 2012 (14:42 PM)Hé Bin 1
En Août, 2012 (14:45 PM)Wease
En Août, 2012 (15:36 PM)à Lire Le Coran En 3 Leçons
En Août, 2012 (15:38 PM)Usa
En Août, 2012 (15:58 PM)Kkkkkkkkkkk
En Août, 2012 (17:06 PM)Sa Matt Goloniaye@usa
En Août, 2012 (18:06 PM)Le ridicule ne tue pas chez toi!
Comment peux-tu encore rester la a commanditer des etudes pour confirmer l'effet toxique de la cusine senegalaise?....
Comment de connaissances ou membres de ta propre famille.... sont victimes ou decedes a causes des maladies comme le diabete, l'hypertension, le cancer du foie,... des intestins, etc.....?
Cher ami, stp reponds a ma question!? .....ou je suis devant 1 Cas de Masochisme incurable?!
Comme je le dis, le probleme du Senegal c l'incompetence des dirigeants du pays.
A quoi sert le ministre de la sante??!!! Le Senegal est en pleine guerre, on est sous attaque...le Diabete, la tension et Al tuent... plus q la plus moderne arme imaginable ....Les Senegalais tombent comme des mouches
A mon avis le ministre de la sante est la position de la + curiciale du pays dans la PERIODE des 30 dernieres annees, mais est completement desarme face a cette lepre qui detruit le pays a p'tit feu.
Correction
En Août, 2012 (18:07 PM)Doxondem
En Août, 2012 (18:16 PM)Adooo
En Août, 2012 (18:32 PM)Lol
En Août, 2012 (18:48 PM)Italien
En Août, 2012 (18:51 PM)Grand Gourmand
En Août, 2012 (19:14 PM)Dongo Dara
En Août, 2012 (19:38 PM)Boy Ndiago
En Août, 2012 (19:39 PM)khana guisoulen ndiago yi nu ñu dëgërré ?
Badar
En Août, 2012 (19:49 PM)@badar
En Août, 2012 (20:16 PM)Youbi
En Août, 2012 (20:25 PM)0225
En Août, 2012 (20:29 PM)Badar
En Août, 2012 (20:36 PM)Mahribi
En Août, 2012 (20:38 PM)C'est très pertinent comme analyse mais vous êtes passé a coté de l'essentiel
En fait les bouillons sont principalement composés de glutamate de sodium qui est effectivement très toxique et c'est une substance cancérigène.
il faut donc plus s'attendre a un cancer avec la consommation abusive de ces bouillons.
Wassalam
Dongo Dara
En Août, 2012 (20:41 PM)Khorompole
En Août, 2012 (20:41 PM)Matzo
En Août, 2012 (21:06 PM)Boul Khep
En Août, 2012 (21:22 PM)Bene Khaler
En Août, 2012 (21:33 PM)Badar
En Août, 2012 (21:34 PM)Foudre
En Août, 2012 (21:54 PM)Garage Kaani
En Août, 2012 (21:59 PM)Juleau
En Août, 2012 (22:07 PM)Patriote36
En Août, 2012 (23:09 PM)Ouzin
En Août, 2012 (00:10 AM)c 'est le probleme!! kan on consome les calories, on les brule en faisan du sport!!
Nini
En Août, 2012 (05:54 AM)honte a toi le journaliste!!!
Guerier
En Août, 2012 (06:23 AM)Samâgal
En Août, 2012 (08:06 AM)A NOS HONNORES DEPUTES DE DEVOIR TRANCHER...
Sanogo Ci
En Août, 2012 (08:22 AM)Legrandchef
En Août, 2012 (09:52 AM)Puffffffffffffff
En Août, 2012 (10:01 AM)Oops
En Août, 2012 (10:07 AM)Juan
En Août, 2012 (10:13 AM)Faty
En Août, 2012 (11:31 AM)Jo
En Août, 2012 (12:13 PM)Rien ne vaux l'expérience.
Il ne faut pas dépenser son argent pour devenir malade et dépenser encore de l'argent pour se soigner. Ce n'est pas intelligent.
Jo
En Août, 2012 (12:34 PM)Si on dépense son argent pour devenir malade, on dépensera encore de l'argent pour se soigner.
Manger le riz ordinaire local ou importé.
AVIS AUX AUTORITES : Certains commerçants ne respectent pas le tarif de 280 frs le kilo pour le riz local. Certain le vendent à 350 frs.
Faites faire par la gendarmerie ou la police des descentes pour sanctionner la manière la plus DISSUASIVE ces contrevenants.
