Face aux mutations en cours dans les zones d’élevage et la récurrence des crises climatiques, l’État du Sénégal a décidé de sécuriser 87.500 hectares au Ranch de Dolly, a déclaré le ministre de l’Élevage et des Productions animales. Aminata Mbengue Ndiaye présidait un Conseil scientifique du Pole pastoralisme et zones sèches (Ppzs) à l’institut sénégalais de recherches agricoles (Isra).
Dans le quotidien Le soleil, Aminata Mbengue Ndiaye a évoqué certaines orientations prises par le gouvernement afin de résoudre les problèmes du pastoralisme au Sénégal. Il s’agit notamment de la sécurisation du foncier au Ranch de Dolly sur 87.500 hectares.
Selon la ministre, ce projet qui est en cours d’exécution sera marqué, entre autres, par la construction d’un mur de 125 kilomètres. Elle cite également l’inscription de 4 projets d’élevage dans le plan d’action prioritaire du plan Sénégal émergent pour un montant de plus de 28 millions de FCFA.
8 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (11:56 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:59 AM)Anonyme
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En Octobre, 2015 (13:10 PM)L'anonyme
En Octobre, 2015 (13:22 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (14:55 PM)Pour beaucoup d’éleveurs du Fouta et du Djolof, la situation environnementale de la zone sylvo de l’année dernière était beaucoup plus catastrophique que celle de 1972-1973 (Grande Sécheresse). Il semblerait aux dires de certains éleveurs que les pertes subies l’année dernière ne sont sans commune mesure avec celle de la crise de 1973 (A vérifier).
Dans tous les cas, la casse a été moins ressentie cette fois ci. Cela est tout à fait logique, car en 1973 tous les acteurs du système d’élevage (Eleveurs, Etat, ..) n’étaient pas préparés à la riposte comme en 2015. Les effets sociaux de la sécheresse de 1973 sont toujours visibles à nos jours en 2015. Par exemple des familles d’éleveurs du Nord du Sénégal ne sont tjrs pas revenues de cette transhumance,…etc.
Il faut que le Ministère, à travers ses services techniques décentralisés fassent l’inventaire des pertes subies. C’est très important d’avoir ces données statistiques pour construire les prochaines politiques de développement. Ensuite le Ministère doit organiser une rencontre avec les éleveurs pour le bilan de la saison dernière et tirer tous les enseignements nécessaires.
Par rapport au Ranch de Doli, il s’agit surtout de sécuriser toute la zone sylvo au déplacement des animaux et à une bonne gestion des ouvrages,….etc
Anonyme
En Octobre, 2015 (15:01 PM)Hier matin, vers 6h, des gendarmes ont interpellé le présumé gourou. Selon certains témoignages, une dizaine de femmes sont également parties avec les forces de l’ordre. Il s’agirait des plus jeunes. Les autres refusent toujours de communiquer avec l’extérieur.
Six gendarmes sont toujours postés devant la maison afin de dissuader d’éventuels fauteurs de troubles. A noter que l’ambiance est calme dans le secteur. Et que certains proches ne cachent pas leur soulagement après cette interpellation.
A la recherche de témoignages
La semaine dernière, la colère de ces familles avaient provoqué trois nuits d’échauffourées. Manifestants et casseurs avaient pris d’assaut la maison où sont hébergés 17 femmes et M. Sané qui est suspecté d’emprise psychologique. Ce dernier n’avait dû son salut qu’au courage de ses protégées qui l’avaient sauvé d’un lynchage annoncé.
Après ces débordements et l’échec de plusieurs tentatives de négociations – visant à une solution de relogement – avec cet homme de nationalité sénégalaise, les services de l’Etat ont choisi de saisir le président de la MIVILUDES afin « d’obtenir son éclairage sur la situation et sur les mesures à prendre » selon un communiqué de la préfecture.
À ce titre, sont recherchés des « témoignages permettant de déterminer si l’organisation et le fonctionnement du groupe vivant dans cette maison induisent des situations à risque ».
Statu quo et calme précaire
De leur côté, les 17 femmes encore présentes dans cette maison ont affirmé leur volonté de porter plainte pour menaces de mort, dégradations volontaires, violences aggravées et violation de domicile contre les assaillants et les personnes qui ont volontairement pénétré dans le domicile en début de week-end.
Depuis ce week-end, des gendarmes sont postés en permanence devant l’allée qui mène à la maison du présumé « gourou ». Avant hier midi, un homme a également pris ses quartiers en face de la maison du présumé Gourou pour entamer « une grève de la faim ». « J’ai réussi à faire sortir ma fille de 13 ans de cette maison. Mais ma femme et une autre fille se trouvent toujours à l’intérieur. Je ne bougerai pas de là tant qu’elles n’auront pas été sauvées. Je ne veux pas de violence, je veux juste que la justice entende mon appel », déclare Abdou Manfou, persuadé que ses proches sont sous influence
Anonyme
En Octobre, 2015 (17:41 PM)Pour beaucoup d’éleveurs du Fouta et du Djolof, la situation environnementale de la zone sylvo de l’année dernière était beaucoup plus catastrophique que celle de 1972-1973 (Grande Sécheresse). Il semblerait aux dires de certains éleveurs que les pertes subies l’année dernière ne sont sans commune mesure avec celle de la crise de 1973 (A vérifier).
Dans tous les cas, la casse a été moins ressentie cette fois ci. Cela est tout à fait logique, car en 1973 tous les acteurs du système d’élevage (Eleveurs, Etat, ..) n’étaient pas préparés à la riposte comme en 2015. Les effets sociaux de la sécheresse de 1973 sont toujours visibles à nos jours en 2015. Par exemple des familles d’éleveurs du Nord du Sénégal ne sont tjrs pas revenues de cette transhumance,…etc.
Il faut que le Ministère, à travers ses services techniques décentralisés fassent l’inventaire des pertes subies. C’est très important d’avoir ces données statistiques pour construire les prochaines politiques de développement. Ensuite le Ministère doit organiser une rencontre avec les éleveurs pour le bilan de la saison dernière et tirer tous les enseignements nécessaires.
Par rapport au Ranch de Doli, il s’agit surtout de sécuriser toute la zone sylvo au déplacement des animaux et à une bonne gestion des ouvrages,….etc
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