Du 10 au 11 juillet 2012, un atelier de formation a été organisé pour outiller des journalistes spécialisés dans les questions d’éducation. A l’issue des travaux, une association dénommée AJEF (Association des journalistes pour la promotion de l’éducation des filles) a été mise en place.Le journaliste-réalisateur Massamba THIANE a été choisi par ses pairs pour coordonner l’Association des journalistes pour la promotion de l’éducation des filles (Ajef).
M. Thiane a été porté à la tête de cette association eu égard à son background et à son engagement dans le domaine de l’éducation notamment dans sa composante « éducation des filles » qui fut le sujet de sa « grande enquête » à sa sortie du Centre d’Enseignement des Sciences et des Techniques de l’Information (CESTI promotion 2007).Son parcours professionnel lui a également valu une bonne maîtrise des questions liées à l’éducation.
Diplômé de l’école normale régionale de Saint-Louis, Massamba THIANE a fait ses premières armes en tant qu’instituteur dans le département de Vélingara. Correspondant de presse dans la région de Kolda vers les années 1997, il a ensuite servi dans le département de Linguère à Barkaedji puis à Dahra Djoloff entre 2000 et 2003 avant d’atterrir au CESTI.Devenu Chef de la Division de la Radiotélévision scolaire, il a une grande expérience sur les violences faites aux filles et particulièrement celles exercées en milieu scolaire pour avoir accompagné de nombreux projets et programmes intervenant dans la promotion de l’éducation des filles.
L’association qui regroupe déjà une trentaine de journalistes compte adopter une démarche de rupture. « Elle usera de tous les moyens pour dénoncer les violences exercées sur les filles partout sur l’étendue du territoir nationale et interviendra en terme d’appui conseil et de soutien moral et matériel en collaboration avec tous les partenaires qui mènent le combat pour l’égalité, et l’équité de genre dans l’espace scolaire » indique le tout nouveau coordonateur.
3 Commentaires
Nl
En Juillet, 2012 (18:19 PM)Boy Dakar
En Juillet, 2012 (18:34 PM)Un soir, raconte Aïcha, j’étais partie voir mon copain à Ouagou Niayes. Il m’a entraînée dans sa chambre. On a discuté pendant un moment et puis j’ai été comme poussée par une force surnaturelle. J’ai subitement été envahie par une grande pulsion. Je me suis approchée de lui. Il y a d’abord eu quelques frottements et puis je me suis laissée aller. Et quelques minutes après, j’ai constaté les dégâts. C’était ma première fois et mon copain n’a même pas su calmer mes ardeurs. Il a abusé de moi sans se protéger. J’ai été tellement dégoûtée que je l’ai quitté, les larmes aux yeux.»
Enseignant
En Juillet, 2012 (18:44 PM)Participer à la Discussion