Mamadou Kane
En Août, 2012 (14:35 PM)Mieux vaut tard que jamais ; voilà un article qui vient au moment où toute la population sénégalaise en est consciente, nantis comme démunis, les diététiciens, les cardiologues les docteurs en général à l’unanimité tout le monde est d’accord que c’est des produits trop néfastes à la santé.
Alors le problème n’est plus à relater les méfaits de ces produits dévastateurs mais plutôt demander à l’Etat, aux autorités compétentes tel le ministère de la santé qui aurait du faire une campagne de sensibilisation et de rééducation aux femmes ménagères à cet effet, le ministère de l’économie et des finances sous la bannière de la douane qui doit prohiber l’importation de tout produit de base rentrant dans la fabrique de ces bouillons et toutes ces toxicités ou imposer des taxes dissuasives , le ministère de télécommunications qui à son côté doit interdire toute publicité sur ces produits incriminés comme toxique et également le sponsoring derrière lequel se recroquevillent ces soit disant industriels malhonnêtes et avides de richesse
Fatou Sylla
En Août, 2012 (23:42 PM)Cuisinier
En Août, 2012 (23:47 PM)Ndeycoumandiaye
En Août, 2012 (13:04 PM)waay waay Badar ya meune wakh ay deug waay
tu as parfaitement raison, j'avais vu ton commentaire sur coumab gawlo, son attitude etait tellement ridicule que j'avais laché l'affaire
pourquoi ( elle qui se reclame sengalaise et fiere) ne pas presenter un fondé, tiéré enfin quelque chose de sengalsi, bien sur cest pas spossible de manger cela ts les jrs mais pour une image qui fera le tour du monde pourquoi ne pas presenter nos produits locaux
nous ne voulons et ne mangeons que ce qui est importés (ca fait chic) et nous le reproduison mal , c 'st ridicule, bala nga koy kham k tu sois a coté d'un toubabdont c est la culture
pff, les gens singent tout , legui c est ridicule a dkar d parler wolof, surt kan tu vas les les androits "chic", lol, casino sa plazza, graine d'or je dis salamoualeykoum aux vendeuses elles m regarden bizament et m snobe, pourtan pr la plupat sen yaye sakh mako gueneun diang, bref
ce pays manque d'authenticité,
tu sais apres ton commentaire de la derniere fois, j ai reflechi a la déco de chez moi, je vais avoir des gaan toubab et autres natinalité et j refuse k'il trouvent ma maison ds un style ki imite la leur, dina ko deco africain ba kouma guiss khamni souniou deuk amna dara
c est pareil pr les meubles, les gens preferent avoir un meuble d mauvais kalité importé (chinois des fois) au lieu de faire faire ses meubles par un menuisier seirux et talentueux, pfff
lep kene mounouko wakh
on est fake ds tout
Mass
En Août, 2012 (15:05 PM)Fraternellement. Bathie
Noosphere
En Août, 2012 (07:03 AM)UN: L ETAT N AGIT PAS CAR LES ENJEUX ECONOMIQUES ET SOCIALS SONT PLUS IMPORTANT ASSEZ YEUX QUE LA SANTE DES SENEGALAIS (le regime ne sera plus au pouvoir quand ces personnes vont mourir)
DEUX: LES ENJEUX ECONOMIQUES (encore) SONT VITAL POUR LES MEGAPHONES FM ET LES RADIOS FILMEES (qui se copient toutes)QUI MANQUENT INOVATION
TROIS: NOS FEMMES SONT DES AUTRUCHES (on fait le xessal mais on sait que c'est pas bon, on regarde les telenovelas mais on sait que c'est pas bon, on fume mais on sait que c'est pas bon, on utulise les faux bouillons mais on sait que c'est pas bon, on fréquente les prostitués mais on sait que c'est pas bon)
Rtreterter
En Août, 2012 (15:30 PM)Wala
En Août, 2012 (16:03 PM)Ma Messe
En Août, 2012 (23:45 PM)Okanté
En Août, 2012 (08:41 AM)Moi
En Août, 2012 (12:58 PM)c à l'état de prendre des dispositions !!
et c illico pour les jus de bissap et de gingembre A BON ENTENDEUR SALUT!!!!!!!!
Papa
En Août, 2012 (21:52 PM)Khlifa Mbye
En Août, 2012 (01:05 AM):
Mané
En Août, 2012 (11:13 AM)Sauver Le Senegal
En Août, 2012 (18:25 PM)Participer à la Discussion