En essayant d’incendier la chambre d’une de ses clientes avec qui il était en froid, A. Korka ignorait certainement que l’incendie volontaire est un crime passible d’une lourde peine de prison.
Restauratrice de son état, la dame A. Fall n’en revient toujours pas, d'après le quotidien Bés Bi, après la stupeur que lui a fait vivre son livreur de poissons.
Ce dernier avec qui elle avait eu des bisbilles à propos d’une livraison de poissons s’est mis dans une colère noire.
En plus de la menacer de mort, il est allé jusqu’à vouloir incendier sa chambre à coucher.
Craignant pour sa vie, elle n’a pas hésité à déposer une plainte pour menace de mort, injures publiques et tentative d’incendie volontaire.
Devant les enquêteurs, la dame de 37 ans a expliqué avoir rencontré le mis en cause à la plage de Soumbédioune où elle s’était rendue pour acheter du poisson. C’était au mois de novembre dernier.
De fil en aiguille, le vendeur de poissons avait commencé à lui faire la livraison dans son restaurant.
Mais un jour, ayant livré du poisson de piètre qualité, la dame avait refusé d’acheter sa marchandise.
Une situation qui avait mis ce dernier dans tous ses états, allant même jusqu’à menacer la dame.
Voyant que l’affaire commençait à prendre de l’ampleur, la restauratrice dit lui avoir remboursé son transport avant de le sommer de ne plus lui livrer.
Mais, contre toute attente, raconte-t-elle, le livreur a attendu la nuit pour se rendre à sa gargotesise sur l’avenue Cheikh Anta Diop pour y soustraire ses ustensiles de cuisine.
Et, comme si cela ne suffisait pas, renchérit-elle, A. Korka a fait cap à son domicile pour prendre une de ses couvertures de lit.
C’est ainsi qu’elle avait décidé de porter plainte pour vol.
Ce dernier, ayant eu vent qu’il faisait l’objet de recherche, après de vaines convocations, s’est présenté au domicile de la dame avec une bouteille remplie d’essence, mélangée à de l’huile, qu’il a arrosée dans toute sa chambre.
Et, c’est au moment où il s’apprêtait à y mettre du feu qu’elle l’a aperçu avant d’alerter les occupants de la maison par des cris.
C’est donc dans ces conditions que le pyromane s’est enfui.
Il sera rattrapé bien plus tard par les hommes du commissaire Sow de la Médina.
Devant de telles accusations, A. Korka, 34 ans, a tiré la couverture sur lui en expliquant qu’au début la dame lui versait son argent sans problème, mais au fil du temps, elle a commencé à prendre par crédit.
C’est donc, poursuit-il, lorsque le prêt a atteint 300 000 francs qu’il a arrêté de lui livrer du poisson.
Balayant d’un revers de main les accusations de la dame, il indique avoir été piégé par cette dernière qui lui a fait croire qu’une de ses amies avait besoin de poissons.
C’est ainsi qu’il a d’ailleurs été interpellé.
« La déclaration qu’elle a faite est dénuée de tout fondement. Je n’ai jamais volé ses affaires, encore moins, tenté d’incendier sa chambre », s’est dédouané le mis en cause.
Ce qui ne l’a pas empêché d’être déféré au parquet.
Restauratrice de son état, la dame A. Fall n’en revient toujours pas, d'après le quotidien Bés Bi, après la stupeur que lui a fait vivre son livreur de poissons.
Ce dernier avec qui elle avait eu des bisbilles à propos d’une livraison de poissons s’est mis dans une colère noire.
En plus de la menacer de mort, il est allé jusqu’à vouloir incendier sa chambre à coucher.
Craignant pour sa vie, elle n’a pas hésité à déposer une plainte pour menace de mort, injures publiques et tentative d’incendie volontaire.
Devant les enquêteurs, la dame de 37 ans a expliqué avoir rencontré le mis en cause à la plage de Soumbédioune où elle s’était rendue pour acheter du poisson. C’était au mois de novembre dernier.
De fil en aiguille, le vendeur de poissons avait commencé à lui faire la livraison dans son restaurant.
Mais un jour, ayant livré du poisson de piètre qualité, la dame avait refusé d’acheter sa marchandise.
Une situation qui avait mis ce dernier dans tous ses états, allant même jusqu’à menacer la dame.
Voyant que l’affaire commençait à prendre de l’ampleur, la restauratrice dit lui avoir remboursé son transport avant de le sommer de ne plus lui livrer.
Mais, contre toute attente, raconte-t-elle, le livreur a attendu la nuit pour se rendre à sa gargotesise sur l’avenue Cheikh Anta Diop pour y soustraire ses ustensiles de cuisine.
Et, comme si cela ne suffisait pas, renchérit-elle, A. Korka a fait cap à son domicile pour prendre une de ses couvertures de lit.
C’est ainsi qu’elle avait décidé de porter plainte pour vol.
Ce dernier, ayant eu vent qu’il faisait l’objet de recherche, après de vaines convocations, s’est présenté au domicile de la dame avec une bouteille remplie d’essence, mélangée à de l’huile, qu’il a arrosée dans toute sa chambre.
Et, c’est au moment où il s’apprêtait à y mettre du feu qu’elle l’a aperçu avant d’alerter les occupants de la maison par des cris.
C’est donc dans ces conditions que le pyromane s’est enfui.
Il sera rattrapé bien plus tard par les hommes du commissaire Sow de la Médina.
Devant de telles accusations, A. Korka, 34 ans, a tiré la couverture sur lui en expliquant qu’au début la dame lui versait son argent sans problème, mais au fil du temps, elle a commencé à prendre par crédit.
C’est donc, poursuit-il, lorsque le prêt a atteint 300 000 francs qu’il a arrêté de lui livrer du poisson.
Balayant d’un revers de main les accusations de la dame, il indique avoir été piégé par cette dernière qui lui a fait croire qu’une de ses amies avait besoin de poissons.
C’est ainsi qu’il a d’ailleurs été interpellé.
« La déclaration qu’elle a faite est dénuée de tout fondement. Je n’ai jamais volé ses affaires, encore moins, tenté d’incendier sa chambre », s’est dédouané le mis en cause.
Ce qui ne l’a pas empêché d’être déféré au parquet.
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